Grand Seigneur Mechant Homme

émouvant. Victor Hugo dédie ce poème a sa fille la veille de l’anniversaire de sa fille et exprime le besoin d’aller se recueillir sur sa tombe. C'est une sorte de romantisme en faisant ce geste. 2, « Le mendiant » Un pauvre homme passait dans le givre et le vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts. C'était le vieux qui vit dans une

émouvant. Victor Hugo dédie ce poème a sa fille la veille de l’anniversaire de sa fille et exprime le besoin d’aller se recueillir sur sa tombe. C'est une sorte de romantisme en faisant ce geste. 2, « Le mendiant » Un pauvre homme passait dans le givre et le vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts. C'était le vieux qui vit dans une

démoniaque : « Mon maitre [est] le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un diable, un hérétique, […] un grand seigneur méchant homme ». Ces quelques phrases résument bien le personnage. Est-il sans Dieu ? Certainement. Il ne croit qu’en ce qui est logique, explicable, scientifique : « je crois que deux et deux font quatre et que quatre et quatre font huit ». C’est l’impie par excellence : il se fait un malin plaisir à se moquer ouvertement du Ciel avec un grand « C », à savoir de la religion

référence a l’Anti-Machiavel de Fréderic. On ne peut lire le Prince sans savoir un minimum de choses sur son auteur et sur la période que traverse l’Italie et plus particulièrement la ville d’origine de Machiavel, Florence. Machiavel est le fils d’un homme de loi et né le 3 Mai 1469. De 1434 à 1494, les Médicis, puissante famille florentine, soumettent à leur volonté les institutions de la République de Florence. L’arrivée des Français en 1494 vint troubler la vie de la péninsule et notamment celle de

n'y en a pas. Allégorie du mal, Richard III, sur fond de trame historique, détruit tout sur son passage. Même les pires tabous de la société. Richard III est un homme contre-nature, qui apporte et incarne le désordre. Le pouvoir absolu sans aucune compassion. L'ordre des choses n'est plus, nos valeurs sont mises à mal et lui, avec grand charisme, nous emmène dans les mécanismes incroyables du pouvoir. Nous sommes spectateurs éberlués devant cette magistrale démonstration de « comment devient-on dictateur

Dom Juan ayant fait scandale telle tartuffe. Dom Juan a été joué pour la première fois en 1665 avant d'être interdit par le roi, Sous la pression des devots. Pièce empruntée a tirso de molina, C'est une tragi-comédie qui raconte la vie dissolue d'un grand libertin. Axe 1 : Une scène d'exposition Axe 2 : Le valet qui montre sa personnalité en décrivant son maître Nous verrons dans un premier temps ce texte qui est une scène d'exposition ou est décrit dom juan mais aussi Sganarelle qui dévoile sa personnalité

Dom Juan n’interprète pas avec réel exactitude le schéma classique qui doit généralement se découper après la scène d’exposition. L’exposition est constituée par les deux premières scènes où Sganarelle puis Dom Juan font le portrait du « grand seigneur méchant homme » qui souhaiterait qu’il y « eût d’autres mondes pour pouvoir y étendre ses conquêtes amoureuses ». Cependant cette exposition ne respecte pas les règles du théâtre classique car elle doit normalement présenter dans sa première scène tout

DOM JUAN ACTE I, SCENE 1 Tirade de Sganarelle, portrait de son maître Don Juan : De « Je n’ai pas grand peine à la comprendre…………… » jusqu’à la fin de la scène. Introduction Cette tirade de Sganarelle est placée à la fin de la scène d’exposition de la pièce Dom Juan, pièce écrite en 1665 par Molière, comédien, auteur de théâtre et organisateur des fêtes du roi Louis XIV. Sganarelle expose à Gusman, valet de Done Elvire, le portrait de son maître qui est l’époux de Done Elvire, enlevée

Dimanche. Le rythme rapide de la scène est indispensable pour empêcher M. Dimanche de réfléchir. Pour cela les questions fusent (l.30, 34, 38, 40, 46, 54 et 60) et les quelques gestes seront nerveux (la didascalie de la ligne 1 indique "faisant de grandes civilités" et Sganarelle ôte ainsi prestement les sièges l.58-59). b) le jeu sur les paroles Dom Juan ne cesse de parler et prend des nouvelles de tous ceux qui sont chers à M. Dimanche et même du chien (chacun prononce autant de réplique que

de toi une méchante sorcière? - Seigneur évêque, laissez-moi mourir. Je suis lasse de la vie ; car tous ceux qui me regardent sont condamnés à souffrir. Le feu magique est dans mes regards, et mon bras est une baguette magique. Jetez-moi dans les flammes, détruisez mes enchantements. - Je ne peux pas te condamner avant que tu m'aies dit comment il se fait que ce feu magique ait déjà pénétré dans mon sein. Je ne peux pas te condamner, car mon coeur se briserait en deux. - Seigneur évêque, ne