Grand-Saint-Antoine

jansénisme. 3-Son origine. 4-Port-Royal: le grand foyer du jansénisme. 5-Le jansénisme et la question de la grâce. 6-La querelle janséniste. 7-La défense de Pascal. 8-l’influence du Jansénisme. 9-La conclusion.   La France a connu des guerres de religion entre catholiques et protestants dans la seconde moitié du XVIème siècle. Le XVIIème siècle fut le siècle le plus religieux dans l’histoire de France. Il est même désigné « le siècle des saints ».  Le jansénisme est un mouvement

de la Renaissance qui influença ses contemporains et de nombreux artistes bien après sa mort. Un extrait du Livre de raison tenu par le père de Michel-Ange, nous apprend exactement le lieu et la date de naissance de celui qui devait être un si grand artiste : « Je note que aujourd'hui 6 de mars 1474, il m'est né un enfant mâle (c'était le second). Je lui ai donné le nom de Michelagnolo. Il est né le lundi matin, entre cinq et six heures, à Caprese. Ses parrains ont été ceux qui sont nommés ci-dessus

XVIIe siècle : chronologie littéraire [pic] 1601 Pierre Charron, De la Sagesse - Antoine de Montchrestien, Sophonisbe 1602 Achèvement de l'Histoire universelle d'Agrippa d'Aubigné - Pasquier, Catéchisme des Jésuites 1603 1ère académie scientifique, "académie nationale des Lincei" 1604 Création de la "Paulette" : les charges publiques vénales peuvent devenir héréditaires 1605 Construction du canal de Briare (1605-1612) 1606 Jean Nicot, Trésor de la

l’Ode. Il rédige ses premières Poésies latines et françaises. Après des études auprès de Marc-Antoine Muret, Jean Dorat (1508-1588) fut nommé Principal du collège de Coqueret, prêtre d’Amiens, sur la Montagne Sainte-Geneviève à Paris (près du Panthéon actuel), il y fait entrer deux de ses élèves, Ronsard (qui lui-même était l’arrière arrière-petit-fils d’une Jeanne du Bellay ( 1390-1465)) et Jean-Antoine de Baïf. Du Bellay les y rejoignit, s’efforçant avec passion et ténacité de combler les lacunes

cordonnier, et de Catherine Bellanger, Marin Marais entre comme enfant de chœur à de Saint-Germain-l'Auxerrois de Paris en 1667, grâce à l'intervention de son oncle Louis Marais, vicaire dans cette église, placée sous le patronage du roi. Il quitte le choeur en 1672 (à la mue) et prend des leçons de musique avec François Chaperon, en compagnie de Michel-Richard de Lalande. Puis il prend six mois de cours de viole avec Sainte-Colombe. Vers 1675 il joue dans l'orchestre de l'Académie royale (Opéra) de

1836 de Élisa Schlésinger à qui il vouera toute sa vie une profonde passion (cette rencontre a été ensuite transposée par Flaubert dans L'Éducation sentimentale). Il échappe au service militaire et entreprend, en 1841, des études de droit sans grande conviction. En janvier 1844, il les abandonne, à cause de ses premières crises d'épilepsie, et en juin 1844 il s'installe à Croisset, sur les bords de la Seine (Haute-Normandie). Il écrit alors plusieurs nouvelles et une première version de L'Éducation

qui séjourna à Rome de 1759 à 1763 où il remporta le Grand Prix de Rome en 1758. De 1767 à 1769, il réalise l'Hôtel de Saint-Florentin pour le comte de Saint-Florentin à l'angle nord-est de la place de la Concorde à Paris, de 1767 à 1770; l'Hôtel de Mlle de Luzy, dans la rue Férou à Paris, en 1777, il restaure la façade de l'église Saint-Sulpice, de 1777 à 1780, il construit le monumental buffet d'orgue ainsi que la tour Nord de l'église Saint-Sulpice, il fut élu en 1799 à L’académie des Beaux-Arts

Pierre de Ronsard (né en septembre 1524[1] au manoir de la Possonnière, près du village de Couture-sur-Loir en Vendômois et mort le 28 décembre 1585 au Prieuré de Saint-Cosme en Touraine[2]), est un des poètes français les plus importants du XVIe siècle. « Prince des poètes et poète des princes », Pierre de Ronsard, adepte de l’épicurisme, est une figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance. Auteur d’une œuvre vaste qui, en plus de trente ans, a touché aussi bien la poésie engagée

son père le confia, avec sa plus jeune sœur Suzanne, son aînée de deux ans, aux grands-parents maternels dans le Jura. Il a été inspiré de la campagne. Il connut la période de séparation de l’Eglise et de l’Etat, les luttes violentes entre républicains et cléricaux. Son grand-père engagé en faveur des républicains. Il gardera de cette expérience un sentiment hostile d’intolérance et d’injustice. A la mort de ses grands-parents il est accueilli par sa tante. Il fut un très bon élève. Entré en mathématiques

Littérature française moderne et contemporaine : histoire, critique, théorie M. Antoine Compagnon, professeur Cours : « Morales de Proust » Le cours a porté sur l’œuvre de Proust pour une deuxième année consécutive, mais, après « Proust : Mémoire de la littérature » en 2006-2007, sur un sujet nouveau et tout autre, « Morales de Proust », sujet risqué des deux côtés : du côté de la morale, car celle-ci a été longtemps tenue pour hors-jeu dans les études littéraires, et du côté de Proust, car