Grand écuyer de France

COUR. Acte premier DON SALLUSTE Le salon de Danaé dans le palais du roi, à Madrid. Ameublement magnifique dans le goût demi-flamand du temps de Philippe IV. À gauche, une grande fenêtre à châssis dorés et à petits carreaux. Des deux côtés, sur un pan coupé, une porte basse donnant dans quelque appartement intérieur. Au fond, une grande cloison vitrée à châssis dorés s'ouvrant par une large porte également vitrée sur une longue galerie. Cette galerie, qui traverse tout le théâtre, est masquée par d'immenses

thème trouve son origine en Espagne dans une pièce de Tirso de Molina, El Burlador de Sevilla. La pièce passée en Italie a inspiré Cicognini (en), Giliberto et la commedia dell'arte sous le titre de El Convitato di Pietra. Elle devient célèbre en France à partir de la représentation des Italiens de 16585. Il semble cependant que Molière n’ait eu connaissance que des versions italiennes et françaises. Cette pièce s’inscrit dans un projet de Molière de « dénoncer les vices du siècle », en particulier

à Paris, où il demeurera, sauf durant de nombreux mais courts voyages (Bretagne, Rhin, Pyrénées), jusqu’au départ pour l’exil. Après un bref séjour aux Feuillantines, il poursuit sans enthousiasme ses études à la pension Cordier, puis à Louis Le Grand, enfin à la faculté de droit. Poète lauréat (Académie française 1817 ; Jeux Floraux de Toulouse 1819), il se consacre dès lors à la littérature et fait paraître avec ses frères le Conservateur littéraire (1819). En 1822 il épouse Adèle Foucher, malgré

mai 1610 Anouck / Léonie sources : - l’assassinat d’Henri IV. Un essai d’histoire immédiate, Michel Cassan dans Europa Moderna. Revue d’histoire et d’iconologie / Année 2011 / 2 / pp. 14-24 - L’assassinat d’Henri IV, Roland Mousnier - La grande peur de 1610 : les français et l’assassinat d’Henri IV, Cassan Michel - l’historiographe Pierre Matthieu (contemporain de l’époque) - L’après Henri IV, Jean-François Dubost dans Europa Moderna. Revue d’histoire et d’iconologie / Année 2011 / 2

celui-ci et Gusmon, écuyer de Done Elvire. Ce dernier ne comprend pas pourquoi le maître de Sganarelle a abandonné Elvire après l’avoir enlevée de son couvent et épousée. Sganarelle lui explique alors que Dom Juan est un libre penseur, un « épouseur à toutes mains », « grand seigneur méchant homme ». (Scène 1) C’est alors qu’entre en scène Dom Juan, qui confie à son valet qu’intéressé par la seule conquête, il ne peut s’attacher à aucune femme (inconstance de l’amour) et que, tels les grands conquérants

Picrochole, ou Gymnaste qui met en pièces le capitaine Tripet et « autres gens » de ce roi irascible, les valeureux combattants se transforment volontiers en acteurs du rire, déclenchant l’hilarité du lecteur directement plongé dans une scène ubuesque à grand renfort d’acrobaties et de pirouettes qui gomment ainsi la gravité des blessures et la violence des conflits. Le sang qui coule et les corps déchiquetés deviennent ainsi des éléments plus comiques que tragiques et rappellent l’extravagante naissance

à la même époque apparaissaient les ordres de chevalerie au rôle essentiellement politique. Les grands Ordres de Chevalerie. Nous ne pouvons citer tous les Ordres mais en voici quelques-uns : L’Ordre de Saint-Michel : Fondé à Amboise en 1469 par Louis XI. Ses membres se disaient chevaliers de l’Ordre du Roi. Sa fête est le 29 septembre et le jour de la fête nationale. Le roi de France le dirigeait et les chevaliers, au nombre de trente-six, devaient lui prêter serment. Les chevaliers

Chapitre 2 : les carolingiens La famille Carolingienne est issue de l’aristocratie, des grandes familles seigneuriales qui sont en place à la fin de la dynastie précédente. On considère que cette dynastie est fondée par Pépin le Bref, qui a régné de 751 à 768. C’est le fils de Charles (en latin carolus, c’est lui qui a donné son nom à la dynastie) Martel, il est resté célèbre pour sa victoire à Poitier sur les Sarrazins en 752, et sur leur chef Abd el Rahman, personne n’avait stoppé ces invasions

(1770-1837), Napoléon Ier, empereur des Français , 1805, château de Versailles, huile sur toile, 2,25 x. 1,47 m. Commandé à Gérard en 1805 pour l'hôtel du ministre des Relations extérieures, ce tableau représentant Napoléon en "grand habillement" du Sacre (couronne, sceptre, main de justice, globe crucifère, collier de la Légion d'honneur…) a fait l'objet d'un nombre important de répliques destinées à prendre place dans l'appartement d'honneur de chaque résidence politique à l'étranger

en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 67.71.133.50 - 24/09/2015 01h25. © Fond. Nationale de Gérontologie Fond. Nationale de Gérontologie | « Gérontologie et société » EXCLUSION ET VIEILLESSE Introduction historique JEAN-PIERRE BOIS Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 67.71.133.50 - 24/09/2015 01h25. © Fond. Nationale de Gérontologie A la cadence des grands cycles démographiques