Gradiva

identifier des points de liaison et ne pas davantage appliquer, plaquer les théories métapsychologiques, soit soumettre l’œuvre cinématographique à une théorie préexistante et donc figée, afin de pouvoir considérer – selon le mot de Freud dans la Gradiva – les œuvres cinématographiques comme des « alliées » et non comme des objets ? 11 Il se joue, comme dans tout enjeu de rencontre, la problématique du juste écart, de la juste distance, qui suppose de reconnaître – suffisamment – l’altérité et les

(1907), trad. D. Guérineau, in Névrose, psychose et perversion, Paris, Presses Universitaires de France, 1973. * Le délire et les rêves dans la Gradiva de W. Jensen (1907), trad. R. M. Zeitlin, précédé de Wilhelm JENSEN, Gradiva, fantaisie pompéienne (1903), trad. J. Bellemin-Noël; Paris, Gallimard, 1986. (Anciennement: Délire et rêves dans la "Gradiva" de Jensen. ) 1908 "Caractère et érotisme anal" (1908), trad. D. Berger, P. Bruno, D. Guérineau, F. Oppenot, in Névrose, psychose et perversion

cours d'eau avec des arbres qui s'y reflètent ; les branches d'un saule pleureur figurent les cheveux de la jeune femme. Mais Man Ray pense probablement surtout à la porte que son ami Marcel Duchamp a dessinée pour la galerie d'art d'André Breton, Gradiva, qui vient d'être inaugurée quelques semaines auparavant, au mois de mai 1937. Les pages de l'agenda de 1937, dans la semaine du 3 au 9 mai, confirment la participation active de Man Ray à cet événementMais le dessin de Man Ray pousse encore plus

l'Interprétation des rêves (1900) Psychopathologie de la vie quotidienne(1901) Fragment d'une analyse d'hystérie : Dora ; Trois Essais sur la théorie de la sexualité ; Le Mot d'esprit et ses rapports avec l'inconscient (1905) Délire et rêves dans la Gradiva de Jensen (1907) Analyse d'une phobie d'un petit garçon de cinq ans : le petit Hans ; Remarques sur un cas de névrose obsessionnelle : l'homme aux rats ; Cinq Leçons sur la psychanalyse (1909) Un souvenir d'enfance de Léonard de Vinci (1910) Remarques

et fantastique puisque la statue vivante est un thème de réécriture extrêmement riche (amour ou destruction). Groupement de Textes  • Molière, Dom Juan, V, scènes 4, 5, 6. • Prosper Mérimée, La Vénus d’Ille • Wilhelm Jensen, Gradiva. Liste à compléter par les élèves en justifiant leur choix (automates, robots, créatures et créateurs, golem, cariatides, etc.), références cinématographiques. Séance 6 : Histoire des arts, Pygmalion et Galatée (variante) Observer sans

Ludwig Binswanger, et que Freud devient corédacteur d'une nouvelle revue, Zeitschrift für Religionpsychologie et y publie, dans le numéro 1, le premier des nombreux textes qu'il consacre à la religion. Freud publie également Délires et rêves dans la Gradiva de Jensen, et Jung, à son retour, fonde à Zürich la « Société Freud ». De nouveaux médecins se joignent aux travaux en 1908, Ernest Jones (Toronto puis Londres), Karl Abraham (Berlin), Sandor Ferenczi (Budapest), et sous l'impulsion de Jung, un Congrès

sentiments émotions, les contient ou les développe. Il rend la vie supportable (NIETZSCHE), il sublime la douleur (FREUD)). III/L’artiste. A/ La notion de génie artistique. Le secret du don artistique a fasciné FREUD : Délires des rêves dans la Gradiva de JENSEN Il assimile le don artistique à une névrose. L’art devient un conflit fort chez certaine personne, entre le principe de réalité et de plaisir et celui-ci explique l’énergie libidinale. L’artiste est celui qui repousse les limites qu’une

Milton Friedman, «The Methodology of Positive Economics», in Essays in Positive Economics, Chicago, s/d, pp. 3-43; vd aussi le commentaire de Mark Blaug, The Methodology of Economics, 2nd ed., 1992, trad. port. A Metodologia da Economia , Lisboa, Gradiva, 1994, pp. 146-150. 13 Cf. K. Popper, “La rationalité et le statut du principe de rationalité”, in CLAASSEN, Emil M. (Sous la direction de), Les fondements philosophiqu es des systèmes économiques, Paris, Payot, 1967, pp. 142-150. Souligné par moi

Cadaquès chez Salvador Dali durant l’été et sont séduits par la personnalité atypique du peintre. Mais surtout Dali rencontre à cette occasion, Gala, la femme de Paul Eluard dont il tombe éperdument amoureux et qui sera sa muse, sa béquille, sa gradiva (celle qui avance) tout au long de sa vie. Exclu par son père jusqu’en 1948, qui n’approuve pas sa relation avec Gala et vexé par des écrits de Dali concernant sa mère, le peintre et sa muse s’installent dans une vieille maison de pêcheur à Port

C’est que l’image comporte une sorte de valeur ajoutée, qui s’impose à l’esprit en dépit de la réalité : ici, le mythe biblique avec tout le poids de son autorité. Ailleurs, ce sera le mythe personnel, comme dans le cas du Norbert Hanold dans la Gradiva de Jensen. 2 – Que dire alors, des ravages de l’imagination, non plus en ce qui concerne les croyances personnelles, mais les croyances collectives ? Il y a déjà les contes pour enfants, imaginés par les adultes à des fins de socialisation. La