Gouvernorat de Gabès

(Maroc et Tunisie) I- La répartition territoriale et sectorielle des PME 1- La concentration géographique et sectorielle en Tunisie La Tunisie est administrativement divisée en 24 gouvernorats. La distribution de l’activité industrielle démontre une concentration élevée dans les régions de Tunis, Sfax, Nabeul, Gabès et l’axe Sousse-Monastir12. La région du Grand Tunis Une forte concentration industrielle est évidente dans cette région qui inclut les régions de Tunis, Ariana Mannouba et Ben Arous

villes et l'agriculture : la « Ghouta » de Damas _____________________________________ 4 la concurrence le tourisme et l'agriculture :Nabuil/Hammamet (Tunisie) ____________________________________ 4 La concurrence entre l'industrie et l'agriculture :Gabès (Tunisie) ___________________________________________ 4 CONCLUSION___________________________________________________________________________ 4 BOUZIANC SEMMOUD, 2010 : « le Maghreb et le Moyen-Orient dans la mondialisation » chez A.Colin. INTRODUCTION

grands marchés d’Etat Frere: Afif Chiboub Vice-président de la Chambre des députés RCD Courtier en assurances Pdg de Méditerranéenne de Commerce, de Transport et de Consignation (MCTC) Président de la Fédération régionale de la solidarité sociale du gouvernorat de Tunis Président Directeur Général MARÉ Agence maritime président du Conseil maghrébin de la Choura fils: Imed ben Habib ben Bou-Ali LETAÏEF fils: Naoufel ben Habib ben Bou- Ali LETAÏEF Kamel Eltayef Dr. Hamed Karoui Soeur: Naima Ben ali marié

Tunisie. Vu tous ces avantages, la Tunisie a décidé d’exploiter cette énergie éolienne puisqu’elle jouit d’un potentiel éolien important. Les gisements éoliens les plus intéressants se trouvent dans certaines régions du Cap Bon, Théla, Bizerte et Gabès. Le vent étant une source certes inépuisable, les aérogénérateurs sont loin de l’être, leur fiabilité et disponibilité sont fortement liées aux conditions d’exploitations. Suite à des défauts dus à l’instabilité du réseau, à des conditions climatiques

pour l'agriculture oasienne ce type de dispositif. Ces pratiques agricoles si elles sont nouvelles pour les oasis marocaines, ont déjà fait leur preuve dans d’autres contextes oasiens depuis plus de 10 ans (en particulier en Tunisie oasis de Chenini-Gabes). 11. Dans la Province de Tata, 4 sites feront l'objet de ce type d'intervention, à Foum Zguid, Tata, Akka et Foum el Hisn/Tamanar. La sélection fut opérée préalablement, suite à une mission de terrain, et la satisfaction d'un certain nombre de critères

initial investi. Aussi, les intérêts, dividendes, tantièmes, rémunérations, parts de fondateur et plus-values réalisés par les investisseurs non-résidents ne sont pas imposables et leur rapatriement ne fait l’objet d’aucune restriction. 1.4 arides (Gabès, Gafsa, Médenine, Kébili, Tataouine et Tozeur) et de 25 % pour les projets de pêche dans les ports du littoral nord (de Bizerte à Tabarka). Toutefois, en ce qui concerne les investissements dans le cadre d’activités non exportatrices, une autorisation

dégradée, car la baisse de la production de la pêche de 0,8% amorcée en 1988-1991 s’est poursuivie en 1992-1995 (-1%). Cette contre performance s’explique par les difficultés du gouvernement à orienter les producteurs des zones sur-exploitées du golfe de Gabès vers les zones insuffisamment exploitées du Nord, malgré les incitations économiques octroyées (primes d’investissement, subventions du gas-oil et des services portuaires). Ces mesures n’ont commencé à avoir leurs effets qu’après 1996. En effet, au

une société industrielle implantée à Mégrine qui a réalisé au titre de l’exercice 2010 un bénéfice fiscal de 200.000 D dont 60 % ont été réinvestis dans la souscription au capital d’une société qui a réalisé une unité hôtelière implantée dans le gouvernorat de Tozeur (zone de développement Régional) Cette souscription a été entièrement libérée. Le C. A. au titre du même exercice s’est élevé à 5 MD. L’impôt dû par cette société au titre de l’exercice 2010 est liquidé comme suit : - Bénéfice fiscal

les superficies récoltées n’ont porté que sur 800 mille hectares, étant donné qu’environ 533 mille hectares ont été endommagés, notamment dans le Centre et le Sud et dans certaines régions du Nord-Ouest, particulièrement le Kef et Siliana, et le gouvernorat de Zaghouan. En outre, le déficit hydrique, enregistré à la fin du mois d’avril et durant le mois de mai 2008, a eu un impact négatif sur les rendements. Ainsi, la production céréalière a diminué d’environ 40%, pour se situer à 11,9 millions de

l’enseignement secondaire. Nous voilà donc en octobre 1949. Ben Ali est admis au collège de Sousse, unique établissement d’enseignement secondaire, à l’époque, pour toute la 4ème Région. C’est ainsi qu’on désignait un vaste territoire qui englobait les gouvernorats actuels de Sousse, Monastir, Mahdia, Kairouan et Kasserine. Voilà donc le jeune homme obligé de se lever à l’aube pour se rendre à Sousse en piéton quel que soit le temps, se contenter, à midi, en guise de déjeuner, d’une demi galette d’orge fourrée