Gouvernement Lionel Jospin

mutineries de 1917 », Jean-Pierre Azéma, l'Histoire n° 107 , janvier 1988 Documents 3: Les mémoires des fusillés. Réhabiliter les « fusillés pour l'exemple »? La polémique de 1998.Extrait du discours prononcé par Lionel Jospin, premier ministre (Parti socialiste), le 11 novembre 1998 à Craonne (Aisne), lors des cérémonies de commémoration de l'armistice.« Craonne est cet endroit où une armée d’élite, qui avait déjà durement et glorieusement combattu […], fut projetée

les traditions, les habitudes, les façons de penser obligent à constater les différences d'évolution, il n'est pas possible, il n'est pas admissible, il ne sera jamais retenu par le gouvernement qu'à l'intérieur de chacune de ces institutions il y ait des citoyens inégaux. (...) La politique d'intégration du gouvernement ne serait pas comprise s'il ne s'y ajoutait la volonté ferme et entière, dans le domaine économique et social comme dans le domaine politique et dans le domaine administratif, d'offrir

(Jean Massot, « Alternance et cohabitation sous la Ve République », La Documentation française, 1997). Dans cette configuration, le pouvoir exécutif, exercé par le Président de la République et par le Premier ministre qui dirige l'action du Gouvernement, est donc assuré par deux adversaires politiques, choisis démocratiquement, mais à des moments différents, par le corps électoral. Longtemps inenvisageable, la cohabitation est cependant devenue réalité 28 ans après la promulgation de la Constitution

nationale. Siégeant au Palais Bourbon, elle est élue tous les 5 ans au suffrage universel direct (scrutin majoritaire uninominal à deux tours). Elle est chargée de voter les lois et le budget. C’est également elle qui contrôle l’activité du gouvernement. L’autre institution législative importante est le Sénat qui siège au Palais du Luxembourg. Élu pour 6 ans au suffrage universel indirect, il est renouvelé par tiers tous les 3 ans. Cela signifie que tous les 3 ans, une partie du

programme commun de la gauche François Mitterrand, secrétaire général du Pari socialiste ( PS ) qu'il a refondé en 1971 au Congrès d'Épinay, signe en 1972 avec le Parti communiste et le Mouvement des radicaux de gauche ( MRG ) un programme commun de gouvernement qui prévoit la nationalisation des grandes entreprises, le rétablissement du scrutin proportionnel et la réduction des pouvoirs du président de la République. • Un septennat inachevé Aux élections de 1973, la majorité présidentielle l'emporte grâce

première a lieu dans la période de l’entre deux guerres (1936-1938); la deuxième s’éroule au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et la dernière au début des années 1980 . a) Période de l’entre deux guerres L'année 1936, avec l'avènement du gouvernement de Front Populaire, conduit à une vague de la nationalisation. C’est la première fois que la gauche détienne le pouvoir. Les sociétés à nationaliser incluent : les sociétés d’armement (1936), les société ferroviaires (1937 : la création de SNCF)

d’autonome à partir d’octobre qui duraient respectivement trois mois chacune. Aujourd’hui, le Parlement tient une seule session qui dure neuf mois. Elle commence le 1er octobre et se termine le 30 juin (article 28). L’article 29 dispose que le gouvernement peut également se réunir en session extraordinaire le Parlement. D’après l’article 29, une session extraordinaire ne peut pas durer plus de 12 jours au rythme d’une par mois (soit maximum trois par an). Le terme « parlement » était déjà utilisé

et non syndiqués. 1963 : Réforme Fouchet visant à distinguer un cursus long d’un cursus court dans l’enseignement supérieur. Grève contre le plan Fouchet. Grève des loyers dans les cités universitaires. 1964 : Refus du gouvernement de supprimer la réforme Fouchet. Le gouvernement supprime 4 sièges à l’UNEF au Conseil des œuvres universitaires. 1965 : Restauration de la subvention gouvernementale à l’UNEF. Grèves et manifestations pour l’allocation d’études. 1966 : Application de la première tranche

 Suite aux événements ayant eu lieu au collège Gabriel Havez de Creil,en septembre 1989, au sujet du port de signes religieux dans l'établissement publique,Lionel Jospin,ministre de l'éducation nationale saisi le conseil d'état,qui émettera un avis d'assemblée le 27 novembre 1989 en réaffirmant le principe de neutralité concernant les programmes scolaires et du personnel educatif ,mais aussi la liberté de croyance des élèves ,pourvu que le port de signe distinctif soit de nature discrete et n'affecte

1944-1946 ) |                    1. Le rétablissement de la démocratie républicaine • Le Gouvernement provisoire de la République française   Présidé par le général de Gaulle et composé de Résistants, le Gouvernement provisoire de la République française ( GPRF ) rétablit l'autorité de l'État, mais la question des institutions est renvoyée à plus tard. • L'effacement de la Résistance et le