Gouvernement intérimaire rwandais

revenir sur les territoire Rwandais en 1963. Mais, ces derniers échouèrent. A la suite du coup d'Etat du président Habyarimana (Hutu)pour la gouvernance du Rwanda, une nouvelles vague d'exil s'effectua. Cepedant ce dernier ne semblait pas vouloir pratiquer la politique de discrimination ethnique de son prédécesseur empêchant les Tutsis d'accéder à des postes de responsabilités politiques. En 1987, les tutsis et opposants Hutu exilés en Ouganda créèrent le Front Patriotique Rwandais et lancèrent une attaque

 Le génocide rwandais Introduction : Commençons par rappeler quelques éléments sur les faits. D'avril à juillet 1994 au Rwanda sont déclenchées des tueries de masse à l'encontre des membres de l'ethnie tutsie. Ces massacres touchent la quasi totalité du territoire, sont menées par l'ensemble de la population, et atteignent une efficacité monstrueuse : en une centaine de jours, des centaines de milliers de personnes sont assassinées. Des débats existent sur le nombre de tués

les esprits contre les Tutsi depuis plusieurs mois. Il y avait un projet génocidaire datant de plusieurs années, et finalement exécuté par les extrémistes hutu de l'entourage du président Habyarimana, constitués aussitôt après sa mort en gouvernement intérimaire sous l'instigation du colonel Bagosora. Selon cette thèse, les « médias du génocide » tenus par les Hutu extrémistes furent un élément essentiel de la préparation et la mise en œuvre du génocide. Les missions parlementaires belge et française

les droits de la masse populaire hutu ; l’Unar (Union nationale rwandaise), composée à peu près de deux tiers de Tutsi et d’un tiers de Hutu, soutenait la monarchie et réclamait l’indépendance immédiate ; le Rader (Rassemblement démocratique rwandais) était également composé de Hutu et de Tutsi, il comprenait beaucoup d’auxiliaires tutsi de l’administration et était hostile à la monarchie ; enfin le Parmehutu (Parti du mouvement pour l’émancipation hutu) affichait par définition la promotion

région des Grands Lacs. Le pays est bordé à l'ouest et au nord-ouest par la République démocratique du Congo (Kinshasa), au nord par l'Ouganda, à l'est par la Tanzanie et au sud par le Burundi. Sa capitale Kigali est située au centre du pays. Les Rwandais, habitants du Rwanda, parlent le kinyarwanda, et vivent dans les collines qui constituent la localisation de référence des habitats. Il faut également savoir que le pays est l'un des plus densément peuplés au monde. Sur un plan politique, le

1) Les données historiques 1.1)La période précoloniale 1.2)Le protectorat allemand 1.3)Le mandat belge et l’influence de la Religion Catholique  2) Le massacre rwandais 2.1) Les racines du génocide 2.2) Le massacre des tutsis 2.3) La fin du génocide 3) Le Génocide Rwandais : Les responsabilités extérieures 3.1) La position belge 3.2) Le rôle de la France 3.3) Le rôle de l’ONU 3.4) La position américaine 4) Le Rwanda aujourd'hui

1992, puis l'assassinat en octobre 1993 du premier président Hutu burundais élu, Melchior Ndadaye et le soutien stratégique de la France, notamment la mise en œuvre de sa doctrine militaire de la guerre contre-révolutionnaire, qui donne au régime rwandais la caution politique de la « Patrie des Droits de l'homme », en particulier dans le processus d'organisation autour de la « désignation de l'ennemi ». Le chanteur-compositeur Simon Bikindi membre du MRND, qui chantait l'extermination des Tutsi dès

Génocide Rwandais · Fin XIXeme des explorateurs Allemands découvrent le Rwanda: Au Rwanda, on considère que les Hutu sont arrivés de l'ouest entre le XIe et le XIVe siècle et qu'ils auraient soumis les Twa locaux ( pygmées de la région des Grands Lacs considérés comme les habitants les plus anciens de cette région. Ils sont extrêmement minoritaires (entre 0,02 et 0,7 % de la population) et marginalisés). Au cours du xve siècle, les populations Tutsi originaires du nord auraient, à leur tour,

Congo-Braza, Zambie, RCA, SudSoudan6), constituée par le Pacte de Nairobi tel que ratifié par les Etats, dotée d’une personnalité juridique propre et distincte de celle des Etats membres et disposant des organes propres (sommet des chefs d’état et des gouvernements, comité régional interministériel, secrétariat exécutif et les mécanismes nationaux de coordination et de coopération). peace keeping in africa : capabilities and culpabilities", Genève, institut des Nations Unies pour la recherche sur le

n'importe quelle société et par prolongation leur définition de déviance. Quelque chose qui défie la commande de l'élite sera probablement considéré déviant ou moralement répréhensible. La théorie peut être appliquée à grande échelle, comme le gouvernement des États-Unis ou la Russie soviétique, historiquement, ou à petite échelle à l'instar d'un club d'organisation ou d'école d'église. En résumé, la théorie de conflit cherche à cataloguer les manières dont ceux dans la recherche de puissance travaillent