Gouvernement de l'Église catholique

Crises politiques de la IIIème République Crise boulangiste (1887-1889) Contexte : Conjonction des extrêmes contre la politique modérée des gouvernements, affaiblissement du régime. Œuvre sociale de la République limitée (volonté de ménager les campagnes, pas de majorité radicale le permettant) : désenchantement de la classe ouvrière citadine (1882, crise économique, climat sociale lourd). Orgueil national blessé (Alsace-Loraine) et insatisfait, (malgré les conquêtes coloniales) : politique

THEME 3 : LA TROISIEME REPUBLIQUE AVANT 1914 : UN REGIME POLITIQUE, UN EMPIRE COLONIAL Chapitre 1 . La mise en place du projet républicain Introduction Le terme de république vient du latin res publica, affaire publique, qui signifie que le gouvernement est chargé de l’intérêt général. C’est donc un régime politique dans lequel le pouvoir n’est pas héréditaire et doit représenter l’intérêt de la nation. En septembre 1870 , la IIIe République naît de la défaite militaire face à la Prusse.

conserver la mairie de Vienne de 1897 à 1910. Il influence profondément Adolf Hitler lors de son séjour viennois et joue indirectement un rôle crucial dans la naissance de l'antisémitisme hitlérien. Néanmoins les juifs jouissent de la protection du gouvernement et de l'empereur François-Joseph lui-même. 3. En France En France, l'antisémitisme revêt d'abord une forme anticapitaliste. Il fait sa première apparition dans le milieu socialiste, avec le livre d'Alphonse Toussenel, Les juifs, rois de l'époque

Intro : Entre 1801 et 1905, la France vit sous le régime du Concordat, accord signé entre Napoléon et la Papauté et élargi aux autres confessions alors présentes sur le territoire national. Ce texte est un engagement réciproque entre l’Eglise catholique et l’Etat. Ce dernier reconnaît le catholicisme comme la « religion de la grande majorité des Français », ce qui n’en fait pas une religion officielle mais lui accorde un statut dominant. En contrepartie de ce statut privilégié, le clergé doit

détenant le pouvoir, comme la religion ou l'Etat, elle peut s'exercer sur les livres, des journaux, des bulletins d'information, des pièces de théâtre ou des films, etc. avant leur diffusion au public. Cette censure peut aussi bien être politique (le gouvernement limite la liberté d'expression) qu'indirecte (sous forme de pression). I- La censure avant le XVIIIème siècle . Dès le début de l'histoire, la liberté d'expression a toujours été accompagnée de la censure Le premier sens du mot « censure

la République n’est que provisoire et elle est confrontée aux deux drames de la guerre et de la Commune. Surtout, pendant la période « d’ordre moral », les Républicains doivent faire aux tentatives de restauration monarchique soutenues par l’Eglise catholique qui rejette l’héritage révolutionnaire et qui veut imposer le catholicisme comme modèle idéologique, comme force sociale, et pour qui la loi civile est indissociable de la loi morale dont elle affirme être le dépositaire. C’est donc contre la

immobilisme politique -> essor du socialisme et du mouvement Républicains - 25 février 1848 : Proclamation de la II éme République. Mise en place d’un gouvernement provisoire de 11 membres chargés de mettre en place les bases d’un nouveau gouvernement libéral. On trouve parmi eux Alexandre Martin ou encore Alphonse de Lamartine. Ce gouvernement provisoire prend des décisions symboliques importantes : -> Suffrage universel masculin -> Liberté de presse et d’opinion -> Droit du travail avec la

▪ Il porte aux problèmes économiques et sociaux un intérêt tout particulier. Il a visité à l’âge de vingt-cinq ans les régions industrielles anglaises ▪ Il croit à la démocratie césarienne: ← « Dans un gouvernement dont la base est démocratique, le chef seul a le pouvoir gouvernemental » (1839) ← En France, la liberté, à laquelle il est attaché doit être différée et ne pourra s’épanouir que lorsqu’elle ne se heurtera le principe même

conflits qui illustre bien cette affirmation est sûrement celui des fascistes contre l’église catholique. L’aspiration totalitaire des fascistes rencontre sur sa route un adversaire qui jouit d’un pouvoir immense en Italie : le Vatican. La seule crise d'envergure concerne encore une fois les organisations catholiques laïques, perçues par le gouvernement fasciste comme une menace. Mussolini, répugnant à attaquer l'Église de face, comme l’a fait Hitler au même moment, a préféré des actions d'intimidation

pouvoir politique ou administratif.»1 Le Gouvernement du Québec propose l’officialisation du principe de laïcité de l’État, en se basant que tout État Démocratique «garantissent ces principes.»2 Est-ce que le refus de laïciser l’Assemblée Nationale en patrimonialisant le crucifix va à l’encontre de cette laïcité? Le crucifix est-il un signe religieux ou un élément emblématique du patrimoine québécois? Il y a-t-il une cohérence dans les demandes du Gouvernement et les actions qu’eux même posent à ce