Gogol

d'Amérique, Moscou est une ville relativement riche en verdure. Chaque Moscovite dispose en moyenne de 27 m², contre 6 à Paris, 8,6 à New York et 7,5 à Londres. On trouve souvent dans les parcs de Moscou des statues de personnalités du pays : Nicolas Gogol et Alexandre Pouchkine font ainsi partie des nombreuses personnes immortalisées dans les espaces verts de Moscou. La quasi-totalité des statues de personnalités de l'ère soviétique ont disparu. Beaucoup ont été regroupées dans le parc des Statues sur

frisent l'insolence; il se permet aussi de philosopher. A propos de l'intrigue et de la manière dont se terminent les pièces de Molière, manière assez abrupte et relâchée en général, il est intéressant de noter ce qu'en disait Pouchkine à Gogol : « En entendant Gogol affecter de dédaigner Molière, de lui reprocher la faiblesse de ses intrigues et la banalité de ses dénouements, Pouchkine, indigné, lui avait rétorqué que le génie d'un créateur n'était pas dans les ressorts dramatiques utilisés, mais

au xixe siècle d'abord avec le romantisme, au début du siècle qui voit l'éclosion d'une génération talentueuse avec surtout Alexandre Pouchkine, Mikhaïl Lermontov. La suite du « siècle d'or de la littérature russe » produit de grands romanciers comme Nicolas Gogol, Fiodor Dostoïevski, Ivan Tourgueniev, Léon Tolstoï ; la fin du siècle est marquée par la figure du dramaturge Anton Tchekhov. Au tournant du xxe siècle, un nouvel élan littéraire

Allemagne, et Pierre Reboul s’est amusé à restituer des cadres germaniques aux complaintes qui semblaient les plus parisiennes[21] ; mais un carnet nous apprend que les cors de chasse de Babelsberg sonnaient « Le bon roi Dagobert »[22]... Comme pour Gogol immortalisant la Russie en Italie, l’exil berlinois pouvait raviver l’amour de Laforgue pour l’air parisien. « Thème de Paris », indique-t-il à Kahn en lui envoyant de Berlin la future « Complainte d’une convalescence en mai »[23], pourtant annotée

onirique. Certes quelques « déterminismes » subis par Blok font l'objet des premiers chapitres : la famille, le « solovievisme » (au sens large du mot, car Blok n'avait pas lu les œuvres philosophiques) et l'influence des trois « super-Russes » : Gogol, Dostoïevski et surtout Apollon Grigoriev. Néan moins, la thèse même de l'ouvrage, c'est l'homogénéité et l'Unité organique de 1 œuvre. Blok est donc présenté comme un rejet du romantisme allemand, un poète du « versant noir » de la poésie et de «

22 juin au 24 juillet 2011 par Simon Eine du 3 au 6 novembre 2010 Théâtre du Vieux-Colombier Les Habits neufs de l’empereur* Les Femmes savantes* de Molière mise en scène de Bruno Bayen du 23 septembre au 7 novembre 2010 Le Mariage de Nikolaï Gogol* mise en scène d’Alain Françon du 16 décembre 2010 au 28 mars 2011 mise en scène de Lilo Baur du 24 novembre 2010 au 2 janvier 2011 Un tramway nommé désir* La Maladie de la famille M.* de Tennessee Williams de Fausto Paravidino Les Joyeuses

de Delacroix ; Les Phares (poème) ; Critique d’art • Tracy Chevalier, La Jeune Fille à la perle et son adaptation cinématographique • Diderot, Salons • Maylis de Kerangal, Un Monde à portée de main • Pierre Michon, Maîtres et serviteurs • Nicolas Gogol, Le Portrait dans Nouvelles de Pétersbourg • Edgar Poe, Le Portrait ovale (possibilité de visionner la séquence de « Vivre sa vie » de • Godard, où la voix off dit un extrait de ce texte, tandis que Godard (le cinéaste-peintre) cadre le visage d’Anna

(p. 1023 ). En réalité nous sommes a proximité des objectifs de certains cantes de Gautier (Omphale, 1834) ou d'autres récits de l'époque hantés par la transposition artistique, tels certains cantes d'E.T.A. Hoffman ou le Portrait de Nicolas Gogol ( 1835). En conclusion, Mérimée s'est montré un artiste par ses combinaisons de la voix (ses contes se présentent comme des récits oraux pour la plupan), de l'écrit, de l'histoire et de l'an qui appelle le regard (peinture et sculpture) dans ses

intégrant certains aspects du roman réaliste, notamment l’importance des descriptions et l’ambition de présenter une « vue en coupe » de toute la société, c’est un roman populaire et bourgeois. En Russie, le style satirique est illustré par Nicolas Gogol (les Ames mortes, 1840), et par certains romans de Dostoïevski (le Bourg de Stepanchikovo et ses habitants, 1859). 5. LE ROMAN COMME UNIVERS Des années 1880 aux années 1940, le roman tend à rendre compte de toute l’expérience humaine individuelle

XVIIème siècle en France, le théâtre français de Louis XIV fleurit, plus particulièrement la tragédie. Le théatre russe se développe énormément à la fin du XVII ème siècle. Il est marqué par des auteurs réalistes comme Aleksandr Ostrovski et Nikolaï Gogol, mais c’est le naturalime qui s’impose de façon dominante à la fin du XIX ème siècle. Anton Tchekov peut être considéré comme un des continuateur du naturalisme. Konstantine Stanislavkij fonde en 1898 le Théatre de Drame de Moscou où sont joués des