Gnou bleu

scène plane un ciel rouge et gris. Structuré, la scène principale est mise en valeur par le fantôme, les visages en souffrance sont particulièrement mis en lumière, ils ont un teint blafards. Analyse : Les couleurs dominantes sont : le gris, le bleu, le vert (couleurs froides pours représenter la mort) et le rouge et orange (couleurs chaudes pour représenter la violence et l’agressivité) ; Le ciel rouge orangé vient allumer le ciel d’une lueur de fin du monde, d’apocalypse, accompagné de jaune

laissant voir sa poitrine, le terrain est détérioré (pavés, pierres, bois, etc) mais elle est pourtant pied nus. Cette tenue la rend différente, spéciale. Cette femme tien à sa main gauche un fusil à baïonnette, et à sa main droite le drapeau tricolore (bleu-blanc-rouge) qu'elle agite, probablement, et son visage est aussi tourné vers le peuple, peut être pour lancer un signal d'assaut. C'est cheveux sont noués et coiffée d'un bonnet rouge, plus principalement appelé le bonnet phrygien (symbole révolutionnaire)

Grammaire G-1 : Erreur sur le nombre. les voiture  les voitures la maisons  la maison­ les voitures bleu  les voitures bleues G-2 : Erreur sur le genre. la cheval  le cheval le partie  la partie la partie suivant  la partie suivante G-3 : Erreur dans les adjectifs de couleur (simples ou composés). des robes bleues pâles  des robes bleu pâle trois gilets saumons  trois gilets saumon G-4 : Erreur dans l’écriture des nombres. vingt-et-un  vingt

réalisée avec un savoir faire constructiviste où le poids de la couleur est aussi important que les mesures d'espaces. Cette œuvre de André Cadere est constituée de plusieurs formes géométriques différente et des couleurs primaires(Rouge,Jaune,Vert,et Bleu)en plus du noir. Cette constitution créer du relief dans certains endroits de l'oeuvre.Ont peut aussi remarquer que à chaque changement de figures géométriques,les couleurs et leurs fluorescences changent. Rattachement à un mouvement artistique :

vestimentaire → «  quand son trousseau...cuir de laine » accent mis sur la dégradation du costume et sur l'antithèse de la richesse passée du vêtement, au vêtement actuel. → « beau linge » s'oppose au « calicot » etoffe grossière → l'abit raffiné cf «  bleu barbot » s'oppose aux couleurs ternes « marron grossier » et « gris » s'opposent aussi au « cossu et grossier ». → précision temporelle « été comme hiver » = tenue unique → l'énumération « diamands...bijoux » renvoie à se richesse passée + au dénouement

ambiance climatique très particulière: « Tu rappelles ces jours blancs, tièdes et voilés », « Qu’enflamment les rayons tombant d’un ciel mouillé »… Il mentionne également souvent, le regard ensorcelant de cette femme: « ton œil mystérieux (est-il bleu, gris ou vert ?)». Il fait une parallèle Marie Daubrun explicite entre ce climat très ambivalent, le caractère de Marie Daubrun et son regard : « Ô femme dangereuse, ô séduisants climats », « Tu ressembles parfois à ces beaux horizons », « Qu'allument

Il ne faut pas parler dans les toilettes ou la salle de bain. Le marié doit porter quelque chose de clair pas de bleu, ni gris foncé, ni noir. Et interdiction de siffler, à l’intérieur de la maison comme dans la rue ! Se garder de renverser

pour l’invention du cinéma et de la télévision. Activité 3 p 29  La rétine humaine comprend trois types de cônes qui présentent un maximum de sensibilité pour une longueur d’onde et donc pour une couleur donnée :  Les cônes sensibles au bleu-violet (450nm)  Les cônes sensibles au vert (550nm)  Les cônes sensibles au jaune-rouge (590 nm)  Les cônes sont beaucoup moins sensibles à la lumière que les bâtonnets. Ils ne sont actifs que pour une intensité lumineuse forte comprise entre

le spectre de tantrazine possède des radiations vertes jaunes et rouges. ce spectre ne peut donc diffuser que ces couleurs. le spectre de bleu pathenté V possède des radiations violettes et cyan et ne va donc diffuser que celles-ci. le tantrazine va absorber les radiations jaune et rouge et diffuse uniquement les radiations vertes, cyan et violette. le mélange des deux espèces chimiques va donc diffuser des radiations vertes. il existe donc, ici, une synthèse soustractive. donc le spectre du

Fleur Bleue ? J'ai repris ceci que je vous transcris texto senso. Cette expression contient un adjectif composé qui est extrait d'une locution parfois encore employée "cultiver, aimer... la petite fleur bleue". Dans le langage des fleurs, le bleu pâle exprime une tendresse inavouée, discrète et idéale. Il faut remonter à 1811 et à une œuvre du jeune écrivain allemand Novalis, qui était en réalité le baron Friedrich von Hardenberg, pour trouver l'origine de cette expression. Dans son roman