Glaive Epee

fêtes (carnaval, festival), d’un défoulement collectif qui a lieu ici dans le cadre de la tumulte. Comme si l’homme avait besoin d’exprimer, dans le combat, ses pulsions les plus enfouies. L’andouille est aussi, de par sa forme, comme « son épée » (ligne 10), le glaive, un symbole phallique de virilité masculine. Rabelais enrichit ainsi chaque terme de son récit d’une visée symbolique qui permet d’authentifier le combat. Pour conclure, on dira, que, de manière dissimulée, cryptée, Rabelais semble

jour où j’avais enterré maman » (l. 11). ð  Le soleil est tour à tour Eros et Thanathos, dieu grec de la mort, représenté chez Euripide, dans Alceste, portant une épée : « la lumière a giclé sur l’acier et c’était comme une longue lame étincelante qui m’atteignait au front » (l. 23-24). On retrouve l’image de la lame : couteau = « glaive éclatant » (l.31) : arme divine. L’expressivité du texte va très loin dans la dramatisation, ce qui fait nettement la différence avec tout ce qui précède (ton neutre

bouclés, il est sacré chevalier par son oncle le comte de Montcornet pour sa bravoure. Mis à part sa fougue et sa joie excessive qui l’ont mis maintes fois en danger, Thibault est un garçon honnête et attaché au sens sacré de la chevalerie. Armé de son glaive Santacrux, d’un bouclier vert et d’une pierre magique le rendant invincible, son rêve est d’acquérir gloire et renom à travers les combats mais aussi d’épouser l’élue de son coeur la belle Eléonore.
 b) Eléonore :
Fille du Comte de Blois, âgée de

Samnite : bouclier long, (scutum), casque, épée et recourbé - Rétiaire : trident et filet, protection d’épaule, (galerus) et de bras, (manica) - Thrace : petit bouclier rond (parma), sabre court et recourbé, casque - Mirmillon : scutum, glaive, manica, jambière - Secutor : scutum, glaive, casque, manica, jambière - Provocator : scutum, dague (pugio), casque, galerus - Hoplomaque : parma, pilum, casque, manica, 2 jambières - Arbelas : manchon (arbelos), glaive, casque, cuirasse, 2 jambières L’amphithéâtre

  enfants  vers   pour  certains  la  mort  et  enfin,  les  femmes  pour  avoir  un  soutien   à  leur  chagrin.     Le  pavé  permet  la  régularité  et   .  Le  prolongement  de  ces  lignes  permet    :  les  mains  du  père  détenant  les  glaives.  Le  regard  est   prêté   par  les  Horaces.     peintre  ne  fait  pas  que  nous  décrire  un  instant  T  de  la  vie  des  Horaces,  il  souhaite  nous  raconter  ce   moment  de  leur  vie.   -­‐dessinée.    Dans  le  premier  tiers,    les

rectangulaires - - Bois - - Cheminées- Nourriture Act. économiques Activités militaires - - Gibier (sanglier) - - Poissons - - Soupe - - Vin - - Bière - - Agriculture - - Chasse - - Commerce - - Artisanat - - Pêche - - Métallaurgie- - - Epée, bouclier, glaive - - Palissade - - Tour de guêt - - Se battent contre les Romains - Organisat. Social Croyances Expression artistiq. - - Niveau Hô=Fem - - Druides - - Chef du village - - Bardes (poèsie, musique) - - Politéhystes - - Menhirs - -

27-34) Meursault se rend compte de son meurtre et redevient lucide et maître de son destin. I.1) Une crise tragique ♠ Une image est tirée de la religion : « Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux » (l.19-21). L’« épée » (l.19) et le « glaive » (l.18) sont des images bibliques, l’« épée brûlante » (l.19) fait penser à Vulcain (Héphaïstos), le dieu forgeron, de plus la chaleur évoque l’Enfer. L’oxymore « pleuvoir du feu » (l.23-24) n’est pas sans rappeler l’épisode

être mère; c'était votre plus cher voeu: votre noble époux,le comte Lodbrog, a promis un autel d'argent massif, un ciboire d'or fin à l'église de Saint-Euthbert si vous lui donniez un fils. Hélas! hélas! la pauvre Edwige a le coeur percé des sept glaives de la douleur; un terrible secret pèse sur son âme. Il y a quelques mois, un étranger est venu au château; il faisait un terrible temps cette nuit-là: les tours tremblaient dans leur charpente, les girouettes piaulaient, le feu rampait dans la cheminée

le plafond. Il semble s’égosiller. – Au sol, un personnage gît, les bras étendus, disloqués et même coupés. Sa main gauche, à la paume laissant apparaître un réseau de lignes profondes, rappelle la main d’un travailleur. La main droite, tient une épée brisée. C’est un soldat. Comme s’il était déjà sous terre, une petite fleur pousse au dessus de cette main. La bouche est ouverte mais muette, ses yeux sont ouverts mais sans vie. - Au centre du tableau, sous l’ampoule, un cheval se tord de douleur

destinés à faire écho aux messages rassurants de la manifestation, signe d’une France courageuse et unie, défendant les valeurs de la démocratie et de la liberté de la presse face au terrorisme. Iconographie révolutionnaire» Des crayons tenus comme des glaives ou des lances, un registre presque guerrier et qui s'inscrit dans la logique de la statuaire. Pourtant c’est surtout en faisant référence à des tableaux que les deux photos prennent une dimension emblématique. «Ils renvoient à tableaux très connus