Glaive Epee

sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir

c’est aussi à cause du soleil que Meursault croit voir l’Arabe rire, puisque ce sont les « ombres sur son visage » qui lui donnent cette impression, et c’est encore le soleil qui, par l’action de ses rayons, transforme le « couteau » en « épée », voire en « glaive », autant d’éléments qui, implicitement, justifient l’acte de Meursault. Mais si le soleil est responsable de l’état de trouble du personnage, ce sont surtout le ciel et la mer qui semblent l’engager à l’action. En effet, c’est une fois que

deux à trois spectacles par an. 2. De nombreuses incertitudes Il reste des armatures que l'on connait peu. * Les Equites: commencent à cheval et finissent à pied le combat. * Scissor : Pas de bouclier mais côte de maille + manchon + glaive. * Gladiateurs avec des fouets * Gladiateurs avec des yeux bandés. Autres incertitudes: * Les femmes : il parait qu'il y en a eu en provocatores * Présence de musiciens dans les arènes. * Le pouce de la mise à mort est

la partie qui semble le plus décris et donc le plus douloureux semble le visage « yeux » « cils » « paupières » « sourcils ». Mais on voit aussi que le narrateur veut comparer sa souffrance vec des armes similaire au couteau de l'arabe « glaive » «lame » « épée », pour montrer que ces armes la sont supérieurs au couteau, et donc montrer sa supérioté par rapport a l'arabe. Le soleil s'attaque au narrateur de manière inhabituel pour lui c'est a dire qu'il le brule, qu'il le fait souffrir ect, mais

description détaillée, faite progressivement, de manière à soutenir l'attention du lecteur dans le cheminement qui faisait que à la page 90 « [il se] tendait tout entier pour triompher du soleil et de cette ivresse opaque qu'il me déversait. À chaque épée de lumière jaillie du sable, […] [ses] mâchoires se crispaient. » À ce stade le récit est raconté chronologiquement jusqu'à ce qu’un second adversaire vient se joindre au soleil : l'Arabe. Sur la plage inondée du soleil rouge, rouge sang, Meursault

leurs techniques de combat. Elles reprenaient souvent l'armement de tribus ennemies fraîchement soumises par Rome : les rétiaires (trident et filet), les mirmillons (bouclier et glaive), les essédaires (combat sur un char), les samnites (épée, casque, bouclier long) qui plus tard deviennent les secutor, les thraces (épée courte, jambière, casque) ... Plus que cette interdiction, c'est l'affaiblissement des villes et la récession économique qui provoquèrent la disparition des gladiateurs. 6°

Faits Meursault est déstabilisé par cette douleur de l'aveuglement. La violence devient le seul moyen d'éliminer sa douleur. Preuves « Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. […] Tout mon être s'est tendu est j'ai crispé ma main sur le revolver. » Phrase conclusion/transition Les effets multiples du soleil sont définitivement à

sur les paupières et les a recouvertes d’un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jaillit du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C’est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m’a semblé que le ciel s’ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir

nasigère12 Sans s’écrier : "Oh ! non, vraiment, il exagère ! " Puis on sourit, on dit : "Il va l’enlever..." Mais Monsieur de Bergerac ne l’enlève jamais. LE BRET, hochant la tête Il le porte,-– et pourfend quiconque le remarque ! RAGUENEAU, fièrement Son glaive est la moitié des ciseaux de la Parque ! PREMIER MARQUIS, haussant les épaules Il ne viendra pas ! RAGUENEAU Si ! ... Je parie un poulet À la Ragueneau ! Edmond Rostand (1868-1918), Acte I, Scène 2, Cyrano de Bergerac, 1762 Introduction

innocentes de la guerre Les soldats sont impersonnels, ils représentent la force et les armées en général ; ils sont déshumanisés, ne portent que des armes parfois étranges ( fusils à 3 canons pour tuer encore plus ?), plus une épée (pour du corps à corps ?). vcelui qui porte ce glaive peut être celui qui donne l’ordre de tuer, il symbolise la décision politique mais il assume peu ses responsabilités car il semble tourner le dos à la scène. 10 canons au total soit plus que le nombre de victimes.   IV°