Giuliano Amato

leader communiste Massimo D'Alema. En avril 2000, après une piètre performance de sa coalition aux élections régionales, D'Alema a démissionné. Le gouvernement de centre-gauche réussir, y compris la plupart des mêmes parties, a été dirigé par Giuliano Amato, qui avait précédemment servi comme Premier ministre en 1992-93.  Les élections nationales, tenue le 13 mai 2001, retour de Berlusconi au pouvoir à la tête de la coalition de cinq partis de centre-droit Freedom House, comprenant propre parti

premier politicien italien à être condamné pour ses liens avec Cosa Nostra. Lors des élections locales, la DC perdit la moitié des voix. Le lendemain, Bettino Craxi fut accusé de corruption et finit par démissionner. Le 5 mars 1993, le gouvernement Giuliano Amato et son ministre de la Justice, Luigi Conso, essayèrent, via une loi sur le financement des partis, de provoquer une amnistie générale. Mais le président de la République Oscar Luigi Scalfaro refusa de signer cette loi. La semaine suivante, un

L’appartenance à la zone euro est devenue synonyme d’efforts non récompensés. « Pendant des années, l’Europe a représenté ‘’quelque chose de plus’’, aujourd’hui, c’est ‘’quelque chose en moins’’ », regrette l’ancien président du Conseil Giuliano Amato. La crise et l’austérité n’expliquent pas tout. En Finlande, petit pays relativement épargné par les turbulences, parler de mutualisation de dettes, de solidarité financière ou d’union budgétaire est très « délicat », reconnaît Teija Tiilikainen

l’AFL-CIO aux Etats-Unis, Swelinzima Vavi de la COSATU, en Afrique du Sud, et Bill Brett qui était alors président du Groupe des travailleurs à l’OIT, ainsi que des académiciens de renom comme Joseph Stiglitz et des hommes politiques socialistes comme Giuliano Amato (Italie) et Ernst von Weizsaeckaer (Allemagne). Parmi les commissaires moins progressistes figuraient différents représentants des employeurs, des hommes politiques plus conservateurs et des académiciens d’Inde et de Chine. La réponse nationale