Gilles Fouquet

littérature, les "chevaliers de la table ronde" et compose ses premiers vers. A la mort de son père, en 1658, il est dans une situation financière inconfortable ce qui le conduit à chercher un protecteur. Il le trouve alors en la personne de Nicolas Fouquet, surintendant des finances pour qui il compose plusieurs œuvres. Le poète fréquente alors les sociétés précieuses et rencontre d’autres grands artistes dont Charles Perrault et Molière. Il vit entre Paris et Château-Thierry, sa ville natale. En 1668

de grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure ses conteslicencieux. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des

société française, et il a été le premier auteur qui les élèves françaises ont dû d’apprendre à l’école. • Années de formation (1641-1658) • Après avoir être avocat au parlement de Paris, il se consacrer à la littérature(1658-1663), au service de Fouquet (Minister des Finances) • (1664-1679) L’apogée (Höhepunkt) de son activité littéraire 1664 au service de la duchesse (Herzogin) de Bouillon • 1684: L'Académie française • 1693: le poème „Le Juge arbitre, l'Hospitalier et le Solitaire“ → son Testament

Maths devoir trop fort pour toi mon ssive, pour rendre son rôle de dévot plus crédible et pour se faire il utilise beaucoup de vocabulaire religieux comme ''priez'' vers 854, ''ciel'' vers 854'', ''aumônes'' vers 856,''partager'' vers 856. Tartuffe essaye également de se montrer comme un personnage généreux et un bon chrétien mais la vision que Tartuffe veut que l'on ai de lui est en contradiction avec posteur est une comédie satirique écrite en cinq actes et en vers par Molière qui est né en 1622

des plus grands succès du siècle), occupé les années suivantes à corriger tout son théâtre pour en publier une nouvelle édition accompagnée de discours critiques et théoriques, il céda facilement en 1658 à l'invitation du surintendant Nicolas Fouquet et revint au théâtre au début de 1659 en proposant une réécriture du sujet-phare de la tragédie, Œdipe. Cette pièce fut très bien accueillie et Corneille enchaîna ensuite les succès durant quelques années, mais la faveur grandissante des tragédies

inspiré d'Ésope et Phèdre, deux fabuliste de l'antiquité greco-romaine. En 1643, après avoir quitté l'Oratoire, sa vocation pour la poésie s'éveille. Le 5 Septembre 1661, alors que Jean De La Fontaine était en la possession du mécénat de Nicolas Fouquet, ce dernier se fait arrêter par un certain d'Artagnan (qui inspira plus tard sous le commandement de Louis XIV pour “malversations“ (bien que cela était par jalousie), ce qui déstabilise La Fontaine, ne sachant pas différencier le vrai du faux, mais

1659, et un poème: Adonis qu'il offrit à Nicolas Fouquet, alors surintendant des finances. Il entra à cette époque au service de Fouquet. Il lui dédia "Le songe de Vaux », ainsi qu'une trentaine de poèmes qu'il devait donner, par contrat, au surintendant. Au moment de la chute de Fouquet, La Fontaine resta son plus fidèle défenseur. Il écrivit à cette occasion « l'ode au roi »et surtout l'admirable 'Elégie ax nymphes de Vaux'. Cette fidélité à Fouquet lui valut rapidement la haine de Colbert, puis

Il féquente la société libertine. Et rencontre Fouquet son protecteu, il est s'occupe des fiances. IL a composé le poème Adonis pour Nicolas Fouquet et lui dédia « le Songe de Vaux » ainsi que d'autre poèmes. Mais en 1661, Fouquet est arrêté. Donc La Fontaine part quelques temps au Limousin. A la chute de Fouquet, il écrit « l'ode du roi » et « Elégie aux nymphes de Vaux . Il se rapproche des jansénistes, que le roi persécute. Sa fidélité à Fouquet lui vaut la haine de Colbert et le ressentiment

financièrement épuisée. L’auteur est donc Jean Baptiste Colbert, Ministre d’état et Contrôleur général des finances de 1665 à 1683 sous Louis XIV. Il entre au service du roi à la mort de son protecteur Mazarin, incite Louis XIV à disgracier son rival Nicolas Fouquet, puis devient l'inspirateur et le promoteur d'une politique économique interventionniste, ultérieurement désignée sous le nom de colbertisme, selon laquelle il convient de favoriser le développement du commerce, par diverses politiques de nature aussi

Racine à partir de 1650. Corneille connaît son premier échec avec la tragédie Pertharite (1651) et s'éloigne de sa passion du théâtre. Il se consacre alors à la traduction en vers français de L'Imitation de Jésus-Christ. A l'instigation de Nicolas Fouquet (surintendant des finances), Corneille reprend la plume et connaît un dernier succès avec Oedipe en 1659. Les pièces qui suivent sont globalement mal reçues et poussent Corneille à se retirer du théâtre en 1674. Il écrit sa dernière pièce en 1674