Gilles Fouquet

l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, il restera à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se rangera dans le parti des Anciens dans

de Manzarin, dont Colbert s � lui-m麥 avait profit�et celui 馼 �de Fouquet dont les pratiques sp馗 e ont ulatibe avaient fait leur temps. Six mois plus tard le 5 septembre 1661, jour de ses 23, le roi qui avait pu, jeune encore, constater le fort m馗 ontentement des provinces contre la pression fiscale durant les 18 ann馥 de minist鑽 du d馭 cardinal, fait arr黎 au grand jour, par s e int er d'Artagnan, Nicolas Fouquet dont il supprime par la m麥 occasion le poste de e sirintendant des

pièce en 1654, Cette pièce s’intitule l’eunuque. En 1658 le père de Jean décède. Jean de la fontaine hérite alors du métier de capitaine de chasse et de maîtres des eaux. Toujours à la même période la Fontaine eu la chance de fréquenté Nicolas Fouquet ministre des finances dans la cour de Louis XIV. Grace à son oncle Jannarde et Pellisson En 1659 Ces a cette période qu’il écrit ses première fables. En 1664 il entre au palais de Luxembourg comme gentilhomme il est le servant de la duchesse

Louis XIV Long règne de 1643-1715, même si commence vraiment en 1652. Années 1660-80 = se distingue par les nombreuses réformes et innovations entreprit par Colbert et le roi. Colbert = contrôleur général des finances à partir 1665. Fin fronde : tableau sombre de la France extérieure et intérieure. le désordre Louis XIV en parle dans ses Mémoires qu’il a rédigé pour son fils : il décrit les troubles et les contestations qui ont fait perdre la grandeur de la France. Parle du mauvais

Drouet Paul biographie de Molière 5G Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, est né à Paris en 1622 dans une famille bourgeoise assez fortunée. Il commencera ses études chez les Jésuites à Clermont puis entreprendra des études de droit à Orléans. Les revenus de sa famille lui permette une qualité de vie assez confortable. Son gout pour le théâtre serait venu grâce à son grand- père qui l’emmenait

répondent à l’ensemble. Elle représente un idéal d’ordre et de raison. Château vaux-le-vicomte : Situé a Maincy (seine et marne) ; château du 17eme siècle construit de 1658-1661pour l’officié des finances (surintendant) de louis 14 (Nicolas Fouquet) Architecte : louis le vau peintre : Charles le brun paysagiste : André le notre Modèle du château de Versailles

moral. Il retire sa protection à la troupe de Molière ; celle-ci revient à Paris, en 1658, mais ne peut obtenir des frères Corneille la location de la salle du Marais. Monsieur, frère du roi, prend la troupe sous sa protection, ainsi que Nicolas Fouquet, surintendant des finances, de manière moins officielle ; elle s'installe au théâtre du Petit-Bourbon, qui est le théâtre des Italiens, avec lesquels elle partage, en alternance, la scène. Elle y connaît un succès rapide, mais dans le registre comique

la publication d’une comédie en cinq actes adaptée de Térence, L’Eunuque, en 1654, qui passe totalement inaperçue. En 1658, il entre au service de Fouquet, Surintendant des Finances auquel il dédie le poème épique Adonis tiré d’Ovide et élabore un texte composite à la gloire du domaine de son patron, le Songe de Vaux, qui restera inachevé, car Fouquet est arrêté sur ordre de Louis XIV ; La Fontaine écrit en faveur de son protecteur en 1662, l’Ode au Roi puis l’Élégie aux nymphes de Vaux, ce qui lui

Il rêgne en 1661. Nicolas Fouquet : commandaire Louis Levaux, André Lenostre, Charles Lebrun Vaux le Vicomte se situe entre les résidences royales de Paris st Germain et Vincennes et le domaine d’été de Fontainebleau. Domaine acheté par le père de Nicolas Fouquet. A l’époque, Fr en retard par /t à la Hollande pour les comptoirs à l’étrangers et la marine marchande. Nicolas reçoit la charge de Son père François avec l’accord de Richelieu. Nicolas Fouquet : surintendant des Fces : récompense

française en 1647. Corneille connaît son premier échec avec la tragédie Pertharite (1651) et s’éloigne de sa passion du théâtre. Il se consacre alors à la traduction en vers français de L’Imitation de Jésus-Christ. À l’instigation de Nicolas Fouquet (surintendant des finances), Corneille reprend alors et connaît un dernier succès avec Œdipe en janvier 1659. Les pièces qui suivent tel que Sertorius (1662) et Attila(1667) sont globalement mal reçus. Ne pouvant pas se mesurer à son jeune rival,