Germinal Reflet De La Societe

pas le rêve. Il y a à ce sujet une vraie révolution au XIXe siècle qui condamne cette attitude et préfigure une société nouvelle. Ex : Avec Gervaise et Coupeau, nous sommes plongés au coeur des tracas d'un couple d'ouvriers parisiens ; à la lecture de L'Assommoir nous mesurons la misère du milieu et les ravages causés par l'alcool sur des êtres et leurs descendants. 3.Un certain reflet de soi. La majeure partie des personnages réalistes s'inspirent d'êtres réels. La littérature se rapproche alors

Ce genre permet au lecteur d’interpréter le texte, il y a plusieurs sens selon le niveau du lecteur. Cela est pratique aussi pour l’auteur car c’est un moyen de déjouer la censure parce que la réalité est déguisée. Voltaire a ainsi pu critiquer la société de son temps grâce à son livre  Micromégas , il a pu exprimer ce qu’il pensait de la guerre et de son absurdité dans  Candide . Dans le théâtre également on peut défendre des idées qui prennent vie dans la bouche du personnage. Contrairement a

L’écrivain naturaliste dévoile les conflits pulsionnels dans les différents milieux sociaux de la société du Second Empire. Ces forces animent la vie psychique groupale. La première puissance est la pulsion germinale. Elle soude le groupe, affaiblit le moi et maintient la survie de l’espèce. Cette énergie ne disparaît jamais. Rien ne meurt vraiment. Tout revient à la vie. Face à cette puissance germinale, le personnage s’appuie sur les forces létales pour nier sa nature pulsionnelle. Ce sont des forces

sans limites, l’écriture, elle, en possède bel et bien. Il vient un moment où on revient à la réalité et où on doit l’affronter. Ainsi, la littérature permet de développer notre esprit critique, tout en dénonçant certains disfonctionnements de la société. En effet, pour se forger un avis, il faut avoir entendu (ou lu) des arguments. Et les livres sont la pour permettre à l’auteur d’étendre sa pensée. Pour faire comprendre sa vision du monde, l’auteur dispose de plusieurs moyens. Bien souvent, les

du XIX siècle), sont "la science, l'observation, la réalité". À l'intérieur d'un même mouvement, les écrivains partagent des options esthétiques (une même conception du style, de l'art ...) et idéologiques (une même conception de la vérité, de la société, de la liberté ...). 2. Un dialogue entre les arts: Un courant littéraire s'intègre le plus souvent dans un mouvement culturel plus large, qui touche la vie artistique et intellectuelle dans son ensemble. Le Romantisme et le Réalisme s'imposent

-Au début, le cortège est décrit de façon objective comme s’il s’agissait d’un documentaire : « Les femmes avaient paru […], les hommes […] ».- Mais, au fur et à mesure, le tableau reflète le regard de l’auteur, puis celui, très subjectif, de ses « vrais » spectateurs : les bourgeois cachés derrière la porte d’une grange, implicitement désignés par le pronom impersonnel « on » (« on ne distinguait que… », « on voyait seulement… ») ; les termes péjoratifs qui qualifient les mineurs révèlent leur

l’image de « Germinal ». Nous devons passer de l’état de fascination face à l’écran total à celui de l’observation de ce que nous ne voyons pas et qui est sous nos yeux. Il s’agit de se laisser impressionner, dans tous les sens du terme. Nous ne pouvons nous empêcher d’évoquer l’importance du choix des acteurs, aussi bien dans « Macbeth » d’Orson Welles (lui-même), « Jules et Jim » (Jeanne Moreau) que dans « Le Guépard » (Burt Lancaster, Alain Delon, Claudia Cardinale) ou « Germinal » (Renaud, Depardieu

l'univers du conte. Pour Candide , le texte soulève des problèmes de la société à l'époque de la monarchie comme la guerre menée par les rois. Pour défendre une cause ou dénoncer une injustice il est parfois bien de mettre en scène des fictions. Le lecteur peut alors s’identifier grâce à des œuvres qui reflètes notre réalité, notre environnement et notre époque. Et souvent cela permet de soulever des problèmes de société comme dans Germinale ou Les Misérables de Victor Hugo. Les auteurs antiques grecques

seule ligne narrative~: il y a une unité daction quon ne trouvait pas jusque là dans le roman. Les portraits du Duc de Nemours et de mademoiselle de Chartres sont à la mesure de la magnificence de la Cour. Tous les traits du personnage contribuent à refléter les traits idéaux dune personne attachée à la cour prestigieuse de Henri II~: «~Ce prince était un chef-dœuvre de la nature~; ce quil avait de moins admirable, cétait dêtre lhomme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus

Jean : « Le roman », 1888 ; Littérature 2nde p. 339  Une écriture scientifique - E. Zola, Germinal, I, chap. 4, « le travail dans la mine », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « Dans la nuit fumeuse » - E. Zola, Thérèse Raquin, 1868 - E. Zola, « Ébauche » de La Bête humaine, 1890 ; Littérature 2nde p. 170-171 - Zola, L’Assommoir,  Une écriture métaphorique - E. Zola, Germinal, « Une mine de charbon en 1885 : le Voreux », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons