Gerard ter Borch

son mystère en trois siècles, et continue de susciter bien des interrogations. Loin d'être méticuleusement indiqués à la manière de Frans van Mieris de Oudere et d'autres portraitistes du temps, tels que Gabriel Metsu (1629-1667), Gérard Dou (1613-1675), Gerard ter Borch (1617-1681), Jan Steen (1625-1679), Pieter de Hooch (1629-1684), les traits de la figure ne sont pas nettement définis, accentuant d'autant sa beauté. Fondue avec la joue droite, l'arête du nez est invisible. Vermeer, par cette

d’or. Les scènes peintes par Pieter Aertsen (1508-1575) comme Le Repas (1560, Anvers, musée Mayer van den Bergh) ou par Joachim Beuckelaer avec Intérieur de cuisine, (1566, Paris, Louvre) présentent des éléments que reprendront des peintres comme Gerard Dou en ce qui concerne l’idée de l’empilement ou Jan Steen qui se souviendra de cette veine comique en représentant des personnages attablés et riants (Le Monde à l’envers, 1663, Vienne, kunsthistorisches museum). Si certains sujets tirés de la

bien que ses œuvres sont principalement des scènes de genres réalistes sur de petits formats. Sa manière de peindre se caractérisera peut etre grâce à son apprentissage? Il a connu des peintres comme Leonard Bramer, Evret van Aelst ou encore Gerard ter Borch, par connaissances familliales. Il y a des suppositions sur son apprentissage, commencé vers les années 1640, chez un maître reconnu, mais aucunes recherches n'ont confirmé chez lequel. Les œuvres de Vermeer s'inspirent étrangement aux œuvres

Laitière : c’est la brutale de l’instant où le serpent mort, la douleur est vive et l’inquièétude mentale. Pere Borel del caso le moment où le gamin sort du cadre Degas : Départ de course d’un cheval Peinture comme désir d’éternité : Gerard Ter Borch, Cavalier, 1634 : allégorie de l’être h en cavalier ou du wanderer : le promeneur (sens métonymique) mélancolieau sens ou Dürer l’a décrite : il ne veut pas nous distraire « JE vais fixer le non instant cad l’éternité du vide » = /= Don Quichotte

Audrey Losio Les décors ont été conçus et réalisés par les ateliers du TNP sur une idée de Christian Schiaretti chef d’atelier Stefan Abromeit stagiaire conception décors Oliver Sturm chef d’atelier serrurerie Michel Chareyron serruriers Fethi Ferhi, Gérard Hernandez chef d’atelier menuiserie Laurent Malleval menuisiers Jean-Yves Alloin, Clément Brun, Michel Caroline, Thierry Dadi, Marc Jourdan, Olivier Mortbontemps, Yves Rozier, Éric Scatamacchia chefs d’atelier décoration André Thöni, Mohamed El Khomssi

en bordure du Niger, de la Pendjari et dans les vallées du Mono et du Couffo. De bon niveau de fertilité chimique, ils présentent une texture lourde et une faible perméabilité qui les rendent difficiles à mettre en œuvre ; • Les vertisols ou terres noires qui sont des sols à argiles gonflantes et dont le profil présente une structure particulière, se localisent dans le sud (dépression de la Lama) et se répartissent en vertisols hydromorphes et vertisols lithomorphes ; • Les sols à mull

passion, que Descartes recommande pour les esprits les plus généreux, dans un traité remarquable (« Les Passions de l’âme »), dont je vous parlerai mercredi prochain. 27 Mercredi 17 Septembre : La mécanique cartésienne des passions Désir et passion Gérard Philippe dans une représentation du « Cid » de Corneille Commençons par définir et distinguer ces deux notions : La passion est l’état au-delà duquel, ce qui n’était alors qu’un désir passager et ponctuel, va devenir une force capable de subordonner

fortification face à l'artillerie : Le développement de la poudre et du canon précis entraîne une inefficacité des murs hauts et minces de la fortification médiévale. Il y eut par l’ingénierie des solutions apportées dans la hâte : doubler l'enceinte par des terres pleins ou encore la construction de tours à canon circulaire. Il y a eut aussi des traces de canonnières. Au 16ème siècle toutes ces innovations sont balayés par l'arrivée du bastion. Son apparition est perçu pour la première fois en Italie. Ils

relation de l’individu mécène au groupe »186. Ainsi, il s’avère que cette relation de l’entreprise envers son image cache une autre réalité, celle de son rapport à son environnement187, et l’exigence des nouveaux consommateurs, tel que le souligne Gérard Demuth, président de COFREMCA-France : « On ne peut pas ignorer la montée de l’humanisme, le besoin de sens et de spiritualité qu’expriment les gens. Si vous, fabricant ou commerçant vous n’intégrez pas du sens, de la morale, de la citoyenneté, de