Gentilhomme de la Chambre

particulièrement sur la crise de subsistance qu’a connu le Royaume de France entre 1661 et 1662 en se concentrant sur les conséquences de cette famine au sein d’une famille de petite noblesse qui tente de survivre. Ce point de vue est celui d’un gentilhomme campagnard partageant son temps entre son service à la cour de France et de longs séjours sur ses terres, dans son village à Montoire. L’auteur, Marie Du Bois qu’on retrouve également orthographié sous la forme de Marie DuBois est un homme (il justifie

CENDRILLON OU LA PETITE PANTOUFLE DE VERRE Il était une fois un gentilhomme qui épousa, en secondes noces, une femme, la plus hautaine et la plus fière qu'on eût jamais vue. Elle avait deux filles de son humeur, et qui lui ressemblaient en toutes choses. Le mari avait, de son côté, une jeune fille, mais d'une douceur et d'une bonté sans exemple : elle tenait cela de sa mère, qui était la meilleure personne du monde. Les noces ne furent pas plus tôt faites que la belle-mère fit éclater sa mauvaise

premier valet de chambre, qui avait couché seul dans la chambre du roi et qui s'était habillé, l'éveillait. Le premier médecin, le premier chirurgien et sa nourrice tant qu'elle a vécu entraient en même temps.... Au quart on appelait le grand chambellan, en son absence le premier gentilhomme de la chambre, avec eux les grandes entrées. L'un de ces deux ouvrait le rideau qui était refermé et présentait l'eau bénite du bénitier du chevet du lit.... Le même lui donnait sa robe de chambre et ce pendant

CENDRILLON   Il était une fois un gentilhomme qui épousa en secondes noces une femme, la plus hautaine et la plus fière qu'on eût jamais vue. Elle avait deux filles de son humeur, et qui lui ressemblaient en toutes choses. Le mari avait de son côté une jeune fille, mais d'une douceur et d'une bonté sans exemple; elle tenait cela de sa mère, qui était la meilleure femme du monde. Les noces ne furent pas plus tôt faites, que la belle-mère fit éclater sa mauvaise humeur; elle ne put souffrir les

son fils sa propre épée et il l’embrasse sur les deux joues. Le jeune homme sort de la chambre. Il rencontre sa mère. Elle l’attend avec le médicament bien nécessaire après les conseils du père. Le même jour, il part avec les quinze pièces d’or, le cheval, la lettre pour M. de Tréville et les conseils en plus. 1 Défendu : ici, interdit, qui n’est pas permis. 2 Une hôtellerie : maison où on loue des chambres. 3 Pendre : ici, descendre. 4 La chance : quelque chose de bien qui nous arrive. 5 Les

Arrivée de l’Ingénu à Versailles. Sa réception à la cour L’Ingénu débarque en pot de chambre dans la cour des cuisines. Il demande aux porteurs de chaise à quelle heure on peut voir le roi. Les porteurs lui rient au nez, tout comme avait fait l’amiral anglais. Il les traita de même, il les battit ; ils voulurent le lui rendre, et la scène allait être sanglante s’il n’eût passé un garde du corps, gentilhomme breton, qui écarta la canaille. "Monsieur, lui dit le voyageur, vous me paraissez un brave

entre le caractère des deux femmes,…) 1.2 La présentation des personnages 1.2.1 On reçoit très peu d’informations sur les personnages lors de leur présentation. On reçoit un peu de renseignements sur leurs fonctions : Lisette est une femme de chambre, Arlequin est le valet de Dorante. On peut aussi remarquer la présence d’un laquais et le fait que le mot « monsieur » accompagne le mot Oregon. On peut donc penser que la pièce s’inscrit dans un milieu très aisé, bourgeois voire noble. La présence

Il était une fois un Gentilhomme qui épousa en secondes noces une femme, la plus hautaine et la plus fière qu'on eût jamais vue. Elle avait deux filles de son humeur, et qui lui ressemblaient en toutes choses. Le Mari avait de son côté une jeune fille, mais d'une douceur et d'une bonté sans exemple ; elle tenait cela de sa Mère, qui était la meilleure personne du monde. Les noces ne furent pas plus tôt faites, que la Belle-mère fit éclater sa mauvaise humeur; elle ne put souffrir les bonnes qualités

comprend également une introduction ainsi qu'une conclusion. Document de 1150 mots. Extrait: Ce dialogue se situe au centre de la 1ère scène de « Le Jeu de l'amour et du hasard », la femme de chambre de Silvia, Lisette, vient raconter à sa maîtresse l'entretien qu'elle a eu avec le vieux gentilhomme, Mr Orgon : elle est vouée à être mariée par son père à un prétendant qu'elle n'a jamais vu. Orgon a demandé à Lisette si ce projet de mariage plaisait à sa fille, elle lui répondit en toute liberté

La princesse de Navarre », qui fut une partie d'un spectacle de la cour pour célébrer le mariage du Dauphin. Le succès du spectacle et les essais diplomatiques de Voltaire lui valurent la nomination d'historiographe royal et de gentilhomme ordinaire de la Chambre par Louis XV. A ces nominations suivit l'élection de Voltaire à l'Académie française, qui lui avait été refusée pendant si longtemps. Quelques ouvrages de Voltaire La Ligue ou Henry le grand poéme epique , 1723 La Henriade