Génocide

transfrontaliers → Solution à l’échelle continentale ou régionale pour régler les conflits. - L’Union Africaine (UA) : 1/ Crée en 2002, s’accorde le droit d’intervenir sur le territoire d’un Etat membre dans des circonstances graves (crimes de guerre, génocides, crimes contre l’humanité…). 2/ Accorde aux Etats membres le droit de solliciter l’intervention de l’union pour restaurer la paix et la sécurité. 3/ D’ici 2010, sera en mesure de déployer 15000 hommes sous forme d’une force permanente. - La Communauté

(10 novembre 1938). Assaut avec les pillages et meurtres d’une partie de la population juive avec l’emploi de bombe ( d’où cristal). Génocide : extermination d’un peuple entier (ex : Indien/cow-boy) Race pur : Pureté du sang, peuple supérieur aux autres. NSDAP : Parti national socialiste Reichführer : Guide du royaume (REICH=GUIDE) Solution finale : génocide, extermination Ghettos : quartier isolés dans lesquels les Allemands enfermaient les juifs. 1935 : Loi de Nuremberg : Protéger le

événement majeur du millénaire précédent et que le « judéocide » présente des traits particuliers. Mais il ne s’agit pas pour autant selon lui d’un phénomène historique totalement incomparable à d’autres facettes de la criminalité nazie ou à d’autres génocides perpétrés en d’autres lieux et d’autres temps. Et on ne peut donc selon lui parler d’ « unicité de la Shoah ». Le temps de la honte (1945-1967) : une attente de reconnaissance frustrée Dans un premier temps, l’auteur résume l’histoire d’une

Delfour 
 La Shoah : échec de la modernité ou 
événement unique et normal ?

Zygmund Bauman, Modernité et holocauste. Paris, éd. Fabrique, 2002 

 Le sociologue allemand Zygmunt Bauman, dans Modernité et holocauste, montre que l’"holocauste", le génocide des Juifs d’Europe par les nazis, est un "essai d’ingénierie sociale" dont la possibilité s’accorde pleinement avec la modernité. Loin de s’opposer aux valeurs et aux pratiques de la modernité, ce sont précisément les normes et les institutions de

discuter voir nier la réalité du génocide des Juifs accompli par les Nazis et leurs complices durant la Deuxième Guerre Mondiale. Cette contradiction passe par la contestation ou le refus de la réalité, de l’ampleur, des conditions du génocide, ainsi que de la volonté des Nazis de le commettre. Il s’agit d’une parole antisémite violente, bien qu’implicite, dont l’objectif est de réhabiliter l’antisémitisme explicite, les régimes politiques qui ont commis le génocide, ainsi que les modalités, notamment

3000 unités par jour, ce qui est énorme, mais il trouve le moyen pour répondre aux ordres fixés. Il est renommé pour le bon fonctionnement du camps. En 1945, la guerre est terminée et Hitler se suicide, Rudolf est alors accusé de tous les actes de génocides, puisque son supérieur est mort. ___________________________________________________ 3) Critiques du livre : J'ai choisi ce livre parce que j'ai déjà lu quelques uns des romans de Robert Merle, auteur de ce livre et de Fortune de France que

son objectif, critique légitime du fait du non respect du jus in bello (mythe de la guerre « zéro mort » = guerre technicisée). Le droit d'ingérence humanitaire devient encore plus pbtique quand il dérive de la volonté d'arrêter un massacre ou un génocide à la volonté de changer un régime sans qu'il y ait massacre en cours => ingérence démocratique. Imposer la démocratie est autocontradictoire pour J.STUART il faut que le peuple est manifesté sa propre résistance à l'oppression sinon toute intervention

spécifique ; celui-ci est confronté à différentes problématiques pour effectuer son travail ; il rassemble la documentation, confronte les sources… Différentes mémoires : les mémoires de la guerre sont plurielles (de Vichy, de la Résistance, du génocide) Seconde Guerre : depuis l’évènement jusqu’à nos jours Où : en France (spécificité de la mémoire de Vichy, de la mémoire de la Résistance) cf programme Problématique : Comment l’historien confronte-t-il les différentes mémoires pour faire son

: rôle dans la résolution et la prévention des conflits, recherche d'une solution pour vivre ensemble - procès-mémoire Eichmann : laisser s'exprimer le souvenir, y compris celui du bourreau (qui est aussi un témoin), pour encadrer la mémoire du génocide; Hannah ARENDT et la banalité du mal : comprendre le bourreau - naissance notion de crime contre l'humanité - notion d'imprescribilité des crimes contre l’humanité (France 1964) - interdiction négationnisme B ) LA CONSTRUCTION DE LA MÉMOIRE

Présentation du cours : Ex sur les camps de concentration : génocide: intention de détruire un groupe racial en tant que tel. Que 3 génocides : Juifs, Rwanda et ….. Ex Darfour pas de génocide : ne vise pas à détruire une ethnie : plutôt un crime contre l’humanité. Idem au Cambodge. Au Rwanda génocide contre les tutsi. On confond souvent génocide et crime contre l’humanité. Le droit international a développé le terme spécifique de génocide pour déterminer ce crime en particulier. Soldats français ont