Génocide

Séance 1 : Présentation du Rwanda et mise en place d’une problématique générale Objectif : localiser le Rwanda. Présenter le pays et le génocide de 1994 savoir chercher et sélectionner des informations dans un texte. savoir lire une carte Notions : génocide, conflit identitaire. Lancement de la séance.  Le professeur, après avoir installé une carte murale de l’Afrique, distribue le document n°1 : Le Tribunal Pénal International pour le Rwanda. Première étape

LE GENOCIDE JUIF UN CRIME CONTRE L’HUMANITE Nom : Sarazin Prénom : Alexis ANNEE SCOLAIRE 2012 - 2013 En quoi le génocide des juifs est-il un événement majeur de la Seconde Guerre mondiale et quel était le sort de la population juive d’Europe ? FICHE DE PRESENTATION DU DOSSIER D’HISTOIRE Nom / Prénom : Sarazin Alexis Date de passation : Thème de la séquence : Guerres et conflits en Europe au XXème siècle. Sujet traité : Le génocide juif : « un crime

Composition : la mise en œuvre du génocide des juifs et des Tsiganes pendant la seconde guerre mondiale 1939-1945. I. 1939-1942 : Enfermement, violences et massacres en Europe de l’Est a. 1939-1942 L’Europe de l’Est conquis par l’Allemagne nazie (contexte) b. Les premières déportations et la formation des premiers ghettos notamment en Pologne dès 1939 c. Les « Aktions » des Einsatzruppen sur le front de l’Est II. 1942-1945 : La solution finale : l’industrialisation de la mort de masse

000 millions de mort dont une majorité de civil 1er Gr Conflit Moderne Les + touchés : - URSS : 22 millions de morts - Chine : 10 millions de morts - Pologne : 6 millions de morts à cause du génocide Marqué par : - Crimes de Guerre : ex, prisonniers mal traité - Crime de l'humanité : Génocide juifs des nazis Remise en cause du traité de Versailles -> Guerre d'anéantissement dès 39 -> Guerre + totale qu'auparavant : + de morts +de puissance, des armes nouvelles : bombes atomique ->

en 1995, répond aux critères constitutifs d'un génocide. Mais elle exonère la Serbie de toute responsabilité en tant qu'Etat La Cour internationale de justice (CIJ) estime que le massacre de musulmans perpétré en 1995 dans la ville bosniaque de Srebrenica répond aux critères constitutifs d'un génocide. La Bosnie avait demandé à la plus haute juridiction de l'ONU de se prononcer sur le point de savoir si la Serbie s'était rendue coupable d'un génocide durant le conflit bosniaque de 1992-95, qui a

premier à parler de génocide. * La croix rouge a publié une liste de 7333 personnes portés disparus, cette liste étant basée sur les témoignages des membres de la famille des disparus, elle n’y décompte pas les familles entièrement disparus. * 2361 cadavres ont été identifiés par le TPIY dans les environs de Srebrenica après une recherche de corps qui eut lieu jusqu’en 2001, mais cette recherche ne permet pas de différencier les hommes mort au combats des victimes du génocide. * 8106 personnes

équatoriale (bien sûr c’est deux affirmations sont des délires des allemands à cette époque). Les colonisateurs aggravent la différence qu’il y a entre les deux. L’arrogance des Tutsis vis à vis des Hutus se renforce et les bases, les conditions du future génocide sont créés pendant cette période. En 1916 le Rwanda passe sous le contrôle de la Belgique qui ont les mêmes préjugés que les Allemands. Les Belges s’appuient encore plus sur les Tutsis. La science biologique dit que tous les Rwandais sont d’origines

I. Les critères constitutifs en extension Cette extension est favorisée par l’attitude des Etats parce que ceux-ci craignent davantage de voir leurs représentants mis en cause pour crime de guerre que pour crime de l’humanité voire pour génocide. C’est ainsi que la France, en acceptant l’imprescriptibilité pour les seuls crimes contre l’humanité (loi de 1964), a incité les juges à les séparer des crimes de guerre. De même, les Etats ont obtenu que la compétence de la Cour pénale internationale

passé, la mémoire collective et officielle sera toujours marquée par un sujet sensible : le génocide. III. Le génocide ou le devoir de mémoire A) Lente émergence de la mémoire du génocide Dans ce contexte de joie de fin de la guerre, les juifs survivants se sentent coupable de l'être et ont du mal à témoigner des horreurs qu'ils ont vécu. Cette lente émergence de la mémoire du génocide est due à 3 choses : 1961 : Le procès d'Eichmann est basé sur des témoignages (1ère fois

plaies du passé" d'après Rémy Cabrillac, professeur de droit et écrivain français. Ce concept est apparu en France en automne 2005, et reprend des lois qui ont été évoquées à partir de 1990. Ces lois commémorent des tragédies de l'histoire tel que le génocide arménien ou encore l'esclavage. Il existe 2 types de lois mémorielles, celles qui ne font que déclarer l'histoire et les autres qui sanctionnent ceux qui nient l'histoire officielle ce qui suscite évidemment débat car la liberté d'expression est