Génocide culturel

Corrigé (bac blanc n°2 TES et L) Etude d'un ensemble documentaire :La mémoire de la Shoah en France Analyse des documents ◆ Question 1. Nombreux ont été , dès cette époque, les survivants à vouloir témoigner de l’horreur du génocide, mais ce n’est que bien plus tard que l’opinion se montrera plus réceptive à l’évocation de cette tragédie. Les souffrances qu’ils ont endurées paraissent tellement inouïes que le récit de leur détention, comme en témoigne Simone Veil, rencontre l’incrédulité.

des commémorations telles que le 8 mai. En 1961 a lieu le procès d’Adolph Eichmann (criminel de guerre nazi). Il est jugé pour crime de guerre, crime contre l’humanité et le peuple juif. Ce procès est très médiatisé et il va mettre la mémoire du génocide sur le devant de la scène. Commence alors une prise de conscience mondiale. En 1964, De Gaulle transfert les cendres de Jean Moulin au panthéon. La guerre des Six jours en 1967 va faire revivre l’angoisse de la population d’Israël. Les années 1970

sortiras vainqueur et prendras le pouvoir. 1945 – Devoir de mémoire : Expression employé dans les années 90 qui repose sur l’idée d’une obligation morale de se souvenir des évènements (génocides) de la Seconde Guerre Mondiale, pour rendre hommage aux victimes et empêcher que cela se reproduise. C – Les génocides La déportation politique et la déportation raciale a pour ambition l’extermination de la population entière, l’Etat de Vichy y participe. 2 – L’épuration en France et les questions

enfants, dont environ 2 000 avaient moins de 6 ans. Le nombre de survivants en 1945, dont la plupart avait été déportés en 1944, est estimé à environ 2 500, soit 3 %. La police française et le gouvernement de Vichy ont collaboré activement au génocide des juifs de France. Par de tels actes, la France renonçait soudain à toutes ses traditions de terre d'asile. La politique anti-juive systématique conduite par le gouvernement de Vichy a renoué avec les heures sombres de la persécution des juifs

Shoah signifie en hébreu extermination : Dans le cas des Juifs , le génocide visait aussi à rayer un peuple du monde. C’est contre ce « mémocide » que s’expriment témoins et historiens .La situation de la France pendant la guerre fut particulière avec la collaboration de l’Etat de Vichy avec les allemands . Seuls 2500 juifs déportés sont revenus . Quelles relations l’histoire et la mémoire de l’extermination des juifs ont elles entretenues en France depuis 1945? plan chronologique :I- une mémoire

Cependant des crimes de guerre sont commis (crimes perpétré pendant la guerre contre les militaires ou des civils), le génocide des arméniens par le turcs est le plus terrible d’entre eux. C’est un génocide car ils ne s’attaquent pas aux gens armés mais aux enfants, c’est le premier génocide du 20° siècle. Commis en 1915 mais aujourd’hui les turcs ne reconnaissent pas ce génocide.   2) L’expérience combattante de tranchées Voir extrait vidéo   La guerre des tranchées expose les hommes aux tirs de

français, en 1984 : « Il me semblait que j’entendais le cri de mon peuple, un cri à la mesure du crime, un cri impossible à interrompre, se prolongeant à l’infini. Je ne pouvais me boucher les oreilles et le cœur : si l’enfant rescapé par miracle du génocide était resté sourd à ce cri, qui était aussi un appel à assumer ses responsabilités de Juif, ma vie n’aurait-elle pas été une trahison ? » Un même besoin de raconter donc, mais une nouvelle manière d’écrire : G4-D65347-BAT(7)130-159 Page 133 Vendredi

combattants qui sont au front, arrière : la population civile et les territoires où l’on ne se bat pas Réquisition : cela consiste à prendre aux civils ce que les soldats ont besoin pour la guerre Propagande : ensemble des méthodes de communication Génocide : extermination intentionnelle et systématique de tout un peuple Déportation : La déportation est l'action d'obliger quelqu'un, le plus souvent un groupe de personnes, de quitter son habitat, soit pour l'obliger à s'installer ailleurs, soit pour

: rôle dans la résolution et la prévention des conflits, recherche d'une solution pour vivre ensemble - procès-mémoire Eichmann : laisser s'exprimer le souvenir, y compris celui du bourreau (qui est aussi un témoin), pour encadrer la mémoire du génocide; Hannah ARENDT et la banalité du mal : comprendre le bourreau - naissance notion de crime contre l'humanité - notion d'imprescribilité des crimes contre l’humanité (France 1964) - interdiction négationnisme B ) LA CONSTRUCTION DE LA MÉMOIRE

lorsqu’il est cruel, c’est la nature de l’acte qui le définit ainsi. Il est question de crime contre l'humanité lorsque les libertés fondamentales de l'homme sont remises en question. Ces libertés sont par exemple, le droit à la vie. Ainsi commettre un génocide est qualifier de crime contre l’humanité puisque le droit à la vie est bafouer. Il n'y a pas de définition universelle de cette notion de crime contre l'humanité. Cependant, l'article 7 du statut de Rome, en date du 17 Juillet 1998, relatif aux crimes