Gene expression

deux et la moitié va être utilisée comme une matrice, conservée, et une nouvelle molécule d’ADN va être synthétisée * Chaque brin sert de matrice pour le nouveau brin * ADN polymérase L’ADN contient des gènes et des séquences non codantes Gène = séquence morcelée, succession d’exons et d’introns transcrit en ARN (passe du noyau au cytoplasme) Exons = séquences exprimées, utiles Introns = séquences intercalées, éliminées L’ARN Messager de l’information génétique codée dans l’ADN 3

l’hémochromatose secondaire. Transmission Autosomique récessive. Schéma : les locus des gènes alpha et bêta et l’expression des gènes de globine au cours du développement (D’après Grosveld F, Dillon N, Higgs D. « The regulation of human globin gene expression », in the Haemoglobinopathies, Bailliere’s editor, 1993) Schéma : représentation de la physiopathologie des thalassémies (C. Barro) 3. Syndromes bêta-thalassémiques La bêta-thalassémie est très répandue dans les régions du bassin méditerranéen

est injectée. A l'inverse, la souche R ne synthétise pas une telle capsule, et elle n'est pas nocive lorsqu'elle est injectée à une souris. On sait aujourd'hui que cette différence entre les deux souches est due à une mutation, chez la bactérie R, du gène codant l'enzyme responsable de la synthèse de la capsule. Griffith observe tout d'abord que l'injection de bactéries S, si elles ont été préalablement tuées par la chaleur, n'est plus létale pour la souris. Pour une raison qui nous est toujours inconnue

les lésions persistent au cours des divisions cellulaires, et les mutations s’accumulent. Lorsque ces mutations touchent des gènes important (gène P53), elles sont responsables de l’apparition de propriétés tumorales par la cellule épithéliale pulmonaire. Elle perd alors toute notion de régulation et prolifère sans inhibition de contact. Le principal gène suppresseur de tumeur est celui codant pour la protéine p53, appelée ‘’gardienne du génome’’, car impliquée dans la réparation de l’ADN, le contrôle

ou hématopoïétique ne l'est pas et seules les traces attestant de manipulations génétiques effectués permettent de prouver cette pratique. Concrètement, la méthode du dopage génétique consiste à l'introduction d'un gène capable de produire de l’EPO, par exemple, dans le muscle, ou un gène de facteur de croissance dans une cellule d'un tendon. Des virus inactivés amènent alors les gènes dans les cellules cibles et les gènes peuvent ensuite produire des enzymes et des protéines. EPO :L'Erythropoïétine

techniques permettent de transférer des gènes sélectionnés d'un organisme à un autre, y compris entre des espèces différentes. Elles offrent ainsi potentiellement la possibilité d’introduire dans un organisme un caractère nouveau dès lors que le ou les gène(s) correspondants sont identifiés au préalable. Ces nouvelles techniques permettent un développement des OGM qui s’étend dans bien d’autres domaines que l’agriculture au fil des années. Mais le développement des OGM devenu un choix politique et économique

HERBICIDE TOTAL (Round-up, Basta). Les bactéries sont des réservoirs de gènes de résistance pour ces poisons métaboliques et donc l’introduction d’un gène bactérien peut rendre une plante résistante. Résistance auxvinsectes (lépidoptères) : protéine Bt (Bacillus thuringiensis). Résistance aux virus : pas de moyen de lutte chimique, expression de protéines de l’enveloppe des virus = « vaccination ». Les toxines Bt Les toxines Bt sont des protéines entomotoxiques naturellement produites

downregulated ont eu lieu sur les deux chromosomes et plasmides ( Fig. S7) . Au seuil de 2 fois régulation à la hausse , de 52 à 303 transcriptions étaient en hausse , et 32 ​​à 229 de 6.205 transcriptions étaient régulés à la baisse (Tableau S2). Expression des gènes individuels ainsi que l'expression globale a augmenté régulièrement avec l'augmentation des concentrations Au ( III) [ 2,9 , 4,6 , et 6,1 fois après 10 min avec 10 , 50 et 100 pm Au ( III ), respectivement ] , la concentration démontrant

ARNr : élaboration dans le noyau puis passage dans le cytoplasme ARNr : ARN ribosomique : élément constitutif essentiel du ribosome UE 2.1.S1 : BIOLOGIE FONDAMENTALE Génome : matériel génétique porté par l’ADN Gène : portion d’ADN codant une protéine. 1 gène = 1000 à 5000 nucléotides 50 000 gènes dans l’organisme Codon : triplet de nucléotides codant un acide aminé Acides aminés : unités structurelles des protéines ADN : molécule support de l’info génétique ARN : molécule issue

bases azotées (A, T, C, G). Ces bases azotées ne s’enchaînent pas au hasard le long de la molécule d'ADN. C'est l'ordre des bases le long des chromosomes qui va définir l'information génétique: on parlera de séquence d'ADN ou séquence de gène pour définir ce gène. D'autre par on définit le Génome comme étant l'ensemble des gènes d'un organisme. 3) ARN Il existe des ARN codant tels que les ARNm ET des ARN non codant tels que ARNt, ARNr. Les ARN sont plus petite et moins stable que les ADN. Ils