Gazprom

de manière importante dans la balance commerciale et la Russie en use parfois comme d’un moyen de pression (embargo sur les importations de vins et spiritueux moldaves en septembre 2013). Dans le domaine énergétique, la Russie contrôle, à travers Gazprom, l’opérateur national Moldovagaz. La dette gazière représente plus de 4 Mds $, dont l’essentiel du fait de la Transnistrie. Le contrat d’approvisionnement en gaz échu en 2011 a été prolongé jusqu’à fin 2014, sans que le mode de calcul n’ait été modifié

demande. La construction d’une usine de liquéfaction ou d’un gazoduc représente un investissement lourd. Des incertitudes politiques viennent s’ajouter (conflit russo-ukrainien en 2006). Le gaz a donc tout pour rester une affaire d’Etat de l’amont (Gazprom) à l’aval (GDF-Suez). Dans le cas allemand, le gaz naturel est la clef de la stratégie de « sortie du nucléaire »… alors qu’il semble hasardeux de construire le système énergétique autour du seul gaz. Le charbon demeure une énergie majeure et « moderne »

géo-politiques → résolution du Parlement européenne en 2008: imposer à ses fonds une obligation de transparence et leur imposer une obligation de bonne conduite. D- La montée des défis 1- L'énergie, au cœur des économies ex: le gaz → affaire gazprom, société russe qui exporte du gaz avait fortement augmenter le prix du gaz. Il y avait derrière la révolution Orange de l'Ukraine → Russie coupe le gaz avec l'Ukraine Avec le Nucléaire, la France a pu acquérir une certaine indépendance énergétique

étaient des Républiques soviétiques ou des pays satellites. Mais depuis la fin de l’URSS, cela pose problème… Il y a eu une reprise en main de l’exploitation du gaz par l’Etat russe, avec la société Gazprom, qui est une espèce de bras armé du pouvoir russe, vis-à-vis des anciennes Républiques soviétiques. Gazprom a développé des projets pour contourner les anciennes Républiques soviétiques. Actuellement, deux projets sont menés : -le « North Stream » (projet sous-marin passant par la Baltique et qui viserait

sur la scène politique et diplomatique. Les principaux gisements de gaz se situent en Russie , au Moyen Orient , en Algérie ou encore en Bolivie. La Russie cherchant à redevenir la puissance économique qu’elle était par le passé mise beaucoup sur Gazprom pour l’aider à y parvenir. Cependant cela pourrait donner naissance à des tensions mais essentiellement d’ordre économiques autour du gaz , comme ce fut le cas en fin d’année 2008 avec l’Ukraine qui refusait de payer puis finalement sous la pression

(dépendant de l'OCDE), "les ressources sont suffisamment abondantes pour soutenir la croissance" de cette énergie. Mais peu de "majors" s'y intéressent, publiquement du moins. ExxonMobil a une division en sommeil depuis des années. C'est le géant russe Gazprom qui semble le plus entreprenant. Le Kremlin est en train de constituer un holding public capable de vendre la technologie et le savoir-faire russes à tous les pays qui ont un programme nucléaire civil ambitieux, notamment la Chine et l'Inde. 1

concurrentielle : Nous avons réalisé la position concurrentielle d’EDF par rapport au CA sur le marché de l’énergie ; classez par ordre croissant en fonction de leur chiffre d’affaires. -Dans le monde : (source : site EDF et Fortune global 500 energy) … Gazprom Russie 81,1 milliards d’€ 1 E ON Allemagne 80,9 milliards d’€ 2 EDF France 57,2 milliards d’€ 3 SUEZ France 56,7 milliards d’€ 4 RWE Allemagne 56,6 milliards’€ 5 GAS TERRA Pays-Bas 23 milliards d’€ 6 …. Et en France :

les militaires égyptiens) en sentant bien que cette soupape de sécurité est un relais de survie indispensable pour éviter une conflagration générale. Il reste que le statu quo ne peut être satisfaisant, et pas seulement au plan sanitaire. Le groupe Gazprom: société d'Etat russe aux 300 000 salariés et aux 160 000 km de tuyaux , véritable pépite privilégiée avec plus du quart des réserves mondiales, renationalisée, premier producteur mondial de gaz (mais aussi fournisseur de pétrole) qui alimente largement

à l’international est sans doute la prise de participation, à hauteur de 5%, de la banque publique Vnechtorgbank dans EADS. Le gouvernement britannique s’était, lui, opposé à la tentative d’acquisition du distributeur de gaz Centrica par le géant Gazprom. Le SFRF peut être comparé au fonds souverains du Koweït, Qatar, ou encore de la Chine par son fonctionnement opaque. Ce flou dans la politique d’investissement russe aboutit au fait que la gestion de son nouveau fonds souverains, le Future Generation

convertis au gaz naturel. Dans les années 1970, GDF SUEZ veilla à diversifier ses sources d’approvisionnement. Dès 1975, il signe un accord d’approvisionnement à long terme en gaz naturel avec le ministère soviétique de l’industrie gazière, devenu Gazprom en 1989. Le Groupe passe aussi des contrats de fourniture en gaz provenant du gisement d’Ekofisc, en mer du Nord. Tandis que GDF SUEZ réalisait les terminaux méthaniers français de Fos-Tonkin (1972) et de Montoir-de-Bretagne (1980), ses bureaux d’étude