Gaza

ISRAELO-PALESTINIEN Introduction (diapo 1): Le conflit israélo-palestinien est le conflit qui oppose, au Proche-Orient, les Israéliens aux Palestiniens depuis presque 100 ans et plus précisément dans la zone où se trouve Israël, la Cisjordanie et la bande de Gaza. Ce conflit est lié à la possession de territoires, mais il inclut également une dimension religieuse entre les Israéliens, principalement de confession juive, et les palestiniens, à majorité musulmane. Nous allons vous expliquer les différentes

blocus de Gaza, un an après l’agression Israélienne qui a fait 1400 mort à Gaza. En début 2010, la population de Gaza était toujours assiégé et privé de ses droits par le blocus de Gaza imposé par l’Israël depuis 2006. Les membres de la marche mondiale, sont contre l’étouffement et l’emprisonnement de ces population, et le qualifie d’intolérable. Les membres de la marche dénoncent les agissements de l’Israël qui, subventionner par États-Unis, l’Égypte et le Canada, bloquent Gaza et emprisonnent

Israël c'est Jérusalem car il y a le parlement ( la Knesset ).  A Jérusalem, les moyens de transports sont les autobus israeliens ( pour tous les quartiers  sauf arabes ) et les mini bus arabes ( pour les quartiers arabes ).  Il n'y a qu'un seul passage entre Israël et Gaza.  L'O.C.H.A. fait référence en termes de statistiques sur tous ce qui est Checkpoints, routes  bloquées,zones occupées... 70 Checkpoints ( fournisseur mondial de solutions de Sécurité  du système d'information ) en Israël.  Fin de la première guerre Israélo­Arabe en 1948

"passeur"." (Télérama, 11 avril 2001) 3) "Pour nous, ce troisième anniversaire de l'Intifada est placé sous le signe de la colère et de la poursuite du combat qu ………………. il en coûte." (VDN, 28 sept. 2003) 4) "La Knesset approuve le retrait de Gaza. (…) Le chef du gouvernement de l'Etat hébreu a passé la plus grande partie de cette journée "historique" en consultations politiques. Objectif ? Conforter sa majorité avant le vote et convaincre certains députés hésitants de le soutenir malgré tout

le départ du premier ministre Recep Tayyip Erdoğan au cours du débat du Forum économique à Davos après l'intervention du président Shimon Peres concernant les attaques israéliennes à Gaza (janvier 2009); la détérioration des relations turco-israéliennes après la controverse concernant la flottille pour Gaza (mai 2010); le discours du président Abdullah Gül à l'Assemblé Générale des Nations Unies critiquant l'imposition des sanctions contre l'Iran (septembre 2010). Certains observateurs ont

des troupes terrestres à proximité d’Israël. Israël, craignant l’asphyxie économique et la menace militaire de l’Égypte et de la Syrie, lance préventivement une troisième guerre, dite des Six-Jours (du 5 au 10 juin 1967), durant laquelle il conquiert Gaza, le Sinaï, le Golan, Jérusalem-Est et la Cisjordanie (carte 5). Moscou et Paris condamnent cette action et l’O.N.U. vote une résolution qui prévoit le retrait des territoires occupés. Le 6 octobre 1973, le nouveau président égyptien Anouar el-Sadate

gouvernements ni des États membres (en d’autres mots, les ONG). À ce jour, on dénombre plus de 10 000 ONG à travers le monde. L’Autorité palestinienne est l’entité gouvernementale qui représente tous les habitants arabes de la Cisjordanie et de la bande de Gaza. Elle a été créée en 1993 par les Accords d’Oslo, afin de négocier avec l’Israël pour trouver un accord définitif pour mettre fin au conflit israélo-palestinien, opposant les deux parties. Celle-ci a un président et une assemblée, des représentants

furent victime de pression sur les villages côtiers et subirent la stratégie de la Haganah. Ces méthodes ont occasionné le départ de 200 000 à 300 000 Palestiniens vers le Liban, la Syrie, l’Égypte, la Transjordanie, la Cisjordanie et certains coins de Gaza. Cette deuxième vague de Palestiniens, à cause de son nombre important et par un petit laps de temps de déplacement, verra des tensions et des malentendus se développer. Le troisième exode ce fut lors de la proclamation d’un État d’Israël en mai 1948

Rabbo, Gérard Collomb a rappelé à quel point cette conférence du 6 décembre s’inscrit dans une conjoncture particulièrement favorable puisque le gouvernement israélien souhaite un rapprochement avec la gauche israélienne pour procéder au retrait de Gaza. Dans ce contexte d’espoir, il faut rappeler le rôle non négligeable qu’a joué l’Initiative de Genève depuis un an : héritière de la « diplomatie des marges » qui avait déjà commencé en 1976 en contradiction avec la ligne officielle gouvernementale

principale erreur selon A. Gresh. La Guerre commence dès le 15 mai 1948 : les pays arabes environnant envahissent la Palestine, cette guerre va durer jusqu’en 1949. Ben Gourion fait de Jérusalem Ouest sa capitale mais deux territoires lui ont échappés : Gaza et la Cisjordanie (dont Jérusalem Est). En 1949, la fin de la guerre est annoncée par des accords d’armistice mais Israël occupe beaucoup plus de terre que ce qui était prévu : 78% de la Palestine. De 1949 à 1955, les pays arabes proposent des plans