Gaucherie

coincer sa jupe, tacher ses vêtements, casser sa bretelle, faire glisser sa culotte. Ce qui renforce le côté « petite fille ». Elle subit sans cesse des incidents, elle est victime. Une certaine ambiguïté mêlant maladresse et désir, érotisme et gaucherie semble se dégager de ces représentations. Souvent seule, on peut noter parfois la présence d'un homme ou plusieurs mais en arrière plan, profitant de la situation.

bizuteurs entendent en conserver le principe : le bizutage veut se «moderniser». Les bizuteurs ne comprennent rien à la décision du législateur : pourquoi faut-il cesser et être aujourd'hui condamnés alors que «tout le monde» a ri de l'aspect et des gaucheries des bizuts ? On a ri de l'incapacité des nouveaux à marcher au pas. On a ri des vociférations et des désordres que provoque la discordance. On a ri des efforts que le nouveau fait pour se corriger alors même qu'il est accablé de remontrances, d'ordres

Comtesse Anastasie de Restaud. Il lui rend visite le lendemain, mais sa maladresse lui vaut d'être brutalement congédié par M. et Mme de Restaud. Rastignac se rend alors chez Mme de Beauséant où se trouve également la duchesse de langeais. Sa gaucherie prête encore à sourire, mais cette visite lui permet de résoudre l'énigme du Père Goriot. Les deux aristocrates se proposent de lui relater le drame du vieil homme : cet ancien négociant a fait fortune pendant la révolution. Il a consacré tout son

autoportrait physique livre déjà un exemple de cette tension qui anime le personnage : « une physionomie ouverte et simple qui promettait et inspirait de la confiance et de la sensibilité », mais qui s’allie à une maladresse innée qui le rend ridicule. La gaucherie de ses mouvements est aussi liée à la difficulté de maîtriser un corps qu’il sait malade et dont il ne cache pas les dysfonctionnements. « J’étais né presque mourant, dit-il au début des Confessions, on espérait peu me conserver. » Affligé d’une

simple et franc, pas particulièrement le plus sage ou le plus intelligent. Par exemple, il est ridiculisé de nombreuses fois par Odin, son père. Mais ce valeureux guerrier était aussi simple et rude. Un des poèmes de l’Edda fait ressortir sa gaucherie par rapport à Odin plus habile que son interlocuteur à former un récit. Par exemple, au cours d’un de ses voyages, il arriva à un bras de mer qu’il ne pouvait pas traverser. Il héla un passeur, qui n’était autre qu’Odin déguisé. Thor proposa d’appétissantes

Il a de particulièrement beaux yeux violets « où la lumière se pose et s'arrête aisément ». Il n'a jamais prêté attention à Pauline, elle est d'ailleurs repoussante d'après la description qui en est faite (« nez épaté », « membres courtauds », « gaucherie générale »). Ils ne sont que deux dans cette demeure vide, seul le chant du violoncelle de Pauline rompt le silence. Dans un mélange étrange de nausée et de désir, il se laisse guider par la musique. Là, il la trouve dans une pièce sombre. Il l'étreint

et « affectait » rend encore une fois compte de la tentative particulièrement maladroite de Frédéric pour établir un contact avec elle. Le mot « manoeuvre » semble ici presque ironique : appartenant au champ lexical de la guerre, il montre la gaucherie du personnage, qui établit toute une tactique pour se rapprocher d'elle. Les vers 13 à 18 reprennent la vision de Frédéric et sa description de Madame Arnoux. On a donc des vers 10 à 18 une opposition entre la réalité de la situation : Frédéric

la Comtesse Anastasie de Restaud. Il lui rend visite le lendemain, mais sa maladresse lui vaut d'être brutalement congédié par M. et Mme de Restaud. Rastignac se rend alors chez Mme de Beauséant où se trouve également la duchesse de langeais. Sa gaucherie prête encore à sourire, mais cette visite lui permet de résoudre l'énigme du Père Goriot. Les deux aristocrates se proposent de lui relater le drame du vieil homme : cet ancien négociant a fait fortune pendant la révolution. Il a consacré tout son

littéraire [i.e. en tant qu’art du spectacle, de l’écriture..] mais aussi comédie sociale [en tant que jouant un rôle dans la société]) Le comique est une tonalité : - qui part d’une anomalie (un excès, un effet de surprise comme la chute, une gaucherie physique, la répétition [verbale par exemple] ; par exemple, le personnage de Tartuffe dans « Tartuffe », il y a quelque chose de déréglé) - qui conditionne une distance affective qui rend possible le rire (par exemple : Arnolphe dans « L’Ecole

mère=> Mme de M Lors de ce souper, Mme de M va quand même jouer un peu un rôle actif : elle va essayer d’entrer dans l’intimité de C. MAIS C = trop jeune pour comprendre cela. Il faut laisser murir cela => extrêmement cynique, < libertins Gaucheries ! (v en haut) Je ne sais pas => image d’une fille toute jeune, naïve III lettre= lettre de l’égard Figure de la M : ici on l’a voit dans l’extérieur Un roman par lettres est un roman de plusieurs points de vue. Un même événement peut