Gauche prolétarienne

les hommes libres. » Réconciliant parole et ac°, intellectuels n'hésitent à participer à tts sortes de manifesta° de soutien à 1 pop° opprimée. Après évènements de mai 1986, Jean-Paul Sartre (1905-1980) entame 1 période d'ac° en faveur de Gauche Prolétarienne, allant jusqu'à participer aux grèves aux côtés des ouvriers de Renault à Boulogne-Bilancourt. Au XXIe, malgré net recul de figure de l'intellectuel, quelques artistes (écrivains, dramaturges, metteurs en scène) continuent de participer à

légitimiste. Une des plus terribles répressions de l’histoire de France prend alors place : 25000 Parisiens sont fusillés, une autre dizaine de milliers sont condamnés et déportés. Le mouvement ouvrier est totalement décapité, la première révolution prolétarienne anticapitaliste est écrasée. La Commune possède une héroïne, Louise Michel, institutrice, qui a participé à tous les combats. L'Etat ne fusillant que les hommes, elle est jugée puis déportée en Nouvelle-Calédonie. Elle est amnistiée en 1880, avec

Trois hommes s'affairent à raboter le parquet, comme il l’est précisé dans le titre du tableau lui-même. Le dos nus, ils sont agenouillés de façon à ce que l'on ne voie que partiellement leurs visages. On remarque que l'un d'eux est isolé sur la gauche, contrairement aux autres, il est disposé parallèlement à l'arrière-plan. Ces coéquipiers, en premier plan lui tournent le dos et semblent discuter entre eux. La séparation est d'autant plus suscitée par le rayon lumineux qui provient de la porte

bords ; la résistance oscille entre une clandestinité stérile et une violence débridée où les insurgés risquent alors d’être facilement localisés, cernés et détruits. Bref, la ville est un piège, comme tant d’exemples l’ont montré : soulèvements prolétariens de l’entre-deux-guerres à Canton, Hambourg et Tallinn, insurrection du ghetto de Varsovie, et, plus récemment, révolte des Tupamaros en Uruguay et de Marighella au Brésil. Hors le « coup d’État technique » de Trotski qui s’empare sans coup férir

internationalisme ont toujours fait partie de l'identité radicale. Les radicaux en sont même venus à s'identifier à la République considérant qu'ils avaient une vocation naturelle à gouverner, cela explique leurs nombreuses alliances électorales avec droite et gauche, l'important est qu'ils soient au pouvoir. III- Une illustration du radicalisme : le solidarisme Le solidarisme est une doctrine élaborée dans le dernier quart du XIXème. Il a influencé tous les programmes du parti radical à cette époque, on peut

dépenses démesurées, et de manœuvres boursières risquées. Séparatisme régional * 1923 est l’année de l’occupation de la Rhur par les Français et les Belges, appel à la résistance passive par la grève. * Depuis aout 1921/juin 1922 forte poussée à gauche après l’assassinat d’Erzberger et l’attentat contre Rathenan. * Montée du parti communiste * Naissance du parti national + Hitler : le soviétisme monte, à cause du juif. Déjà, « Etoile rouge ou croix gammée » Conséquence, putsch du 8 novembre

sportif prolétarien » (refus d’envoyer des athlètes aux JO d’Anvers en 1920). En 1921 est créé l’Internationale du sport rouge (ISR), le pendant sportif de la IIIème Internationale. Il s’agit de lutter contre les « sociaux traitres socialistes » ayant reformé à Lucerne en 1920 l’Internationale sportive ouvrière (fondée en 1913), ainsi que de proposer un contre-modèle (« Spartakiades » organisées à Moscou en août 1928) un mois après les JO d’Amsterdam. Mais ce modèle du sport prolétarien est un échec

leurs yeux, ce qui les rend très énigmatiques. On ne peut pourtant s’empêcher de penser qu’ils regardent vers nous, et ce regard « caméra » a quelque chose de déroutant, comme si ces soldats « posaient » pour la caméra. Les deux soldats les plus à gauche ont un bref regard vers la droite (l’uniformité du mouvement le rend d’ailleurs bizarre, presque mécanique) qui rend encore plus étrange l’immobilité du troisième soldat et la fixité de son regard tourné vers nous. Le caractère profond, sombre et

législation sociale. La république française n'est plus remise en cause au début de ce XXème siècle. L'extrême droite est très bruyante, mais son impact reste très faible et l'extrême gauche est divisée. L'ensemble des partis politique soutiennent la république et lui reconnaissent respectivement certains mérites. La gauche est satisfaite par ses principes d'égalité et de liberté; et la droite est satisfaite, car la république conserve la propriété privée. B. La politique isolationniste américaine 

de l'ordre public (loi de défense de la République, octobre 1931 ; loi sur l'ordre public, juillet 1932) et vont se heurter à la droite (tentative de putsch du général Sanjurjo en 1932, dite « Sanjurjada »), mais aussi aux actions de formations de gauche plus radicales[7]. * Des anarchistes interviennent à plusieurs reprises : o grève de Séville en juillet 1931 ; o soulèvement du district minier du Haut-Llobregat (Catalogne) durant lequel des militants anarcho-syndicalistes