Gaspé

de son mode de vie. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Le carnet de bord des récits de Cartier, lors de ses 3 voyages en Amérique, vulgarise fort bien le dénouement d’une rencontre nouvelle entre les Amérindiens, lors de la débarque de Cartier à Gaspé, faisant ainsi la rencontre du chef des Amérindiens qui peuple alors, le sol inconnu. Dans le dialogue de Lahontan, le témoignage de la découverte du Sauvage nous amène à différencier les éléments de leurs modes de vie respectifs pour comprendre que

Lahontan a vécu avec eux longtemps. Illustration 3.1 Illustration 3.2      <<Le vingt-quatrième jour dudit mois, nous fîmes faire une croix de trente pieds de haut, qui fut faite devant plusieurs d’entre eux, sur la pointe de l’entrée dudit havre (Gaspé), sous le croisillon>> (ligne 1-2-3)       <<Crois-moi, mon cher frère, songe à te faire Huron pour vivre longtemps. Tu boiras, tu mangeras, tu dormiras et tu chasseras en repos ; tu seras délivré des passions qui tyrannisent les Français ; tu n’auras

deux navires et 61 hommes. Terre-Neuve est en vue au bout de vingt jours de navigation. Les deux navires s'engagent plus à l'ouest, et croisent quelques îles. Le 29 juin, il découvre l'île du Prince Edouard. Le 14 juillet, il entre dans la baie de Gaspé, à l'extrémité Est de la péninsule de la Gaspésie, où il séjourne jusqu'au 25 et noue des relations avec les autochtones, des Iroquois, à Stadacona. Le 24 juillet, plaçant une croix en ces lieux, il déclare ainsi prendre possession du territoire. Le

quotidienne de gamins turbulents. Il dira plus tard qu’il eut une enfance heureuse et gardera toujours un souvenir très vif de sa Gaspésie natale et un goût prononcé pour les bords de mer. En 1933, il entreprend son cours secondaire au Séminaire de Gaspé, études qu’il poursuivra au collège Saint-Charles Garnier de Québec, après la mort de son père en 1938. Inscrit en Droit à l’Université Laval à l’automne 1941, il « décroche » deux années plus tard pour vivre sa première véritable expérience de journaliste

l'Amérique du Nord entre 1534 et 1542, espérant y trouver un passage pour l'Asie, sinon des richesses. Le premier voyage (1534) Carte du premier voyage de Jacques Cartier. Réplique, à la Tour Solidor (Saint-Malo), de la croix érigée par Jacques Cartier à Gaspé le 24 juillet 1534. Après seulement vingt jours de traversée (du 20 avril au 10 mai), Cartier atteint Terre-Neuve, avec ses deux navires et un équipage de 61 hommes. Il explore minutieusement le golfe du Saint-Laurent à partir du 10 juin25. Le 12 juin

a un rapport et c’est probablement le suivant : mon frère Théo, comme les pionniers, était absolument convaincu qu’il était capable de faire tout ce qu’il voulait.» p.149 Procédé formel : Comparaison Commentaire : Il a commencé son aventure a Gaspé, l’endroit d’où provenait la dernière carte postale qu’il avait reçu de son frère. Pour ensuite, suivre la route de l’Oregon. Jack et Pitsémine, se sont arrêtés à tous les endroits où le livre disait pour s’assurer que Théo ne soit pas là. Idée secondaire

et de bateaux · Date d'arrivée sur le continent américain · Vers où Jacques Cartier veut-il s’engager ? Pourquoi ? · Quel lieu Jacques Cartier découvre-t-il ? · Que fait-il dans cet endroit ? · Quand est-ce-que Jacques Cartier débarque sur l'île de Gaspé ? · Quelle mission lui a confié le roi de France François Ier ? · Pourquoi François Ier lui a-t-il confié cette mission ? · Combien de voyages fera Jacques Cartier · Quelles seront ses missions ? Etape

|« […] toi, qui as été en France, à Québec et dans la | |trente pieds de haut, qui fut faite devant plusieurs d’entre eux, sur la |Nouvelle-Angleterre, il me semble que ton goût et ton discernement | |pointe de l’entrée dudit havre (Gaspé), sous le croisillon de laquelle |sont bien sauvages, de ne pas trouver l’état des Européens | |mîmes un écusson en bosse, à trois fleurs de lys, et au-dessus, un |préférable à celui des Hurons.[…] N’as-tu pas vu nos princes, nos

Anthologie personnelle illustréePREssionAnthologie personnelle illustrée par Flavie Giguère « Marie-Josephte ne savait pas si ses enfants étaient présents dans la foule. Elle ne le souhaitait pas, mais s’ils y étaient, elle tenait à ce qu’ils la voient debout, telle qu’ils l’avaient toujours connue. » Monique Pariseau | « La fiancée du vent » | 2003ExplicationDans cet extrait, Marie-Josephte montre sa force intérieure sans fin. J’associe cette image à cet extrait, car selon moi, elle ressent quand

parler à loisir, l’un après l’autre. […] Lahontan. — qu’ayant été élevés dans la pauvreté et les souffrances, ils les envisagent d’un autre œil que nous […] » Dans Extrait de Voyages en Nouvelle-France : «sur la pointe de l’entrée dudit havre (Gaspé), sous le croisillon de laquelle mîmes un écusson en bosse, à trois fleurs de lys […] » Dans Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique : «N’as-tu pas vu nos princes, nos ducs, nos maréchaux de France, nos prélats et