Garcia Marquez Cent Ans De Solitude

l'extrait qui nous intéresse, Kundera raconte l'histoire de Clementis qui était au centre d'un mouvement de propagande visant a diffusé une photographie sur laquelle apparaissait Gottwald coiffé d'une toque de fourrure prêtée par Clementis. Quatre ans après ce mouvement, Clementis fut accusé de trahison et pendu. La section de propagande le fit immédiatement disparaître de l'Histoire comme l'écrit Kundera et donc, de toutes les photographies. Ce récit est donc un témoin de la tentative du pouvoir

| | | | | | | |XXème siècle |ESPAGNE |FEDERICO GARCIA LORCA |ROMANCERO GITAN |1928 | | | | | |

"Chronique d'une mort annoncée" est un court récit de l'écrivain et prix Nobel colombien Gabriel Garcia Marquez, auteur du célèbre "Cent ans de solitude", paru en 1981. A défaut d'être une véritable enquête, ce récit se présente comme un retour sur les événements ayant conduit à un meurtre commis bien des années plus tôt. Alors que dans un petit village colombien, la célébration des noces d'Angela Vicario et de Bayardo San Roman bat encore son plein, le jeune marié se rend compte que son épouse

Anouilh : Antigone Jean Genet : Les bonnes Jean Cocteau Bernard-Marie Koltès Ecrivains étrangers : Kafka : La métamorphose Aldous Huxley : Le meilleur des mondes George Orwell : 1984 Bradbury, Ray : Fahrenheit 451. Gabriel García : Marquez : Cent ans de solitude Cinéma : Jean Renoir, C. Lelouch, A.Techine, C. Chabrol, C. Berri, etc.

Aden Arabie (1931), Paul Nizan : « J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. »   Les Âmes grises (2003), Philippe Claudel : « Je ne sais pas trop par où commencer. »   Anna Karénine (1877), Léon Tolstoï: « Les familles heureuses se ressemblent toutes; les familles malheureuses sont malheureuses chacune à leur façon." »   Aurélien (1944), Louis Aragon : « La première fois qu’Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. »  

principalement des nouvelles et sortir les cotés insolites ou encore obscures du sujet. Il fait parti des auteurs du réalisme magique : inclure des éléments fantastiques dans un récit tout à fait réaliste du XXème siècle comme Gabriel Garcia Marquez avec Cent ans de solitude, publié en 1967. Cet auteur écrit principalement des nouvelles ou encore des romans, composés de mondes fantastiques, d'un humour très discret et des métaphores sur des souvenirs d'enfance. Parmi ses œuvres les plus connues on

en jouant avec les conventions du roman ; d’autres, par leur concision, leur force ou leur humour, l'utilisation inédite des conjugaisons, ont marqué les esprits et ont su rester dans les mémoires. Aden Arabie (1931), Paul Nizan : « J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. » Les Âmes grises (2003), Philippe Claudel : « Je ne sais pas trop par où commencer. » Anna Karénine (1877), Léon Tolstoï: « Les familles heureuses se ressemblent toutes ; les familles

« cultivées ». • de références philosophiques. • d’exemples exemplaires de la vie quotidienne (des cas particuliers qui sont des cas généraux/génériques). En voici toute une série d’exemples… Qu’est-ce qu’un homme seul ?   •  G. Garcia Marquez Cent ans de solitude • Sophocle Antigone (Antigone et Créon) • E. Bove Mes amis (Victor Bâton) • D. Defoë Robinson Crusoë • M. Tournier Vendredi ou les limbes du Pacifique • F. Kafka La métamorphose (Grégoire Samsa) • Le Château (l’arpenteur)

Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers » Point de lendemain (1777), Vivant Denon : « J’aimais éperdument la comtesse de *** ; j’avais vingt ans, et j’étais ingénu ; elle me trompa, je me fâchai, elle me quitta. J’étais ingénu, je la regrettai ; j’avais vingt ans, elle me pardonna ; et comme j’avais vingt ans, que j’étais ingénu, toujours trompé, mais plus quitté, je me croyais l’amant le mieux aimé, partant le plus heureux des hommes. » Moby-Dick (1851), Herman Melville

Pauvre (1950) - Rachid Boudgedra : La Répudiation (1969) - Driss Chraïbi : La Civilisation, ma mère ! (1972) - Tahar Ben Jelloun : La Nuit sacrée (1987) - Heinrich Böll : L’Honneur perdu de Katharina Blum (1974) - G. Garcia-Marquez : Cent Ans de Solitude (1968) Chronique d’une Mort annoncée (1981) - Italo Calvino : Si par une Nuit d’Hiver un Voyageur (1978) - Günter Grass : Le Tambour - L. Sepulveda : Le Vieux qui lisait des Romans