Ganglion lymphatique

rappel 11-12 ans Diphtérie : maladie contagieuse due à un bacille formant une fausse membrane dans la gorge, nez, larynx Transmission : éternuements Contagion : gouttelettes, sécrétions nasales et buccales Symptômes : fièvres, ganglions lymphatiques gonflés, maux de gorge, fatigue Complications : paralysie du palais, muscle cardiaque (-> mort), muscle de l’œil Traitement : antibiotiques, antalgiques, hospitalisation, isolement. ENFANT SALLE DE BAIN Tétanos : maladie infectieuse

expliquer la propagation de ces maladies d’une région française à une autre ? 3. Quel est l’intérêt d’un tel réseau de surveillance ? Mettre en relation des informations • Élodie, 13 ans, a mal à la gorge, ses amygdales sont rouges et gonflées, les ganglions du cou sont enflés. Sa maman demande au médecin de lui prescrire des antibiotiques pour qu’elle puisse retourner plus rapidement au collège. • Le médecin dispose actuellement d’un test de diagnostic rapide de l’angine. Ce test est positif lorsqu’il

cellules dendritiques présentes dans le tissu lésé. Ces cellules fixent sur leurs molécules membranaires du CMH (Complexe Majeur d’Histocompatibilité) des antigènes de l’élément infectieux. Ces cellules denditriques migrent alors jusqu’aux ganglions lymphatiques où elles vont présenter les antigènes liés aux molécules du CMH aux lymphocytes B et aux lymphocytes T. Les lymphocytes B et T ainsi activés pourront prendre le relai et éliminer les agents pathogènes. Ainsi la réaction immunitaire aiguë est

présente habituellement un zona bénin qui le plus souvent est éprouvant chez l'adulte Le zona est une maladie sporadique due à la réactivation du virus qui cause la varicelle : le virus zoster-varicelle (VZV). Celui-ci est latent à l'intérieur des ganglions d'une racine postérieure de la moelle épinière. De façon générale les patients n'ont pas d'antécédents de contact récent avec une personne qui a été elle-même infectée par le virus.Les facteurs responsables qui réactivent le virus du zona ne sont

problèmes de varices très peu fréquentes au niveau du membre supérieur. Elles sont dues à une station debout dans les professions exposées, age… Le réseau lymphatique draine le réseau interstitiel et a un rôle important en cancérologie et dans les infections avec le lymphonoeuds dans les zones subclavière a la partie basse du cou. Les ganglions constants sont ex-épitrochléen au niveau du coude, c’est-à-dire au niveau de l’épicondyle médiane, et surtout au niveau de la fosse axillaire. Les muscles

Radiations  - Microbes 3) Evolution Développer de manière locale : Il provoque dans ce cas une compression des organes voisins, voire un envahissement et une destruction des tissus adjacents. Développer de manière régionale : Il envahit les ganglions lymphatiques, où logent les cellules du système immunitaire. Propager à distance de la tumeur initiale et former des métastases : Un cancer du sein avec des métastases au niveau du cerveau ne donne pas un cancer du cerveau ; c'est toujours le cancer du

une réaction immunitaire, qui entraine une production d’anticorps, puis une mémorisation afin qu’ils puissent être réactivés lors d’une éventuelle rencontre. Il existe des lymphocytes T qui sont dans le sang et des lymphocytes B qui sont dans les ganglions phénomène d’immunité Les thrombocytes sont des plaquettes. Leur rôle est de participer au mécanisme de coagulation. Ce sont les premières a réagir pour arrêter une hémorragie ou un saignement. Dans le plasma, on retrouve de l’eau, des gaz

arriverait à causer une régression de tumeurs lymphatiques. Ils ont alors administré à un patient souffrant d’un lymphome non-Hodgkinien une moutarde azotée, la caryolysine ou di-(2-chloroéthyl)méthylamine, qui s’avéra efficace. Ce succès médical établit dès lors le principe que des cancers pouvaient être traités par des agents pharmacologiques. Figure 1 Louis Goodman (gauche) et Alfred Gilman (droite) 9 Les lymphomes sont les cancers du système lymphatique. Ces cancers ne sont donc pas localisés

nerveux périphérique Neurolemmocytes Contribuent à la formation et au maintien de la gaine de myéline qui entoure chaque axone d'un neurone du SNP ; participent à la régénération des axones du SNP. Cellules satellites Fournissent un soutien aux ganglions du SNP et régulent les échanges de matières entre des neurones et le liquide interstitiel. Les gliocytes du SNC et du SNP Tableau 9.1 p 216 Manuel d’anatomie et de physiologie humaines TORTORA et DERRICKSON Éditions De Boeck N.B. : SNC = système

l'immunologie La production d'anticorps monoclonaux a été rendue possible par le développement des hybridomes qui sont des lignées de cellules immortalisées qui produisent des anticorps. Cet hydrome provient de la fusion d'une cellule de ganglion lymphatique de vertébré à anticorps spécifique avec une cellule tumorale. En conséquence, on éternise l'hybridome en conservant le caractère producteur d'anticorps. En 1992, seul 2 à 3 anticorps monoclonaux ont obtenus une autorisation de mise sur le marché