Gandhara

L’art du Gandhara Le Gandhara est un ancien royaume recouvrant une vaste région entre l’Afghanistan, le Pakistan et l’Inde. Très actif au début du XIe siècle, il a subit les influences des civilisations hellénistes avec l’invasion d’Alexandre le Grand mais également par l’invasion indienne, perse et chinoise. Ce royaume correspondrait actuellement à la vallée de Kaboul autour de Peshawar et Swat, où la plupart des rois avaient leur capitale. Cependant, on trouve des vestiges de cet art au Cachemire

l’apparition d’un nouveau courant « le grand véhicule » = représentation du Bouddha, rompt avec la tradition iconographique (apparition de l’image du Bouddha dans les sites de Gandhara et Mathura au sein de l’empire Kusana). Influence gréco-romaine. Considéré comme l’art classique de l’art Bouddhique Indien. * L’art Gandhara : * Représentation du Bouddha : vêtement monastique ample et longue tunique, pas de crane rasé mais une protubérance crânienne recouvert par des cheveux (usnisa, signe distinctif

mourir11 » car il est incapable de renoncer à sa soif d’Ailleurs. Son âme demeure ainsi rattachée à son corps défunt, incapable de quitter le monde des vivants. Grâce à sa belle-sœur Dryptéis, l’une des pleureuses du cortège, puis aux cavaliers du Gandhara, derniers compagnons à être fidèles à ses rêves, le roi poursuit sa quête d’Ailleurs et pénètre dans des territoires jamais conquis avant de connaître une forme d’ascension qui le transforme en un esprit vagabond libre de toute attache. Cette

simultanément en Inde et dans un autre foyer artistique important, né aux environs du début de l'ère chrétienne sur le territoire du royaume indo-grec puis de l'empire Kouchan, dont la production la plus remarquable est l'art gréco-bouddhique du Gandhara. À partir de cette époque, l'art bouddhique se diversifie, absorbant les influences culturelles rencontrées dans les contrées où la doctrine de Gautama se diffuse : en Asie centrale et orientale (route du nord) ; à Sri Lanka et en Asie du Sud-Est

peut-être mieux : ils sont passés d’un plan matériel à un autre plan spirituel. Ce mouvement se poursuit au 15ème lorsque nous traversons le pont de Gandara, passant du monde matériel vers le monde spirituel en livrant bataille au milieu du pont de Gandhara (symbole du monde intermédiaire) qui enjambe le Staburnazai. Lors de la bataille (avec nous-mêmes bien évidemment) nous abandonnons nos métaux et apparats pour garder l’essentiel l’épée qui se transformera en baguette de pèlerin. Au 18ème dans

Pendjab pakistanais), Mohenjo-Daro (dans le Sind pakistanais) et Rakhigarhi (dans l’Haryana indien) sont les principaux sites. Elle se distingue par un urbanisme planifié, des techniques artisanales élaborées… *À partir du vie siècle av. J.-C., le Gandhara, la Bactriane et le Nord-Ouest de l’Inde sont envahis successivement par les Perses, puis par Alexandre le Grand (qui laisse sur place une présence hellénistique durable) et par les Kouchans d’Asie centrale. Ces conquêtes favorisent les relations

Il tentera de continuer vers l’Inde mais l’épuisement de ses hommes l’en empêchera. Ce contact entre la civilisation grecque et le Magadha sera à l’origine d’un empire dirigé par les Séleucides jusqu’au Ier siècle avant J.-C. et de la civilisation Gandhara. Alexandre doit faire marche arrière. Mais refusant cette idée, le RETOUR se fait dans la douleur. -326-324 av.JC : C’est le long et difficile retour de l’armée d’Alexandre. Un long retour semé de batailles et de traversées de contrées diverses.

palais d'été du roi de Grèce. Aujourd'hui, outre certaines salles intéressantes (comme la salle du Sénat de la République des Sept-Îles) y est installé le musée des arts asiatiques qui offre, notamment, une très belle collection de statuettes du Gandhara L'Achilleion, résidence édifiée par l'impératrice Élisabeth d'Autriche (dite Sissi) pour sa convalescence et rachetée par le Kaiser Guillaume II qui en fit un palais d'été, souvent fréquenté. Le palais de Mon Repos, résidence de villégiature

Devadatta à Shākyamuni est ainsi interprétée comme le signe d’un léger reste de mauvais karma. Dans le Theravāda[modifier | modifier le code] Maitreya, le bouddha du futur, avec la fiole contenant le nectar du dharma dans la main gauche ; art du Gandhara, iie siècle. Le bouddhisme ancien ou le bouddhisme theravāda considère que seuls de rares individus emprunteront la voie du bodhisattva, dont l'aboutissement est l'éveil pur et parfait du samyaksambuddha, qui permet de « faire tourner la roue du

Malraux, l’événement le plus important du début des années trente paraît être une expédition archéologique en Afghanistan. Il en rapporta un lot de statues dites « gothico-bouddhiques » et « gréco-bouddhiques ». Elles provenaient de la région du Gandhara, à laquelle Malraux attachera toujours un rôle important comme lieu d’annexion, par l’Inde, de l’art grec hellénistique. Ces statues furent exposées à la Galerie de la N.R.F. en 1931. Malraux fit le compte rendu des expositions dans la N.R.F. de