Galerie Palatine

« style florentin » et suit de près les travaux de Leonard de Vinci. Il adopte la technique « sfumato » de son aîné et s’inspire par exemple de la pose de La Joconde (musée du Louvres, Michel-Ange, La Sainte Famille ou le Tondo Doni, 1504-1505 ; Galerie des Offices, Florence Paris) pour peindre Maddalena Doni (Florence, Pitti). Raphaël était également très attiré par les modèles d’antiquité de Michel-Ange, mais on lui préféra toujours ses œuvres dans lesquelles ses modèles étaient spontanés.

C’est là qu’il mourut en 1715. La galerie des Glaces : La galerie des Glaces relie les deux ailes du château de Versailles, elle mesure 73 mètres de long, 10 mètres de large et 12 mètres de haut.Elle est éclairée par 17 fenêtres donnant sur les jardins, et revêtues de 357 miroirs. Les peintures au plafond ont pour sujet les succès militaires des vingt premières années du règne de Louis XIV et sont un hommage à la puissance et à la gloire du roi.La galerie des glaces est surtout un lieu de passage

premier "château" de Versailles s’élevait au fond de l’actuelle cour de marbre. Le corps de logis principal mesurait 24 mètres de long sur six de profondeur et se limitait de chaque côté à deux ailes basses. L’appartement du roi comprenait une petite galerie où était accroché un tableau représentant le siège de La Rochelle. Puis, venaient quatre pièces dont les murs étaient couverts de tapisseries. La chambre du roi occupait le centre de l’édifice, emplacement qui correspondra par la suite avec celui

comparative Avant l’arriver de l’imprimerie au Québec notre littérature circulait de manière oral à travers les générations du peuple québécois. C’était pour la majorité des légendes qui sont encore connues aujourd’hui. La légende de la chasse-galerie et de celle de Rose Latulipe font d’ailleurs parties des légendes d’autrefois qui sont toujours connues aujourd’hui. Ces légendes reflètent donc l’identité des québécois d’antan par rapport à leur société. Mais en comparant ces deux textes, peut-on

montrant un prince de l’Antiquité (Auguste, César…) en action de gloire ou de guerre. Il s’agit là d’un véritable traité de bon gouvernement en image, et ce « bon gouvernement » ne peut être que celui du roi. Le programme iconographique de la galerie des glaces (décidé au lendemain de la paix de Nimègue (1678) qui mettait fin à la guerre de Hollande) constitua une véritable révolution dans la représentation du roi. En effet, pour sacraliser ce que l’entourage du prince considérait comme une victoire

Cellini dans son autobiographie : « l duca ricavava grande piacere nel pulirla personalmente con attrezzi da orafo » (« le duc tirait grand plaisir en la nettoyant personnellement avec ses outils d'orfèvre »). En 1718, elle fut transférée à la Galerie des Offices, et ensuite en 1871, au musée archéologique national de Florence, où elle se trouve maintenant, dans la salle des grands bronzes qui lui est réservée avec l'Arringatore, autre pièce étrusque majeure. Les Médicis usèrent de cette découverte

gens. Et le diable, personnage fantastique le plus populaire de tous, il vient séduire et tenter les gens afin d’avoir leur âme (Le diable au bal, p.172). Il fait des pactes avec les hommes des chantiers qui veulent revoir leur famille (La chasse-galerie). Il prend au mot les gens qui ne prennent pas garde à leurs paroles, comme c’est le cas de Colette qui avait dit : «Plutôt épouser le diable que de coiffer Sainte-Catherine»[Note de bas de page]. Elle se damne et son fantôme revient chaque année

grotte de Téthys construite. En 1667, commence le creusement du grand canal. Le Vau entreprend la construction des appartement du Roi et de la Reine. En 1670, le Trianon est construit. 1678-1770: deuxième période de grands travaux En 1678, la galerie des glaces est construite. En 1682, Louis XIV ne peut plus attendre et s'installe à Versailles pour y vivre. En 1710 est achevée la chapelle royale baroque. En 1770 est achevé l'opéra royal pour le mariage de Louis XVI et Marie-Antoinette.

galeriste et sa galerie d’art. Aujourd’hui l’art est revenu sur le devant de la scène publique notamment grâce à la politique culturelle mise en œuvre de l’Etat. Tout le monde sait ce qu’est le musée avec ses grands artistes qu’il expose, et on commence à murmurer les foires et les salons d’art. Mais il reste une catégorie de distributeur de l’art qui reste encore trop méconnu : le galeriste. Même si les galeries se sont décentralisées, allez demander une définition de la galerie dans la rue à

Charles Le Brun est né à Paris est né à Paris en 1619 et décédé à Paris le 22 février 1690 Peintre et décorateur rendu célèbre par son travail au château de Versailles et à la galerie des Glaces, Charles Le Brun est repéré dès l'âge de 11 ans par le chancelier Pierre Séguier. Le jeune homme est confié à l'atelier du maître Simon Vouet. Ce dernier lui apprend son métier, avec l'aide de François Perrier. En 1642, il part en voyage en Italie avec Nicolas Poussin. Son périple dure quatre années. A son