Galaxie elliptique

parfois en faisant un angle allant jusqu’à 23° avec ce dernier. D’autres facteurs sont reliés à de réelles variations de vitesse, par exemple la vitesse de révolution de la Terre autour du Soleil, qui augmente quand celle-ci, parcourant son orbite elliptique excentrique, se rapproche du Soleil, et diminue dans le cas contraire. Mentionnons également, bien qu’il s’agisse ici d’un effet beaucoup moins important que les deux précédents, la variation saisonnière de la vitesse de rotation de la Terre,

l’années. Plusieurs facteurs influent sur la vision que l’on a des phases (hormis pour la pleine Lune et la nouvelle Lune qui sont toujours pareil), comme la période de l’année, l’éloignement de la Lune (il faut alors prendre en compte son mouvement elliptique),… Nous n’aborderons pas cet aspect des phases ici. Dans tous les cas, c’est d’abord la partie est de la Lune qui s’éclaire de plus en plus, puis la partie éclairée décroît et on ne voit plus que la partie ouest : on peut donc se repérer par

Bertrand Russell) donna un jour une conférence sur l’astronomie. Il décrivit comment la Terre tournait autour du Soleil et de quelle manière le Soleil, dans sa course, tournait autour du centre d’un immense rassemblement d’étoiles que l’on appelle notre Galaxie. À la fin, une vieille dame au fond de la salle se leva et dit : « Tout ce que vous venez de raconter, ce sont des histoires. En réalité, le monde est plat et posé sur le dos d’une tortue géante. » Le scientifique eut un sourire hautain avant de rétorquer

deux Savants qui ont marqués à leur époque, déjà ancienne par rapport à aujourd'hui, la Science de l'Univers. Ces deux hommes sont Kepler, et Newton. Je rappelle ici les découvertes de Kepler Le mouvement des Planètes s'effectue sur des orbites elliptiques, dont le Soleil occupe un des foyers. Le segment de droite tracé de la Planète au Soleil, balaie dans des temps égaux, des surfaces égales de l'Ellipse On connaît l'histoire de Newton, qui à l'age de 24 ans vit une pomme tomber. De là, il en déduisit

Bertrand Russell) donna un jour une conférence sur l’astronomie. Il décrivit comment la Terre tournait autour du Soleil et de quelle manière le Soleil, dans sa course, tournait autour du centre d’un immense rassemblement d’étoiles que l’on appelle notre Galaxie. À la fin, une vieille dame au fond de la salle se leva et dit : « Tout ce que vous venez de raconter, ce sont des histoires. En réalité, le monde est plat et posé sur le dos d’une tortue géante. » Le scientifique eut un sourire hautain avant de rétorquer :

directement à la rédaction en prenant contact avec moi. 3 4 Table des matières 1 Introduction 1.1 Du temps . . . . . . . . . . . . . . 1.2 De l’infiniment grand à l’infiniment 1.2.1 L’univers . . . . . . . . . . 1.2.2 Les amas de galaxies . . . . 1.2.3 Les galaxies . . . . . . . . . 1.2.4 Les étoiles . . . . . . . . . . 1.2.5 Le système solaire . . . . . 1.2.6 La Terre et la Lune . . . . La Terre . . . . . . . . . . . La Lune . . . . . . . . . . . Les marées . . . . . . . . . 1.2.7 Le monde subatomique

est composé d'une étoile, le Soleil, de huit planètes, de cent cinquante neuf satellites gravitant autour de ces planètes et de nombreux petits astres appelés météorites, astéroïdes, comètes.... Le Système solaire est situé à l'avant-bras de notre galaxie, la Voie lactée, qui mesure 100_000 années lumière et compte un nombre inimaginable d'étoiles 1) Les étoiles. Il y plus de 200 milliards d’étoiles dans notre voie lactée. Les étoiles sont de gigantesques boules de gaz brulants. C’est en transformant

Quant à l'image d'un astre sur lequel le télescope n'est pas exactement pointé, ou d'une galaxie présentant une certaine dimension angulaire, elle ne présente que d'infimes aberrations géométriques et aucune aberration chromatique. Les dispositifs de transfert de l'image principale ne doivent donc pas altérer cette qualité. Dans ce but, James Gregory utilisa dès 1663 un miroir de transfert axial, elliptique et concave, l'un des foyers de l'ellipse coïncidant avec le foyer du miroir principal ; Isaac

de l’espace puisqu’il revient 20 fois dans tout le récit. Le lieu est donc donné, mais il n’est pas précisé. Effectivement, on trouve des horizons partout. Notons aussi que les mots suivants sont utilisés de façon récurrente : paysage, univers et galaxie. Cela nous permet d’affirmer que les lieux sont traités ici sur le thème du visible et de l’invisible. Alia va contempler énormément de sites mais à l’intérieur du ventre de l’ogre. En effet, après avoir ingurgité montagnes, déserts ou autres mers

. . . . . . . 2.2.1 Les plan`tes lointaines et les petits corps du e 2.2.2 Les amas ouverts ou amas galactiques . . . 2.2.3 Les amas globulaires . . . . . . . . . . . . . 2.2.4 Les n´buleuses . . . . . . . . . . . . . . . . e 2.2.5 Les galaxies et amas de galaxies . . . . . . 2.2.6 Les quasars . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 Les objets non visibles . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4 Synth`se . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 3 Rep`res historiques et “sociologiques” e 3.1