Gala

sûr" (vers 3)… On a l'impression que sa vie ne dépend que d'elle, qu'il ne saurait vivre sans elle (vers 5), qu'elle a marqué un tournant si brusque dans sa vie qu'il préfère oublier tout ce qui est antérieur à elle (vers 4-5). Pourtant, Eluard et Gala n'ont été mariés que pendant douze ans et d'autres femmes sont intervenues dans sa vie. C'est pourquoi il semble qu'il s'adresse en fait à la fait aimée en général et non particulièrement à la femme avec laquelle il était à l'époque. Quelle que soit

représentées. On y voit Philippe Soupault ayant participé à la création d'une revue surréaliste, Hans Arp : peintre, poète, sculpteur, Paul Eluard, écrivain, Louis Aragon, poète, romancier, André Breton, Giogio de Chirico, peintre « métaphysique », Gala Eluard, épouse de Paul qui fut la maîtresse d'Ernst puis la muse de Salvador Dali, on décelle également la présence fortuite du peintre de la Renaissance Raphaël, le peintre s'est aussi reproduit dans son oeuvre, faisant parti du groupe. La présence

chacun de ces vers avec en plus l’adjectif « entier » au v.14 (= la femme permet vraiment de tout comprendre) - La femme est une muse pour le poète : sans elle, il ne peut travailler (Eluard a eu trois Muses : Nush, Gala et Dominique ; ce poème précis, il l’écrit quand il est avec Gala) - Femme mystique : le sacré avec « auréole » qui fait penser à une sainte + « astres » qui révèlent un côté mystérieux chez la femme b) Les différents rôles ou statuts de la femme : - La femme est une épouse et

est désespéré, nu. Toutes ses tentatives de consolation sont demeurées vaines, il a pensé au suicide et accompagner sa compagne dans la mort. Il a essayé d'en effacer même le souvenir, il n'a plus la force de vivre. Eluard a accumulé les difficultés, Gala sa première femme le quitte pour un peintre, une autre Nusch qui décède et enfin Dominique dont il vient de faire connaissance. Dans son deuil, "Il s'est étendu sur des vagues absurdes", a souhaité mettre fin à ses jours, mourir pour ne plus souffrir

du surréalisme qui s'intéresse à l'imaginaire, au rêve et à l'inconscient dans les années 1920. Après une crise personnelle existentielle en 1924, Eluard publie son premier recueil en 1926 : Capitale de la douleur. Ce recueil est dédié à sa muse : Gala. Le poème "La courbe de tes yeux" est l'avant dernier du recueil. La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, Et si je

Sa vie fut très contrastée. Après avoir passé une enfance heureuse, à seize ans, il contracte la tuberculose et est contraint d’abandonner ses études. En 1913, il rencontre une jeune russe qu’il nomme Gala, et publie son premier recueil intitulé Premier Poèmes, la même année. En 1917, il épouse Gala et connaît le front de la première guerre mondiale. Il en ressort avec la guerre en horreur et de nouvelles idées pacifiques. Il se joindra tout d’abord au mouvement Dada, précurseur du surréalisme, puis

"feuille de jour" > quand les paupières se lèvent Gala voit le jour"ailes" > paupières ?"rosée" > regard humide ?"roseau" > les cils ?Les yeux de Gala ne sont pas simplement des yeux physiques, mais des "yeux purs">> monde moral, intérieurIl n'y a pas de description précise et physique de l’œil. II- Le couple A- Bonheur d'un amour partagé * On a ici tout un jeu des pronoms personnels et possessifs (v.1:"tes"; "mon")v.1: Gala enveloppe d'amourv.15: Eluard lui répond en lui rendant

Comentario de texto : UN ERROR COTIDIANO, de Antonio Gala Tema : el racismo. Introducción : El problema del racismo está muy presente en nuestras sociedades occidentales. El miedo de la diferencia, el rechazo del otro, acarrean diversas formas de discriminación. Aquí tenemos ejemplos de dos tipos de racismo en España. El documento es un articulo del periodista, poeta y autor dramático, Antonio Gala. Está sacado del País, un periódico famosísimo en España. Nos da cuenta

sérieux. “ Rêve causé par le vol d’une abeille autour d’une pomme-grenade une seconde avant l’éveil” Dali a réalise cette oeuvre en 1944 elle se retrouve actuellement dans le Musée Thyssen-Bornemisza de Madrid. l’œuvre représente le rêve de Gala, femme du peintre (au premier plan) Dans ce tableau Dali fut influencer par la théorie de Freud, selon laquelle le rêve transforme les éléments extérieurs en objets oniriques, et les amplifie de manière inconsciente. La dernière partie du titre de

plusieurs voyages à Paris et de rencontres, Dali reçut chez lui, à Cadaquès, la visite d’un groupe de surréalistes. Parmi eux se trouvait le poète français Paul Éluard accompagné de sa femme, connue sous le nom de Gala. Salvador Dali et Gala ne se quittèrent plus et finirent par se marier. Gala inspira plusieurs œuvres de Dali. Cependant, cette liaison, d’abord adultère, ainsi qu’une gravure mal interprétée par sa famille, furent les raisons d’une dispute entre Dali et son père et sa petite sœur. En 1934