Fédéralisme Et Démocratie

la seconde guerre mondiale, la France entame sa Vème république. Aujourd’hui, il reste très peu de pays utilisant le système monarchique (Royaume-Uni, Espagne, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, Suède, etc…), elles sont également des démocraties. Malgré, que la démocratie et le régime républicain se soit diffusés en Europe, la V République présente des particularités par rapport aux régimes constitutionnels des voisins de la France (Allemagne, Royaume-Uni…). Une constitution est l’ensemble des textes

appellations différentes » (Olivier Duhamel). Pour Pierre Hassner, la Russie aujourd’hui est une « démocrature », pour Donal Murray une « Democracy of despots », à mi chemin donc entre dictature et démocratie, et certains comme Marie Mendras analysent un régime autoritaire masqué en apparence par une démocratie électorale limitée. Nous verrons dans une première partie comment sont définies les institutions russes: si la constitution affirme les libertés individuelles et un état de droit, Eltsine a infléchi

REPUBLIQUE République et démocratie Le mot République a pris un sens plus précis avec l’expérience de la Révolution française. La République est la société politique où le peuple est source de la loi et où l’autorité s’exerce par la loi sur des individus libres et égaux. Un pouvoir est républicain lorsqu’il est l’émanation du peuple et qu’il est responsable devant lui. En ce sens le mot est  synonyme de démocratie . Le mot République désigne ensuite une forme de démocratie parmi d’autres, largement

Il y a deux mécanismes pour former un Etat fédéral a) Le fédéralisme par dissociation C’est quand au départ il n’y a qu’un seul état dans lequel coexiste plusieurs communautés culturelles différentes et les revendications de ces communautés peuvent conduire l’état unitaire à se convertir en état fédéral. C’est ce qui s’est produit il y a 16 ans en Belgique. On a failli connaître le même phénomène en Italie en 2006. b) le fédéralisme par association Au départ il y a plusieurs états indépendants

respecte une hiérarchie des normes, une séparation des pouvoirs, et ou les droits et libertés des hommes sont garantis. (Ex : état qui n’a pas de séparation de pouvoir: régime totalitaire). L'état des droits est donc la démocratie, aujourd’hui l’état de droit fait référence à une démocratie. Aujourd’hui un état des droit, est celui où il y a respect des droits fondamentaux et où il y a séparation des pouvoirs, dans le cas contraire (régime de vichy) on parle de d'un état de police. Tandis que notre 5e

Les gouvernants ayant pour fonction d’ordonner et d’orienter la vie sociale et disposant du pouvoir de commandement unilatéral qui leurs permet d’imposer leurs décisions aux gouvernés indépendamment de leurs volontés [Il faut noter que dans les démocraties les gouvernés décident de leurs gouvernants -> ils donnent ainsi leurs avis et leurs consentements]. Ce pouvoir unilatéral est associé au monopole de la contrainte permettant de faire assurer par la force l’application des décisions des réfractaires

Tocqueville (1805-1959) * Les sociétés modernes sont avant tout « démocratique » * Démocratie : mouvement d’égalisation des conditions 1. Egalisation des droits individuels 2. Diffusion d’un bien-être matériel 3. Représentations égalitaires. * Pourquoi démocratie en Amérique ? Rôle de la religion ; répartition de la terre ; le fédéralisme américain * Les risques de la démocratie : 1. Anarchie 2. Despotisme 3. Individualisme 4. Conformisme culturel et conservatisme

Microsoft Word - 0. Fiche de révisions Démocratie.docxFiche de révisions 1. Définitions a. Introduction Démocratie : de démos, le peuple et kratos, le pouvoir. C’est donc le « pouvoir du peuple ». Selon le président américain A. Lincoln (1860-1865), il s’agit du « gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». Toute la difficulté est de réussir à trouver les institutions pour incarner cet idéal. Souveraineté : capacité d’un État à être autonome, indépendant, à ne dépendre

, 2003). Ces critiques ont été particulièrement vives au cours des années 1980. Taylor reprochait alors au libéralisme de mettre l’accent sur l’individu en oubliant l’importance inéluctable des valeurs communautaires, pourtant essentielles à la démocratie. En procédant ainsi, le libéralisme courrait à sa perte, car les valeurs qui étaient les siennes – la liberté, l’égalité, la solidarité – n’étaient viables que dans le contexte d’une communauté singulière pour laquelle ces valeurs avaient de l’importance

l’€ = ! institut° délimitant l’€ mais def° pas satisfaisante. (UE laisse l’ouverture pr l’intégrat°). ≠ concept° de l’€ : gd marché sans frontière (RU), « € cô puissance » (Fr), renforcer le noyau & associer les périph (All), Euroméditérranée : démocratie → rive Sud => + de sécurité (Fr+All). Pb des limites==t une quest° de tps →élargissts rapides & disparates ds l’UE => besoin de « digérer » tant q les pbs institut° ne st pas résoluts + ≠ pbs (ex : division en 2 de Chypre). M. Foucher : « la question