Fédéralisme Allemand Et Fédéralisme Américain

pays européens n'ont pas élaboré la même conceptualisation de l'État-nation. Diverses typologies ont été construites pour qualifier les divers États-nations et leurs fondements. La plus classique consiste à comparer, sinon à opposer la conception allemande et la conception française. Pour l'école historique allemande9, la nation est fondée sur des liens matériels ou ethniques tels que la race, la langue, la religion etc., c'est le "Volkgeist". Elle préexiste à l'État ; c'est une conception culturelle

encrée dans nos traditions historiques. Ce principe, très français marque la limite de l'autonomie locale. Dans nôtre système il y a quand même une part de fédéralisme: → On ne parle pas de la décentralisation mais de la Nouvelle-Calédonie: Son statut pose un problème théorique car il introduit dans nôtre système unitaire une dose de fédéralisme. Son statut remet en cause le principe d'indivisibilité de la République. Dans la Constitution, un titre est spécialement consacré à la Nouvelle-Calédonie:

aggravée par le manque de transparence dont a fait preuve le pays, lors de son entrée dans la zone euro, dans la présentation de sa dette et de son déficit. Plus particulièrement par la levée de fonds hors bilan permis par la banque d’investissement américaine Goldman Sachs pour un montant de un milliard de dollars . Puis, par le biais d'instruments financiers mis au point par la même banque : la Grèce aurait utilisé sur ses conseils des contrats de swaps de change pour décaler artificiellement de plusieurs

libéral (LDPD) ont été autorisés par l’occupant. Dans les zones occidentales, la fondation des partis politiques est autorisée avec un temps de retard, en septembre dans les zones britannique et américaine, en décembre seulement dans la zone française. Dès le lendemain de la guerre, le parti communiste allemand (KPD) est le premier parti de la zone d’occupation soviétique et publie sa déclaration de fondation le 11 juin 1945 à Berlin. À la tête du parti se trouvent Walter Ulbricht et Wilhelm Pieck, qui

politique, une sorte d'idéale. Même en France où les juristes et légistes sont très attachés à faire un roi absolu, mais quand on lit leur traité ils font des parallèle avec la république de Venise. On pourrait aussi prendre certaines citée ou ville allemande et canton suisse également.  Le prince est politiquement faible, on a un pouvoir politique qui essaye d'être centralisateur mais en même temps il est faible, et menacé de partout. Sa légitimité politique et juridique est souvent remise en question

communs jusqu’en 1951 où les six pays fondateurs signèrent le traité de Paris le 18 avril où les grandes institutions furent fondées (Conseil des Ministres, Cour de justice, …). Jean Monet poussa également le projet, soutenu sans concession par l’ouest-Allemand Konrad Adenauer et le Belge Paul-Henri Spaak. 4. Quelle est sa place dans la Guerre froide ? En plus que de se mettre à l’abri d’une nouvelle guerre, la CECA vise également à s’affirmer dans le monde entre les deux superpuissances que sont

L’État Fédéral, quant à lui, peut être qualifié d’État « complexe », c'est à dire régi par sa propre Constitution, mais comprenant d'autres entités politiques qui peuvent se présenter eux-même comme des États (States, États Américains), mais pas nécessairement (Länder, pays allemands) : ils sont alors régis par leur propre Constitution, que celle-ci soit, en principe, à part (cantons suisses) ou qu'elle soit, par exception, intégrée dans la Constitution de l’État complexe(Communautés, régions belges)

cependant quand on regarde la réalité des confédérations, ce sont tjr les même compétences qui sont exercées en commun, car ils considéraient qu’a plusieurs ce serait mieux de les exercer. Si on regarde les deux modèles : confédérations des colonies américaines ( 1777 -1787 ) et la confédération suisse ( 14e-1848), l’alliance entre les Etats sert à garantir sur le long terme l’indépendance des Etats par rapport à l’extérieur, mettre en commun la défense, la diplomatie, et aussi des activités qui sont la

Deux grands modèles idéologiques I – Les années 1950, apogée du modèle américain 1) Un modèle politique • Après la victoire de 1945, le modèle politique des Etats-Unis s’est conforté. L’Amérique se présentait comme le chef de file du « monde libre » et imposait son modèle dans la Guerre Froide, hérité de la tradition Britannique et des Lumières. • Le modèle américain est basé sur le fédéralisme instituant un strict partage entre les Etats et l’Union (police, justice, fiscalité, éducation

Etats-Unis d’Europe. Il s’agît pour lui d’unir les peuples et d’intégrer les économies dans un marché commun : fédéralisme+ libre échange. IIGM : (A. Briand n’est donc pas entendu) Idéal qui est à nouveau réactiver en 1946 par W. Churchill. Il énonce la nécessité de créer des Etats-Unis d’Europe (discours du 19/09). Pour lui cette construction européenne passe par la réconciliation franco-allemande, donc du devenir de l’Allemagne « casse-tête pour les alliés ». B) Supranationalité ou souveraineté