Furie

ressorts affectifs qui ne seront pas efficaces. Elles annoncent que la furie de ses Erinyes le suivront à jamais. Au dernier épisode, Oreste ressort et montre le voile rouge de la Mort de son père, pour montrer qu'il a une justification. Mais à la fin de la pièce, il est torturer par les Erinyes qui le rendent fous. Elles ne sont pas présentes sur scène. Oreste fuit. Le cœur se demande quand va enfin s'arrêter la furie de cette vengeance ? Eschyle Les Euménides (-455) (Les bien veillantes

des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. &endash;Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir,

tueur en série qui assassinait ses victimes dans sa baignoire avec une hache et qui a ni pendu. Isabel décide alors de détruire la baignoire, tout un ayant la conviction de voir Marlin sortir du miroir. Ses parents la surprennent dans son élan de furie destructrice et Isabel est enfermée dans un hôpital. Les médecins justient son attitude par un stress dû au contexte familial. Jeremy, le père d’Isabel, rééchit aux événements alors qu’il prend son bain et a l’impression que tout le monde le

est devenu méchant, l’école se débauche » (v.18) or c’est le propre d’une religion de conduire à la vertu et en particulier à la tempérance, vertu cardinale. C’est la défaite de la raison, « sans raison (x2), erreur insensé, monde renversé, v.24, furie, erreur folle » : le mal causé n’est pas seulement d’ordre humain et social (la guerre civile), il est aussi d’ordre spirituel.   II). L’apport de la poésie.   Le propos de Ronsard est renforcé par l’expressivité poétique. Le travail sur l’alexandrin

j’ai faite tout à l’heure lors de ma balade. Je fus tellement fatiguée de toutes ces émotions que je m’endormis en pensant au centre du flot d’argent. Le lendemain, un réveille brusque m’attendait, je n’avais pas entendu mon réveil ! Ma mère était en furie, elle m’emmena très vite au lycée et ne me dit même pas bonne journée. Comme chaque jour je devais faire face à ceux qui se moquent de moi, car en plus je n’ai pas d’ami(e), je suis souvent toute seule. Mais aujourd’hui une fille vient me parler. Elle

mais en fait ce sont « nos cerveaux » à tous qui sont pris au piège. L’étau se resserre autour de chacun : c’est le mal du siècle. II. LA CRISE. · Des le début de ce quatrain, il y a changement de rythme avec les « cloches...sautent...furie ». Il y a une sorte de révolte, on sort de la léthargie, et on fait appel à du « sensoriel » : Sonore: « cloche » (vers 13) et Visuel: « esprits errants » (vers 15). · Il suit une immédiate sensation de douleur. On souffre et on se plaint

aussi un dieu effrayant. Ses victimes, devant son aspect hideux ou sa colère, sont prises d'une terreur démente (la "panique") allant jusqu'à une ivresse furieuse capable de les pousser aux actes les plus abjects. C'est, le plus souvent, sous cette furie que les héros tragiques commettent ou subissent des crimes amoraux (Agave déchiquette son propre fils, Penthée, sous la loi de Dyonisos; Clytemnestre tue cruellement son mari, Agamemnon, pour venger le sacrifice de leur fille; Agamemnon lui-même sera

L’assassin de Banconi Pendant la saison sèche, à kokrini au mali, vivent les bozos. Une ethnie réputée pour ses connaissances des mystères du monde aquatique. Un jour le fleuve niger, au bord duquel vivent ce peuple, entre soudainement en furie et un terrible orage dévaste le campement. Suite à cet événement, on découvre aux aurores les corps sans vies du chef des bozos, Kouata, et de sa deuxième femme, Nassoumba dans leur concession. Envoyés sur les lieux, de toute urgence, le commissaire

les sécha pourtant, et comme un autre Alcide, Contre fortune instruit, Fit qu’à ses ennemis d’un acte si perfide La honte fut le fruit. Leur camp, qui la Durance avoit presque tarie De bataillons épais, Entendant sa constance, eut peur de sa furie, Et demanda la paix. De moi, déjà deux fois d’une pareille foudre Je me suis vu perclus, Et deux fois la raison m’a si bien fait résoudre Qu’il ne m’en souvient plus. Non qu’il ne me soit mal que la tombe possède Ce qui me fut si cher ;

masque et peut être vu comme une perte de ses enfants. La grosse poitrine souligne la maternité. La folie est représentée par l’anarchie centrale, corps désarticulé. Mise en valeur de la mort par le clair-obscur. Haut ombrage, qui traduit la furie de Médée. Sa folle chevelure est à l’image du personnage. On a le tissu, une carpe de qualité par terre qui souligne la fuite. Couleur assez sobres : noir et rouge : couleur du mal, actes cruels. • Toutes les lignes convergent vers la figure de