Furie

dont les familles s’opposent à leur mariage. * Rendez-vous secrets grâce à la fissure d’un mur qui sépare les deux maisons. Volonté de se rencontrer au tombeau du roi Ninus, en pleine nuit. * Thisbé arrive au lieu de rdv , ms une lionne en furie arrive. Elle fuit et laisse tomber son voile, la lionne le déchire et le couvre de sang. * Pyrame arrive et voit le voile tâché de sang. Culpabilité => enfonce son épée dans sa poitrine. Le sang qui coule a donné sa couleur aux mûres du buisson

l’Épire, suivant un soldat des siens pour le tuer, et ce soldat ayant essayé, par toute espèce d'humilité et de supplication, de l'apaiser, se résolut à toute extrémité de l'attendre l'épée au poing. Cette sienne résolution arrêta sur le champ la furie de son maître, qui, pour lui avoir vu prendre un si honorable parti, le reçut en grâce. Cet exemple pourra souffrir autre interprétation de ceux qui n'auront lu la prodigieuse force et vaillance de ce prince-là. L'empereur Conrad troisième, ayant assiégé

l’indépendance de leur région (surtout ETA), dont plusieurs sont si meurtriers que propagent la terreur entre les Espagnols. Malheureusement, la lutte légitime du gouvernement contre le terrorisme est, dans certains cas, confondue avec la violence d’État ou la furie inquisitoire. Les premières élections législatives, remportées par l’UCD, se déroulent en juin 1977. Comptent avec la participation de plus de 200 partis politiques. C’est le moment ou jamais de montrer au monde le talent des Espagnols pour matérialiser

finale de l'esprit. II) Le paroxysme de la crise et la défaite de l'esprit en proie au spleen. A) Paroxysme de la crise - Verbes d'action « saute » « lance » → agitation inquiètante et insistante - Cloches animées → appel vers le ciel obstiné. Furie, hurlement (v. 14). Gémissement d'esprit condamné à l'exil, imploration des cloches vers le ciel → demander pardon. - Images terribles s'atténuent (str.5) → redeviennent + humaines. B) La défaite était prévisible - "L'Espérance" avec une majuscule

place hélas ! règnent le brigandage, La force, les couteaux, le sang et le carnage. Tout va de pis en pis : les cités qui vivaient Tranquilles ont brisé la foi qu’elles devaient ; Mars (9) enflé de faux zèle et de vaine apparence Ainsi qu’une furie agite notre France, Qui farouche à son prince (10), opiniâtre suit L’erreur d’un étranger (11), qui folle la conduit. Tel voit-on le poulain dont la bouche trop forte Par bois et par rochers son écuyer emporte, Et malgré l’éperon, la houssine

mer”. Maintenant, nous allons voir la puissance de la nature et les conséquences. Premièrement, nous pouvons extrapoler plusieures exagérations qui nous montre cette puissance, “furieuse violence de la mer” (l.7), “arraché aux vagues” (l.9) et “la furie du cyclone”. Il y a un champ lexicale de la destruction et de la furiosité qui revéle le potentiel de la nature face à la Durande. De plus,nous remarquons que la nature est un élément clé du ce texte due à des nombreuses utilisation des mots reliés

Rends-moi mon Curiace, ou laisse agir ma flamme : M a joie et mes douleurs dépendaient de son sort ; Je l'adorais vivant, et j e le pleure mort. 15 N e cherche plus ta sœur où tu l'avais laissée ; T u ne revois en moi qu'une amante offensée, Qui comme une furie attachée à tes pas, Te veut incessamment reprocher son trépas. Tigre altéré de sang, qui me défends les larmes, 20 Qui veux que dans sa mort j e trouve encor des charmes, Et que jusques au ciel élevant tes exploits, M o i - m ê m e j e le tue une seconde

poignante, la transposition infiniment douloureuse du «Nous nous aimerons toujours» qu’échangent des amants heureux. À la pensée du bonheur des amants parfaits que sont Hippolyte et Aricie, sa jalousie exaspérée lui insuffle une bouffée d’orgueil et de furie vengeressse (vers 1257-1263), au nom aussi de son orgueil («je ne puis souffrir un bonheur qui m'outrage» [vers 1257]). Elle se veut impitoyable. Mais qui pourrait la venger? Ce ne peut être Thésée, même s’il en veut à ce «sang odieux» qui coule en

Ne tiens-je pas une lanterne en main ? Ne te trouvé-je pas devant notre demeure ? Ne t’y parlé-je pas d’un esprit tout humain ? Ne te tiens-tu pas fort de ma poltronnerie Pour m’empêcher d’entrer chez nous ? N’as-tu pas sur mon dos exercé ta furie ? Ne m’as-tu pas roué de coups ? Ah ! tout cela n’est que trop véritable, Et plût au Ciel le fût-il moins ! Cesse donc d’insulter au sort d’un misérable, Et laisse à mon devoir s’acquitter de ses soins. Mercure Arrête, ou sur ton dos le moindre

terni par la souffrance ! » De ses pas de révolté, il allait au-devant de son destin. Son visage s’était métamorphosé en un masque terrifiant ; son menton s’était allongé, ses yeux étaient devenus durs et perçant comme ceux d’un aigle. Telle une furie il se tordait, se redressait à travers les ruelles du village. Il murmurait, ronronnait, maugréait, jurait par ses aïeux, puis crachait comme un naja en en colère. Sur son chemin, les partant le toisaient, lui lançaient des injures en se demandant