Front de l'Ouest

militaire, Staline accepte d'ouvrir un second front contre le Japon dans les trois mois. Un deuxième sujet de négociation est constitué par le nouveau tracé des frontières en Europe. La démarcation des futures frontières polonaises est entérinée : Staline obtient qu'elles soient déplacées vers l'ouest, ce qui permet un accroissement sensible du territoire de l'URSS. Cette décision repose sur un déplacement de la frontière germano-polonaise vers l'ouest, sur les rives des fleuves Oder – Neisse ; ce

l'été 1914, suite à l'attentat de Sarajevo. Partout, la résignation ou le patriotisme prévalent, tous sont persuadés de l'emporter en quelques semaines. Ces espoirs sont déçus et dès l'automne 1914 et ce jusqu'à l'automne 1917, le front s'enlise dans une ligne de front composée de tranchées parallèles de la Suisse à la mer du Nord. B. L'entrée dans une guerre totale Les belligérants mobilisent toutes leurs ressources pour une guerre totale : les empires coloniaux sont mis à contribution

la Marne en septembre 1914. Puis à la fin de l'année le front s'immobilise,aucune armée n'ayant pris d'avantage décisif. Les soldats s'enterrent dans des tranchées, la guerre de position commence alors. -1915-1917, la guerre de position L' Italie change de camp pour rejoindre l'Entente, l'Empire ottoman intègre l'Alliance (Empires centraux). Le front à l'Ouest s'étend de la Suisse à la mer du Nord. Les offensives visant à percer le front sont des échecs et les combats interminables dans les tranchées

convenir de brest-litovsk traîner à la reddition de la russie habiliter à l'armée allemande de se concentrer sur le front de l'ouest mais l'échec des offensives allemandes en juin et juillet 1918, le renforcement des joindre yankee et anglais retire à l'allemagne tout expectance de victoire. Depuis août, les forces frisé proroger en bon ordre, mais avec de saturé pertes, sur l'ensemble du front franco-belge. En septembre, l'état-major chleuh fait savoir à l'empereur que la guerre est perdue. Mais ni Guillaume

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convenir de brest-litovsk conduisant à la reddition de la russie permet à l'armée allemande de se concentrer sur le front de l'ouest mais l'échec des offensives allemandes en juin et juillet 1918, le renfort des alliés Oncle Sam et anglais éloigner à l'allemagne tout désir de victoire. Depuis août, les forces allemandes proroger en bon ordre, mais avec de important pertes, sur l'ensemble du front franco-belge. En septembre, l'état-major allemand fait savoir à l'empereur que la offensive est perdue. Mais

mouvement à la stabilisation des fronts* Les états-majors avaient prévu des opérations militaires très offensives et croyaient à une guerre de mouvement* courte. Après avoir violé la neutralité de la Belgique en août, les Allemands envahissent la France et se retrouvent à une quarantaine de kilomètres de Paris. Mais, du 6 au 13 septembre, l’armée française réplique dans la bataille de la Marne : les Français commandés par le général Joffre, repoussent les Allemands. Sur le front Est, les généraux allemands

côtes puis dans les vallées qui entaillent le front de ces dernières (vallées de l’Orne et de la Fensch) (photo n° ). Les mines creusées en galeries sur les versants alimentaient les hauts-fourneaux installés au fond des vallées qui progressivement ont été totalement occupées par les autres éléments des complexes sidérurgiques (aciéries, laminoirs, usines d’agglomération, cités ouvrières, etc.). L’annexion d’une partie de la Moselle, en 1870, a poussé le front sidérurgique vers l’amont des vallées et

leurs positions dans des tranchés. En 1914 : les pays prennent conscience de l’ampleur du conflit : il va être long. Les pays utilisent des moyens pour soutenir l’effort de la guerre. Tandis que les hommes des métropoles et des colonies patents au front, les femmes, sont à l’arrière. Elles prennent le rôle des hommes, elles les remplacent dans les champs et les usines. Les vivres et les matières premières sont réquisitionnés pour l’armée. Les états s’endettent pour financer ce conflit qui est couteux