Freud Et La Liberté

Être de la nature : 3 caractéristiques 1) Être agissant par instinct (déterminisme)2) Être agissant sans moralité (immoralisme)3) Être agissant seulement pour le plaisir (égoïsme) Être de la civilisation : 3 caractéristiques 1) Être agissant pour liberté (raison)2) Être agissant avec moralité (justice)3) Être agissant pour le bien commun (politique, altruisme)Problème : l’homme est-il un être libre et moral ou instinctif et égoïste ?

1 Quelle est la thèse principale du texte et le fil directeur de l'argumentation de l'auteur ? 2 Quel est le seul avantage reconnu par Freud au fondement religieux des lois sociales ? Quels inconvénients le contrebalancent ? 3 Inversement, quels avantages Freud voit-il à reconnaître l'origine humaine des prescriptions morales et sociales ? 4 Trouvez des exemples de grands principes de vie universellement valables. Quelle en est la finalité ? 5 Trouvez aussi des exemples d'interdictions

philosophiques de l’être humain : * Être acquis/inné * Perfectibilité * Historique * Culturel * Créature de Dieu * Besoin/instincts/désirs * Sentiments/émotions * Raison/passion/logique * Libre arbitre/volonté/liberté * Inconscient/conscient de soi-même * * Comprendre, Under stand: prendre, le soutenir, l’avoir sur nous * * * MODERNITÉ * Moyen Âge et christianisme (476-1453) * * La religion va prendre du pouvoir *

Freud quand il écrit Malaise dans la culture, tente de montrer le parallèle qui existe entre psyché individuelle et psyché collective. Etant entendu que la culture se définit comme ce qui lie les hommes entre eux, il va montrer comment les pulsions de vie (Eros) et les pulsions de destruction (Thanatos) vont l'une et l'autre interférer dans le développement culturel et comment la culture va se poser comme obstacle au bonheur, à la satisfaction pulsionnelle, et notamment à la pulsion de mort. Entendu

le conseillait Socrate : « Connais-toi toi-même ». Et se connaître, c’était savoir se maîtriser. En quelque sorte si je voulais, je pouvais. Spinoza et Leibniz furent les premiers a soupçonné une activité qui échappait à la conscience. Mais C’est Freud, psychiatre et neurologue autrichien, qui démontrera vraiment qu’une puissance obscure commande nos actes : il existe une activité psychique indépendante de la conscience et bien plus puissante qu’elle. Ce déterminisme psychique détrône ainsi la conscience:

constituant sa dignité et sa grandiose. Mais l’homme conscient peut il espérer se construire un futur librement? Nous verrons dans un premier temps voir que l’homme est libre "il e architecte de son futur" pour ensuit montrer le contraire avec Freud d’après la notion de l’inconscient  D’abord Descartes veut prouver l’existence de la conscience faisant de l’homme un être libre par son doute méthodique universel et constructif. Ce dernier a permis l’arrivée a la vérité indubitable, au cogito

ce que l’on désir, des choix que nous faisons… Nous pouvons agir, sans avoir un savoir ou une connaissance de ce qui nous détermine à faire ce que nous faisons. Prenons l’exemple de la liberté. Elle peut-être un choix, mais nous pouvons, faire des mauvais choix qui peuvent être néfastes pour nous et notre liberté. L’alcoolique ou le toxicomane sont justes conscients, il y’a une absence de la détermination. Ils ignorent pourquoi ils agissent ainsi. Ce qui nous montre que la conscience de soi n’est

de conscience et de volonté autrement dit de liberté. o Contrainte = vient de l’exterieur o Obligation = vient de vou mm On est contraint d’aller à l’école jusqu’à 16ans, on s’oblige à y aller jusqu’à 16ans. Commentaire : La conscience humaine a donc en elle le principe de son mouvement, elle est active comme la matière est passive. Par son âme, l’homme participe à la substance divine elle mm et à son attribue majeur qu’est la liberté qui par nature est infinie. Cet esprit en tant

càd sur le principe du même, le principe du familier, principe du déjà connu. Le but du moi est de détruire le non moi. Le non moi c'est l'autre, ce que le moi ne maîtrise pas et qui le met en danger. Il s'agit de détruire sa propre altérité car Freud dit : « le moi n'est pas le mâitre dans sa propre maison ». La haine de l'autre serait donc le résultat de l'amour de soi = origine de problèmes identitaires Le rapport à autrui est basé sur la discord et l'asymétrie. On fait supporter à l'autre

inévitable qui ne demande pas la moindre réflexion et combien se sont interrogé sur la religion et sur leur croyance à eux et non à celle de leur famille? Se connaître permettrait une liberté de jugement qui donnerait la possibilité de se defaire des préjugés qu'on nous à inculqué dès le plus jeune age. La liberté à laquelle peut aspirer l'Homme lorsqu'il se connait rendrait possible une meilleur maitrise de sa vie et de sa pensée. «Celui qui se connaît est seul maître de soi. »dit Pierre de Ronsard