Frederick Emery Caractéristiques Des Systèmes Sociotechnique 1959

CONTEXTE 3 1.2 – LE MANAGEMENT 5 1.3 – LES CONTEXTES DE MANAGEMENT 8 2.1 – L’ANALYSE DES ORGANISATIONS 10 2.2 – LES CLASSIQUES 14 2.3 – L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES 18 2.4 – LES NEO CLASSIQUES 23 2.5 – L’ORGANISATION, SYSTEME COMPLEXE 27 2.6 – L’ANALYSE SOCIOLOGIQUE DES ORGANISATIONS 33 2.7 – LES THEORIES DE LA CONTINGENCE STRUCTURELLE 36 2.8 – LES THEORIES DE LA FIRME 40 2.9 – LES APPROCHES DE L’EVOLUTION DES ORGANISATIONS 44 3.1 – LA CHAINE DE VALEUR

3 1.2 – LE MANAGEMENT 5 1.3 – LES CONTEXTES DE MANAGEMENT 8 2.1 – L’ANALYSE DES ORGANISATIONS 10 2.2 – LES CLASSIQUES 14 2.3 – L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES 18 2.4 – LES NEO CLASSIQUES 23 2.5 – L’ORGANISATION, SYSTEME COMPLEXE 27 2.6 – L’ANALYSE SOCIOLOGIQUE DES ORGANISATIONS 33 2.7 – LES THEORIES DE LA CONTINGENCE STRUCTURELLE 36 2.8 – LES THEORIES DE LA FIRME 40 2.9 – LES APPROCHES DE L’EVOLUTION DES ORGANISATIONS 44 3.1 – LA CHAINE DE VALEUR

Même dans les TPE, il y a répartition des taches + pas le même apport au capital. Beaucoup d’entreprise ont raccourci le nombre d’échelon, et ainsi réduire le niveau de l’organigramme. Le plus haut dépend du travail du plus bas = interdépendance (système de répartition des rôles).Tous salarié doit connaitre la personne qui lui donne des ordres et celle à qui il donne des ordres. On est autonome mais dans des limites précis. INSTITUITONS ≠ ORGANISATIONS Si « l’école française est confrontés des

selon Burrell et Morgan . . . 3 Figure I.2 Cadre intégrateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 Figure 3.1 Boucle simple de rétroaction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 Figure 3.2 La typologie des systèmes techniques de Woodward . . . . . 47 Figure 3.3 Relations entre technologie, structure et performance . . . 48 Figure 3.4 Relations entre environnement, technologie et structure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

MANAGEMENT 4 1.3 – LES CONTEXTES DE MANAGEMENT 6 2.1 – L’ANALYSE DES ORGANISATIONS 8 2.2 – LES CLASSIQUES 10 2.3 – L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES 12 2.4 – LES NEO CLASSIQUES 15 2.5 – L’ORGANISATION, SYSTEME COMPLEXE 17 2.6 – L’ANALYSE SOCIOLOGIQUE DES ORGANISATIONS 21 2.7 – LES THEORIES DE LA CONTINGENCE STRUCTURELLE 23 2.8 – LES THEORIES DE LA FIRME 26 2.9 – LES APPROCHES DE L’EVOLUTION DES ORGANISATIONS 28 3.1 – LA CHAINE

des matières 286 INTRODUCTION Hors des fédérations et des logiques compétitives, le sport investit le temps de loisir des Français et se transforme en un marché de consommation. Sous sa forme ludique, l’activité sportive revêt les caractéristiques d’une marchandise et investit depuis peu la sphère du tourisme. Si la consommation sportive est grandissante en termes de pratique, depuis une vingtaine d’années, c’est une offre incomplète qui particularise le secteur du tourisme sportif. Habituellement

version 1 - 9 May 2010 4 INTRODUCTION Hors des fédérations et des logiques compétitives, le sport investit le temps de loisir des Français et se transforme en un marché de consommation. Sous sa forme ludique, l’activité sportive revêt les caractéristiques d’une marchandise et investit depuis peu la sphère du tourisme. Si la consommation sportive est grandissante en termes de pratique, depuis une vingtaine d’années, c’est une offre incomplète qui particularise le secteur du tourisme sportif. Habituellement