Frédéric-Guillaume III de Prusse

Voltaire, elle s’enorgueillira du titre d’élève de mlle Cardel. Elle lui communique l’amour de la langue française. B) Un mariage avec l’héritier du trône de Russie orchestré par Frédéric II. En 1739, ses parents l’emmènent à Kiel pour paraître à une fête que donne le cousin de sa mère, Adolphe-Frédéric de Holstein-Gottorp. Sophie y rencontre le jeune Pierre-Ulric de Holstein, dont on dit qu’il est l’un des héritiers possibles pour le trône de Suède ou pour celui de Russie. Le garçon qui

prennent des décisions sont : -Autriche (Metternich) - La Russie (le tsar Alexandre Ier) -Le R-U (le ministre Castlereagh) - La Prusse (le Kaiser Frédéric-Guillaume III) - La France vaincue est représentée par Talleyrand, ministre des Affaires étrangères. La monarchie est rétablie dans tous les pays d'Europe : => les Bourbons

Sophie Dorothée Ulrique Alice de Prusse (en allemand : Sophie von Preußen et en grec : Σοφία της Ελλάδας / Sophía tis Elládas), princesse de Prusse et d'Allemagne puis, par son mariage, reine des Hellènes, est née à Potsdam, en Prusse, le 14 juin 1870, et est décédée à Francfort-sur-le-Main, dans le land de Hesse, en Allemagne, le 13 janvier 1932. Elle est reine de Grèce de 1913 à 1917 puis de 1920 à 1922. Issue de la Maison de Hohenzollern et fille du Kaiser Frédéric III d’Allemagne, Sophie reçoit une

est à nouveau segmentée en petits états. Cependant, l’esprit révolutionnaire de 1789 n’est pas éteint et des mouvements nationaux cherchant à unifier le pays naissent en Italie. Un premier effort : En 1859, le comte de Cavour fait appel à Napoléon III pour libérer l’Italie de l’Autriche. Celui-ci se donne comme mission de « libérer l’Italie jusqu’à la mer Adriatique » (manuel de cours). Cependant, suite à plusieurs combats et pertes humaines, Napoléon en arrive à une trêve et entame les préliminaires

chronologiques et spatiaux....................................................................................... 4 II. Nations, nationalités et nationalisme ....................................................................................... 4 III. Les historiens et la question nationale ................................................................................ 5 Chapitre 1 : L’Europe en 1815 ............................................................................................

Allemagne, où se préparait déjà l’élection d’une assemblée nationale, des insurrections politiques, pour l’obtention d’une constitution, se déclenche en Saxe, en Bavière, en Allemagne de l’Ouest, mais surtout à Berlin le 18 et le 19 mars ou le roi de Prusse accepte l’élection d’une constituante. Dans l’Empire d’Autriche, des mouvements nationaux éclatent en Bohême, en Croatie, en Hongrie, et même chez les Roumains de Transylvanie. Seuls la Russie, l’Espagne, le Portugal et la Scandinavie échappent

entraîna la guerre de Sept Ans, ou du moins il existe une autre explication qui lui est intimement liée et que nous nous efforcerons de démontrer au cours des deux parties suivantes. Cette seconde raison réside en la personne du Duc de Cumberland. Guillaume Auguste de Cumberland, dit duc de Cumberland est le fils de Georges II, roi d'Angleterre. Il est né le 15 avril 1721. C'est une haute figure militaire à cette époque, il accompagna notamment son père en 1743 en Allemagne et se distingua à la bataille

Vienne A) Les objectifs des puissances -L’Empire d’Autriche (empereur François Ier et Metternich): contrôle de l’Allemagne et de la péninsule italienne, équilibre européen, restauration de la légitimité monarchique. -La Prusse (Frédéric-Guillaume III et Hardenberg): expansion territoriale en Allemagne, au détriment de la Pologne, projet d’un démembrement de la France. -La Russie (tsar Alexandre Ier et Nesselrode) : projet d’une fédération européenne basée sur le christianisme (la

Allemagne, les aspirations libérales et nationales sont sévèrement réprimées. Metternich, qui joue habilement des particularismes locaux au sein de la Confédération germanique, impose une politique réactionnaire et autoritaire, imité par Frédéric-Guillaume III en Prusse, ainsi que par les nouveaux rois de Bavière, de Hanovre, de Wurtemberg et de Saxe, qui craignent la perte de leur souveraineté. Des insurrections libérales éclatent cependant dans plusieurs États allemands à l’annonce de la révolution

XIXème siècle. Cette élite aisée, éduquée, urbaine, a fait fortune dans le développement de l'industrie. Elle rompt avec les élites d'Ancien Régime ; – culturel ensuite avec au XIXème siècle avec la naissance de l'enseignement de masse (très tôt en Prusse), la mise en place d'une langue nationale officielle et le développement des religions avec des références religieuses omniprésentes ; – le développement de l'état enfin, surtout du côté de l'administration, avec le quadrillage de la société et la