François Quesnay Physiocrate

démarche normative et la démarche positive. Introduction à l’Economie Ridha CHKOUNDALI 3 CHAPITRE 3 - HISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE Section 1 – Le discours de l’économie politique 1) La pensée Mercantiliste 2) Le libéralisme a) Les physiocrates b) Les classiques c) Les néoclassiques 3) La théorie de l’intervention de l’Etat : Keynes Section 2 – Le discours critique de l’économie politique : Le socialisme CHAPITRE 4 – PRESENTATION DE L’ACTIVITE ECONOMIQUE Section 1 - Les agents économiques

celui des idées économiques. La physiocratie à pour fondateur un homme du 18ème siècle : François Quesnay qui est considéré comme le fondateur de cette doctrine physiocratique. Les physiocrates soutiennent une nouvelle thèse selon laquelle la prospérité d’un Etat repose sur le dynamisme du secteur agricole. Selon eux, l’agriculture est le secteur qui occupe 90% de la population. Partant de ce constat, les physiocrates identifient là un premier effet de levier : si on améliore le travail des agricultures

commencée en 1845 entrainent d’importantes révoltes, jusqu’au renversement de la monarchie de Juillet puis du gouvernement provisoire de la République, facilitant la restauration de l’Empire. D- Théories économiques Les mercantilistes Les physiocrates Les classiques Les mercantilistes Le développement économique qui prend son essor au XVI siècle s’accompagne de réflexions sur ses mécanismes qui « fondent » l’économie politique Pour les mercantilistes, la puissance de l’état va de pair

des impôts directs en réaction à celle de l’Ancien Régime. B – La création d’un système fiscal nouveau 1 – L’influence des doctrines professées par les physiocrates Les physiocrates ont développé leur théorie au cours de la seconde moitié du XVIIIème siècle. Leur leader était le médecin du roi Louis XV et s’appelait François Quesnay. Cette école comptait en son sein des hommes comme le Chapelier ou Turgot ; elle était à la fois très moderne et archaïque. Elle était moderne en ce sens qu’elle

des impôts directs en réaction à celle de l’Ancien Régime. B – La création d’un système fiscal nouveau 1 – L’influence des doctrines professées par les physiocrates Les physiocrates ont développé leur théorie au cours de la seconde moitié du XVIIIème siècle. Leur leader était le médecin du roi Louis XV et s’appelait François Quesnay. Cette école comptait en son sein des hommes comme le Chapelier ou Turgot ; elle était à la fois très moderne et archaïque. Elle était moderne en ce sens qu’elle

libérales Les influences libérales sont fondées sur le marché, sur une véritable « mystique du marché » (M. BOUVIER). Il y a derrière ces théories des utopies. A – La logique libérale classique 1) Les précurseurs : les physiocrates 2nde moitié du XVIII°s. Les physiocrates ont eu une influence sur les révolutionnaires. Le mercantilisme dominait depuis le XVI°s en Europe, surtout en Espagne. On parle de commercialisme en Grande-Bretagne. Le mercantilisme s’est implanté en France à partir du XVIII°s

roi permet au titulaire de céder son office, moyennant le prix de l'office. Génant pr les finances du roi car cela reste des droits casuels (dus au cas par cas, et ne permet dc pas au roi de comptabiliser ses recettes fiscales à l'avance) 1524, François Ier : Bureau des parties casuelles : chargé d'instaurer la vente des offices : pr financer la guerre contre les Anglais, vente de fontions publiques par Charles Quint. => 1604 : édit inspiré par Paulet (financier de Henri IV). Cette mesure permet

l’influence de l’économie sur la population. Le courant physiocratique (Quesnay). Les physiocrates vont développer leurs idées en réaction aux idées mercantilistes et aux politiques préconisées par les mercantilistes. Chez les physiocrates le concept de base est celui d’ordre naturel. Le secteur essentiel est celui de l’agriculture. Le produit net est à rechercher dans l’agriculture pour développer la richesse. Les physiocrates ne partagent pas la conception populationniste des mercantilistes

privée, dans le but de la loyauté, principe d’égalité. Il n’était pas rare qu’une invention soit interdite au nom de l’égalité, de la loyauté de la corporation. Parallèlement se développe un courant libéral de la pensée économique, celui des physiocrates. Ils voient dans la liberté d’entreprise, liberté et le remède aux maux de la société. Pour eux c’est la libre concurrence qui permet de garantir des prix juste et des produits de qualité. C’est l’ancêtre du libéralisme, le niveau des prix est

niveau maximum. Poursuivant la critique de Boisguilbert à l’encontre du mercantilisme, l’école physiocratique, fondée par François Quesnay (1694-1774), exalte l’agriculture et voit dans l’excès de réglementation du colbertisme une source fondamentale de l’étouffement de l’initiative et de la paralysie du commerce. Par la liberté du commerce de grains, les physiocrates espèrent l’établissement du bon prix. De Colbert à Turgot Alors que le colbertisme se traduit par l’essor des corporations