François Quesnay Et Les Physiocrates

Les Aventures de Télémaque de Fénelon Introduction: François de Salignac de La Mothe-Fénelon a écrit en 1699 les Aventures de Télémaque. Grand seigneur, archevêque et précepteur des princes royaux, Fénelon a produit ce roman, reproduction de l’Odyssée d’Homère et de l’Énéide de Virgile, pour servir à l’éducation du duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV. Formée de dix-huit livres, cette épopée romanesque relate les aventures de Télémaque, à la recherche de son père Ulysse. Le jeune prince

Adam Smith En France,on pense que la liberté crée la prospérité. Le commerce a besoin de liberté et protect° pour s'épanouir. Pas d'intervent° de l'Etat => C'est le mvt des Physiocrates F. Quesnay (1694-1774) pose la pensée des physiocrates et défend la liberté des entreprises. Il connait un gd succès. Les physiocrates favorisent l'agriculture plus que le reste car elle se nourrit d'elle-même alors que l'industrie s'usent à long terme. La sidérurgie est une industrie de pointe et stratégique

1ers théoriciens : milieu XVIIIème Les grands théoriciens du capitalisme libéral ont été britanniques mais les précurseur étaient français : il s’agit des physiocrates. Leur chefs de fil s’appelaient François Quesnay (médecin à la cour du roi), et Turgot (ministre de louis XVI). L’ouvrage dans lequel sont exposées ces idées est de Quesnay et s’intitule tableau économique. Ils s’opposent au système d’organisation économique qui valait en France, le modèle mercantiliste (dirige, interventionniste :

sont insuffisants pour réguler l'économie. → libéralisme: physiocrates et classiques s'y opposent: il faut laisser faire les hommes, laisser passer les marchandises, pas d'intervention de l'Etat. Mécanismes du marché amènent naturellement l'équilibre et la croissance économique: le marché est un régulateur parfait. LES PHYSIOCRATES 1) Présentation La naissance de l'économie en tant que science. Physiocratie née en 1758. Quesnay fondateur de la première école de pensée économique, science

Le mercantilisme : unité et diversité 1. Les hommes 2. La doctrine 3. Les variantes nationales 23 23 23 25 7 Philosophie des Lumières et libéralismes 1. La philosophie des Lumières : raison et autonomie 2. Les libéralismes 8 François Quesnay et la physiocratie 1. Les hommes 2. La doctrine 3. La naissance d’un paradigme et d’une science III 27 27 28 31 31 32 33 Histoire de la pensée économique L’école classique 9 L’école classique : présentation d’ensemble

Phrase qui illustre bien ce qu’il y a d’écrit juste au-dessus : « Laissez faire, laissez passer », de Adam Smith * Le courant physiocrate : en France : François Quesnay, économiste propose - l’abolition de la réglementation de travail - suppression de toutes entraves à la liberté de commerce - suppression des corporations et des pratiques communautaires Des physiocrates croient qu’il existe un ordre naturel voulu par Dieu. Ils affirment que la production et la circulation des biens obéissent à

1753 la chaire de philosophie morale, professant entre autres l'économie politique et publiant la Théorie des sentiments moraux. En 1763, tuteur du jeune duc de Buccleugh, il passa trois ans en Europe, principalement en France, où il rencontra les physiocrates. Revenu en Écosse en 1767, il se consacra à la rédaction de La Richesse des nations, ainsi qu'à ses devoirs officiels et aux rééditions de son œuvre. Il mourut à Édimbourg. L'ouvrage de Smith est d'abord l'exposé du mécanisme de la croissance

un économiste, démograph et sociologue français : Alfred Sauvy naît en 1898 dans une famille de propriétaires terriens originaire de l'Hérault et établie en Roussillon depuis le milieu du xixe siècle. Il fait ses études secondaires au Lycée François-Arago à Perpignan puis au Collège Stanislas. Mobilisé, il prend part à la fin de la Première Guerre mondiale. Puis il entre à l'École polytechnique(X 1920S) et à la Statistique générale de la France (SGF). Disciple de Maurice Halbwachs, il adhère

Histoire de la pensée économique resuméHISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE « Paradigmes » : de la chréma2s2que d’Aristote aux premiers grands courants de pensées en économie poli2que (Mercan2lisme et Physiocra2e) » « Un paradigme est — en épistémologie et dans les sciences humaines et sociales – une représenta7on du monde, une manière de voir les choses, un modèle cohérent du monde qui repose sur un fondement défini. » Epigones = Successeur, imitateur. Le statut d’un courant de pensé renvoie

plusieurs souverains ». En France, à la fin du XVIIIe siècle, l’idée de contre-force chère à Montesquieu et aux libéraux anglais du XVIIIe siècle était fortement combattue par François Quesnay et les physiocrates, c’est-à-dire si l’on suit Tocqueville par un des courants qui a eu le plus d’influence en France. Quesnay, dans les Maximes générales du gouvernement économique d’un royaume agricole, écrit16 : « Le système des contre-forces dans un gouvernement est une opinion funeste qui ne laisse apercevoir