François Quesnay Et Les Physiocrates

dans son « Ethiques » l’économie comme « […] l’art de gouverner un hôtel (maison) et les appartenances pour acquérir des richesses ». La science économique émerge progressivement entre le XVIe et le XVIIIe siècle avec les Mercantilistes et les Physiocrates, tous deux précurseurs de « l’économie moderne ». Le mercantilisme (du latin « Mercari », qui signifie faire du commerce, et « Merx », marchandise) prône le développement économique par l’enrichissement des nations par le biais d’une politique

des compétences mathématiques afin de mieux gérer ses récoltes, de mieux commercer ; au fond, faire de l’économie. On ne peut nier de ce point de vue le lien étroit entre mathématiques et science économique. Depuis les physiocrates, école de pensée économique fondée par François Quesnay, l’usage des modèles mathématiques a été réaffirmé. Walras, rationaliste pur ou cartésien a lui aussi souhaité fonder la science économique comme science naturelle, en construisant un modèle réglé par la force et la

des principes d'analyse et surtout une représentation de la sphère que l'on vient de découper CAD la sphère économique. Ces principes d'analyse sont élaborés dans la seconde moitié du XVIIIème siècle principalement par deux auteur Smith (ch3) et Quesnay (ch2) Chapitre 2 – L'économie politique au XVIIIème siècle : l'affirmation de la pensée libérale. Les conditions dans lesquels l'économie émerge au XVIIème siècle orientent les premières analyses économiques dans une direction bien précise :

ECONOMIE REEL I) Les courants : Théories économiques et concepts Intro  mercantalistes et physiocrates SOMMAIRE : 1) économie classique 2) économiste néo-classique 3) économistes keynésiens 4) la remise en cause des hypothèses keynésiennes Différents courants de la pensée économique : école Mercantilistes physiocrates Classique keynésiens marxistes Néoclassique néo-keynésien

développe une réflexion sur l'intérêt personnel et les comportements égoïstes qui préfigurent son approche individualiste de l'économie de marché. A l'université il rencontre les encyclopédistes français, dont D'Alembert, mais aussi et surtout les physiocrates qui l'initient à l'économie politique. Son ouvrage principal se nomme : « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations » qui est publié en 1776, et qui connaîtra plusieurs rééditions de son vivant, ce qui prouve le succès

développe une réflexion sur l'intérêt personnel et les comportements égoïstes qui préfigurent son approche individualiste de l'économie de marché. A l'université il rencontre les encyclopédistes français, dont D'Alembert, mais aussi et surtout les physiocrates qui l'initient à l'économie politique. Son ouvrage principal se nomme : « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations » qui est publié en 1776, et qui connaîtra plusieurs rééditions de son vivant, ce qui prouve le succès

spécifiquement française, qui tire son nom du contrôle général des finances de Louis XIV et qui s’efforca de l’applicquer à la fin du XVII ème siècle. Le mouvement des physiocrates (qui s’appellent entre eux les «Economistes») emerge véritablement grâce à la parution du Tableau économique de François Quesnay en 1758. Turgot, physiocrate, est nommé contrôleur général des finances en 1774 sous Louis XVI et doit affronter une situation économique presque desespérées, «Point de banqueroute, point d’augmentation

les renouveler. Du XVII au XVIIIème siècle arrive les physiocrates qui pensent que l’agriculture est la source de toute les richesses (dû aux problèmes de famine, produit-on assez ?), et instaure la notion de circuit économique (chaque agent est lié par l’économie comme le sang pour le corps qui lie les organes). De plus, ils sont contre l’intervention de l’Etat mais pour la propriété privée et l’individualisme économique (François Quesnay 1694-1774). II. Les classiques Les principaux auteurs

fondateur François Quesnay qui peut être considéré comme fondateur de la doctrine physiocratique. Quesnay et les physiocrates soutiennent une thèse nouvelle selon laquelle la prospérité d’un Etat repose sur la prospérité, le dynamisme du secteur agricole. Sans doute les physiocrates partent ils du constat selon lequel l’agriculture est le secteur qui occupe peut être 80 à 90% de la population. Partant de ce constat les physiocrates identifient là un premier effet de levier. Les physiocrates mettent

croissance du PNB au 19E siècle est supérieur a 5%. LE PIB/hab est de l’ordre de 4%. La croissance du niveau de vie est autour de 1.25% par an. 1.3.5 Les idées libérales On peut retrouver des idées libérales dès le 18e siècle. Physiocrate avec François QUESNAY. La nature est la puissance → Economie agricole Il réclame la règle du laissez faire, laissez passé ceci pour réduire les interdictions à l’X des produits agricoles. Ces idées furent ensuite reprises par des grands auteurs comme Adam