Frankenstein

même très appréciée. D’autre part, certains lecteurs peuvent prendre peur face à l’identification. En effet, ils peuvent redouter de ressembler au personnage. On peut retrouver cette crainte dans le roman Prométhée Moderne de Mary Shelley. Victor Frankenstein le protagoniste a tout de repoussant. Une autre caractéristique du nouveau roman est que seule l’écriture mène l’aventure. La Reprise de Robbe-Grillet renforce cette idée. L’énigme se situe en dehors de l’histoire, à l’intérieur de l’écriture.

métrage animé Vincent, dont le narrateur était Vincent Price, a connu un grand succès dans le circuit des festivals et a reçu plusieurs prix. Burton a ensuite réalisé un court en prises de vues réelles, Frankenweenie, inspiré de l’histoire de Frankenstein. En 1985, son premier long métrage, Pee-Wee’s big adventure, est un succès du box-office. Beetlejuice, une comédie surnaturelle avec Michael Keaton, Geena Davis, Alex Baldwin et Winona Ryder, est plébiscité par la critique comme par le public

D’où vient la science-fiction et par qui a-t-elle été inventée ? Les gens ne sont pas d’accord sur quelle a été la première œuvre de science- fiction, certains pensent au livre Frankenstein ou le Prométhée moderne, écrit par Mary Shelley, une auteure anglaise en 1818 ; d’autres pensent que ce sont les 62 livres des voyages extraordinaires de Jules Verne écrit tous entre 1863 et 1905 ou alors des livres de l’écrivain anglais Herbert Georges Wells ( qu’ont appelé avant des romans scientifiques)

au vice et n’hésitent pas à contaminer leur entourage, en particulier s’il est vertueux. Par ailleurs, l’identification est quasi absente parfois comme c’est le cas dans le roman de Mary Shelley. Les personnages du monstre et du savant dans Frankenstein sont plus problématiques dans la mesure où on ne peut s’identifier ni à un monstre (qui du reste s’humanise au fil du roman) ni à un savant obnubilé par ses recherches et qui lui a donné la vie. L’identification tient ici à ce que tous deux représentent

les spectateurs contemporains, le tableau évoque le rapport entre, d'une part l'incube et le cheval (une jument) et, d'autre part, les cauchemars. Cette œuvre a probablement inspiré le cauchemar de Mary Shelley qui donna naissance à son roman, Frankenstein ou le Prométhée moderne. Füssli et ses contemporains voyait dans cette expérience un rapport avec les croyances folkloriques, comme les contes germaniques au sujet des démons et des sorcières qui possèdent les personnes endormies. Dans ces histoires

autres mais pour son combat pour la justice. Il y a donc une morale, celle de ne jamais lâcher ses efforts, il faut au contraire persévérer jusqu'à atteindre son but » « Mais, il ne reflète pas énormément de personne regarde le monstre qu'à créé Frankenstein dans le roman de Mary Sheylley. Le monstre reflète les sentiments tel que la solitude, la place qu'à son créateur, il y a donc un lien qui les réunis. Celui-ci va commettre des crimes, ce qui le catégorise d'anti-héros mais il va tout faire pour

de Cazotte en est une illustration (ouvrage publié en 1772). En même temps, ce goût pour le surnaturel et pour le rêve à tendance cauchemardesque imprégnait la littérature romantique allemande (Goethe) et le roman noir anglais (Mary Shelley Frankenstein) : pactes diaboliques, apparitions démoniaques, phénomènes mystérieux. Le Romantisme français, influencé par ces littératures, en a exploité les thèmes pour répondre aux angoisses et aux incertitudes du siècle : disparition des croyances religieuses

inhumaine pour survivre. C’est, selon les avis, cynique, respectueux de la théorie de l’évolution ou les deux à la fois. Le retour des robots Il faut reconnaître que les films de robot se font plutôt rares. Variantes technologiques du Golem et de Frankenstein, ils ont cédé la place aux clones et aux manipulés génétiques et sont suspectés de traiter une problématique surannée. Pourtant, les films récents sur le sujet comme A.I. de Spielberg, I, Robot d’Alex Proyas et la série Battlestar Galactica avaient

au sens propre (mais aussi au sens symbolique) Vie : avec majuscule elle-même, plus encore que la femme, c'est la Vie que désirait créer l'artiste, il rivalisait bien avec Dieu dans son ambition : fantasme de tout le XIX (et plus) par exemple Frankenstein. Ambiance : Mélancolique; gothique (vieux château abandonné depuis peu, une malédiction? Une fuite?), solitude, nostalgie passéiste, amour de l'art. Effet : emporté par le caractère intriguant de l'histoire, le lecteur découvre grâce au

romantique qui est à l’opposé : Héro solitaire Qui n’incarne pas de modèle Vivent seul Anticonformiste Fougueux désirs Incompris Marginaux (physiquement, moralement) Jean Valjean, Comte de Monte Cristo, Carmen, Esméralda, Quasimodo, monstre de Frankenstein b) La primauté des sentiments Privilégié l’expression des sentiments Susciter les émotions des auditeurs et les lecteurs c) Le sublime Un geste qui se démarque par un mérite exceptionnel et qui inspire à la fois de l’admiration et de