Frankenstein

monstre est pour cela pris en mépris. Horrifié et source de répulsion, il est totalement sous la pitié.Comme dans Notre-Dame, « pauvre diable », démontre l’absence de sentiment pour Quasimodo. Elephant Man et Frankenstein invoquent encore ce sentiment de pitié, mais à l’inverse Frankenstein nes’exprime plus par pitié au narrateur. Mais il y a dans ces personnages un source d’attirance, comme pour Quasimodo et l’attraction de foire, ainsi que le cas de Caillaud Claire. De part sa différence, ilsfascinent

fantastique, cinéma, panorama historique et thématique de la production cinématographique fantastique. Le fantastique s'est tôt fait une place de choix dans le cinéma : des films fondateurs, souvent chefs-d’œuvre du genre (comme Dracula ou Frankenstein[1]), aux parodies retorses (comme la trilogie Scream de Wes Craven), le genre a brassé et absorbé toutes les évolutions, échappant à une définition stricte pour se rassembler autour des notions essentielles de distorsion de la réalité, de malaise

Alice, Dracula et Le monstre du Dr Frankenstein comptent probablement parmi les figures mythiques les plus marquantes de l’histoire littéraire. Elles virent le jour en Grande-Bretagne au dix-neuvième siècle dans des conditions analogues. Alice’s Adventures in Wonderland fut publié en 1862 et Through the Looking-Glass en 1872 2. Le nom de l’enfant reste irrémédiablement associé dans les mémoires à celui de l’auteur du conte : Lewis Carroll. Ceux de Frankenstein 3 et de Dracula 4 évoquent à tous un

négatif dans celui-ci. Cependant, dans Frankenstein, les deux facettes du progrès sont présentes : on vous met en gros plan et le positif et le négatif de la chose. Ainsi, cela permet de présenter le progrès comme une notion contradictoire, où les changements de la nature au fil des saisons font que celle-ci se contradicte elle-même et que l’apprentissage nous en apprend autant sur le bien que sur le mal. Premièrement, la nature figure beaucoup dans Frankenstein d’abord comme étant un outil aux

Explore the presentation of the monster in ‘Frankenstein’ To a large degree, the novel ‘Frankenstein’ can be seen as a book of journeys. From the very opening we are introduced to Walton’s geographical ascent, as he pursues a land “never before imprinted by the foot of man.” As his boat ventured northwards, we are simultaneously introduced to Victor Frankenstein’s ‘meta-narrative’, which reveals his own intellectual journey into undiscovered territory. Certainly one journey reflects the other

c’est d’être déchirés entre la tendance à œuvrer pour le bien de leurs semblables ou plus généralement de l’espèce toute entière, et le désir de nuire, le plus souvent pour satisfaire leurs propres intérêts contre leurs frères. Lecture de Frankenstein, ou le Prométhée moderne Mary Shelley Introduction : Composition de l’œuvre A/ la forme manifeste : les récits gigognes (Fig. 1) Le récit se présente sur le plan de la composition comme un emboîtement successif de récits, dont on trouvera

même souvent confuse : ce sera le cas des textes que nous examinerons et qui nous permettront d’explorer les nuances faites à ces deux parties. Nous approfondirons tout d’abord l’approche naturaliste avec le Docteur Pascal, de Zola. Par la suite, Frankenstein, La vérité sur le cas de M. Valdemar, et L’Eve Future nous serviront d’exemples pour illustrer la complexité du rapport des écrivains aux sciences. Bien que ces trois œuvres soient issues de pays différentes, les messages véhiculés (derrière des

croyaient n’être qu’une grimace puis humilier et rejeter lorsque celle-ci se rend compte que c’est son vrai visage, ce rejet de la communauté et de la société se retrouve dans le roman de Mary Shelley, « Frankenstein » (document 3) et le film Eléphant Man (document 5) ou l’on peut voir que Frankenstein et J.Merris sont rejeté à cause de leurs différences. Le monstre est exclu de la communauté du fait de sa laideur, car pour la société la laideur physique prouve la laideur morale, le document 2 (« les

que deux grands trous noirs. Sa peau est jaune. Il n’a presque pas de nez, presque pas de cheveux. Ce visage est horrible à voir » (l. 7-10, p. 2). Alors, c’est l’essence de la laideur selon Gaston Leroux. À cause de leur laideur, Le monstre de « Frankenstein » et Erik de « Le fantôme de l’opéra » sont très similaires ; particulièrement en leurs comportements violents, les aspects de leurs enfances, et que tous les deux veulent l’amour. À cause de la laideur, souvent il y a des problèmes sociaux et

pacte : Il réalisera tous ses désirs en échange de son âme. Le docteur Faust accepte. Inventeur fou qui rompt un équilibre sans se préoccuper des conséquences de ses actes Slide 9 : Frankenstein Histoire de Frankenstein Le roman de Mary Shelley raconte la terrible aventure du docteur Victor Frankenstein, un savant fuyant l’horrible créature à laquelle il a insufflé la vie. Arrivé au pôle Nord, le savant fait la connaissance du capitaine Walton et lui raconte son histoire. Comme il se