François Gény

Commentaire d’un extrait de discours prononcé le 24 avril 1964 devant l’Assemblée nationale par François Mitterrand. Le général de Gaulle énonce sa perception du pouvoir exécutif de la Ve République. « Le président est évidemment seul à détenir et à déléguer l’autorité de l’Etat ». Cette perception est très vite dénoncée par la classe politique. L’exécutif et à travers lui le gouvernement doit être dirigé par le Premier ministre. En effet celui-ci par la logique du régime parlementaire et par

aidèrent à construire ce mouvement, l'humanisme, qui place l'homme à la place centrale de l'univers et le rend maître de son propre destin. Les fresques que Giotto a peintes à Florence (Basilique Santa Croce de Florence), à Assise (basilique Saint-François d'Assise) et à Padoue (chapelle des Scrovegni dans l'église de l'Arena de Padoue) figurent parmi les sommets de l'art chrétien. Son influence sur les générations d'artistes qui le suivirent est immense à tel point qu'on a pu parler d'« écoles giottesques »

nommer un Premier ministre au sein de cette majorité qui lui est hostile. Il y aura à la tête de l’Etat deux personnalités qui ont des opinions politiques opposées. A- Les pouvoirs du Président sous contrôle. Lors de la 1ère cohabitation, François Mitterrand affirme que le Président de la République doit appliquer « la constitution, toute la constitution, rien que la constitution ». Le Président de la république et le Premier Ministre doivent exercer les pouvoirs que leur confère la constitution

Devoir de français – Clémence BONIN – Les extraits L’éloge de la folie d’Erasme, Gargantua de Rabelais et les essais de Montaigne sont des textes du XVIème siècle. Ils appartiennent au mouvement humaniste, pendant les guerres de religion, mais aussi pendant la revendication des idéaux ecclésiastiques. Erasme est un humaniste et théologien néerlandais, il a écrit L’Eloge de la folie, c’est un essai écrit entre 1509 et 1511. Mais ce n’est pas le seul humaniste à écrire des essais, Montaigne fait

----------------------- L’Utopie, de Thomas More I ) Le thème de chacun des paragraphes et les liens entre eux - 3 paragraphes, élément commun : la notion de temps -termes associés à des occupations -1er § : 24 heures divisées en temps de repos de travail et de sommeil. 6 à 8 heures pour des activités différentes en dehors de ce temps très cardé. -2ème § : occupation du temps libre. Récurrence de termes relatifs à l’occupation du temps. -3ème § : montre l’importance des jeux ’! L→

François 1er (1515 à 1547) Intro: François 1er est considéré comme l’archétype du Prince de la Renaissance à cause de son ambition italienne et par son gout pour les arts. Il vivait pendant le « beau » 16ème siècle. L’Etat se modernise sous son règne. François 1er n’est pas un intellectuel bien qu’il est une bonne culture. I)Modèle d’un Prince de la Renaissance: 1) Naissance d’un Prince: François 1er ne fait pas partie des aînées mais des cadets. Ils n’étaient pas destiné à régné

la part du président (principe auquel Charles de Gaule tenait particulièrement). Le système fonctionne aussi lorsque les majorités parlementaires et présidentielles sont distinctes (cohabitation), comme ce fut le cas plusieurs fois à l'époque de François Mitterrand ainsi que sous le mandat de Jacques Chirac après les élections législatives de 1997, auquel cas le gouvernement n'est plus lié au président mais seulement au Parlement, et le chef de l'État voit ses pouvoirs limités (même s'il reste gardien

Gargantua est une œuvre qui traite aussi bien de philosophie que d’humour et d’humanisme. Elle retrace les années d’apprentissage et les exploits de guerre du géant du même nom. Dans le prologue, François Rabelais utilise l’exemple d’un silène : cette petite boite aux dessins peu engageants mais qui peut renfermer de précieuses choses. Il s'adresse directement au lecteur pour lui démontrer qu'il ne faut pas se fier à l'aspect extérieur du livre, et lui recommande de le lire attentivement car il

imprimeries sont collectivisés et placés sous séquestres. Ces biens sont soit attribués à des journalistes et éditeurs dont on croit qu’ils ont participé à la Résistance, soit confiés à des sociétés qui en assurent la gérance sans en avoir la propriété. François Mitterrand, premier ministre de l’Information de la IVe République, choisit la plupart des heureux bénéficiaires des dévolutions d’imprimeries et de journaux séquestrés à la Libération. Non sans ironie, un de ses amis, l’ancien collaborateur Robert

La chute de Loup-Garou La bagarre entre Pantagruel et Loup-Garou finit par une scène sanglante qui montre que Pantagruel aussi est capable de la violence. Rabelais emploie des symboles, le folklore, et des comparaisons pour mettre en relief cette partie d’une grande bataille comparable avec celle des 300 cents Spartiates. Le thème de la pierre arrive dès la ligne 145 où « Pantagruel prit Loup-Garou par les deux pieds et le leva en l’air comme une pique » (ll. 145-146). La pique est d’un