François Emmanuel

par exemple, qui prêchait l’unification des Etats. L’abbé de St Pierre publie au XVIIIe le projet pour rendre la paix perpétuelle en Europe. Il proposait la création d’un Sénat européen qui disposerait d’une armée commune, et un pouvoir féodal. Emmanuel Kant s’inspirera de ces écrits pour proposer une alliance confédérative entre Etats souverains. Au XIXe, la France connait des relents de nationalisme, si bien que le passage à l’Europe impériale que souhaite Napoléon le mène à sa parte. On a cependant

et que l'être serait alors Dieu. Par conséquent, d'imaginer Dieu comme existant seulement dans l'esprit mais pas dans la réalité conduit à une contradiction logique, ce qui prouve l'existence de Dieu aussi bien dans l'esprit et dans la réalité. Emmanuel Kant a non seulement rejeté l'argument ontologique, mais les arguments téléologique et cosmologique, ainsi, sur la base sa théorie selon laquelle la raison est trop limitée pour qu'on sache quoi que ce soit au-delà de l'expérience humaine. Toutefois

INTRODUCTION Pour quelles raisons et quelles motifs se soumettre aux lois conçues en leur triple acceptation, comme rapports invariables et necessaires entre des phenomenes, comme relations de successions et de similitude, comme principes universels valables pour la volonté de tout être raisonnable et enfin comme prescription promulgué par l’autorité souveraine d’un pays et dont la transgression est l’objet d’une poursuite ? Notons qu’une partie de cette questionest en rapport avec la sphère de

Il y a en Descartes, une si grande chose, qu’aucune barriere ne la rencontre, rien ne peut l’arreter et qu’il participe grace a elle de la nature de Dieu. Cette si grande chose est la volonté, le libre arbitre, par laquelle Descartes échappe au determinisme. La volonté, l’infini et la liberté sont liées ensemble meme si elle ne peuvent se differencier l’une de l’autre que par l’illusion. La volonté de Descartes est donc libre car elle est infinie, sa liberté consiste dans l’infinité de sa volonté

SUIS-JE CE QUE J'AI CONSCIENCE D'ÊTRE ? PLAN COMPLET POUR DISSERTATION I : En quoi suis-je ce que j'ai conscience d'être ? ( Les certitudes de la conscience de soi ; identité entre ce que je suis et que j'ai conscience d'être ) 1 : Je suis et j'ai conscience d'être : la certitude d'exister m'est donnée par la conscience. → Référence : Hegel et « sa double existence » : non seulement on existe mais on se voit exister dans une sorte de dédoublement de soi rendu possible par le miroir qu'est

d'hypocrisie. Il existe cependant certaines valeurs chrétiennes importantes qu'il faudrait préserver. La religion chrétienne était contre toute forme de violence, d'esclavage, qui réduisait les individus à l'état de simple objet. Le philosophe Emmanuel Kant croyait que l'on devait traiter chaque homme comme une fin en soi et non comme un moyen, ce qui signifie que l'action morale doit être jugée non pas en fonction des résultats, mais des motivations. Le respect de l'homme est une des valeurs qu'il

Explication Proposition 6 : Introduction : Dans son œuvre Idée d’une histoire universelle d’un point de vue cosmopolitique écrite en 1784, Kant s’interroge sur le sens de l’histoire. Les hommes prennent des décisions qui leurs sont personnelles mais n’y a-t-il pas un sens commun, universel de l’histoire ? Déf de Sens : Direction et signification. Kant se pose plusieurs questions : L’histoire serait-elle une puissance qui nous dépasserait ? Les hommes feraient-ils librement leur histoire ? Tout

intellectuel : Les Lumières. Ce terme désigne le passage de l’obscurité au jour. Ainsi cette métaphore souligne la volonté des philosophes de lutter contre les ténèbres de l’ignorance et de la superstition. Et donc d’éclairer en quelque sorte l’homme. (Emmanuel Kant, philosophe allemand du XVIIIe siècle, écrit en 1784 : «  Les Lumières se définissent comme la sortie de l’homme hors de l’état de minorité, où il se maintient par sa propre faute. La minorité est l’incapacité de se servir de son entendement

L’AUTORITÉ EST ELLE INDISPENSABLE A L’ÉDUCATION? L’autorité est le droit ou pouvoir de commander, de se faire obéir, de faire faire à d’autre ce qu’il veut sans avoir recours à la violence. Un rapport d’autorité est ce qui oppose l’enfant à l’adulte, l’ignorant au savant... L’autorité est fortement contestée, de la même manière que le pouvoir ou la directivité, dans lesquels on refuse la toute puissance d’un maître. Ainsi lorsqu’on l’associe à l’éducation qui serait l’action ou la manière d’éduquer

Chapitre 1 : Comment peut-on définir le droit? « Les juristes cherchent encore pour une définition du droit ». KANT Avec l’absence de droit, de règles, ce serait l’anarchie. La règle de droit est une règle de conduite sociale dont le respect est assuré par l’autorité publique. La règle de droit est décidée et sanctionnée par l’état. Le droit, c’est d’abord les interprétations « tout condamné à mort aura la tête tranchée ». Le droit c’est la richesse du métier de juriste. Section