Formule de Leibniz

Candide écrit par Voltaire et publié anonymement en 1759. Candide est un roman d'apprentissage dont le héros éponyme porte un regard naïf sur le Monde qui l'entoure. A travers ces personnages Voltaire formule des critiques contre les principales idées développées par les Optimistes, comme Leibniz, qui disent que ''tout est bien dans le meilleur des mondes''. De plus, Voltaire porte un regard ironique sur la société qui l'entoure. Candide et Cacambo rentre dans le palais → Voyage initiatique. Il

personnage, celui de « Cunégonde » ou celui de « Vanderdendur » qui a une consonance très amusante. Enfin l’ironie est présente grâce aux reprises des expressions de Leibniz comme « raison suffisante » ; « les effets des causes ». Le monde merveilleux du conte a contribué également à ma distraction. Voltaire commence en utilisant la formule traditionnelle du conte « Il y avait en Westphalie... » et localise l’histoire dans un château. Les personnages semblent également sortis d’un conte de fée ; il

désapprouve la vision optimiste de Pangloss et tente d’offrir à Candide une vision différente du monde. Les chapitres 11 et 12 sont consacrés à son histoire. Le rôle de ce personnage est en fin de compte de réfuter les théories de Pangloss et de Leibniz par la même occasion, tout en montrant à Candide ce que deviendra un jour Cunégonde quand les années auront passé, elle est d’ailleurs, comme elle, issue de la noblesse. L’Abbé périgourdin : C’est un personnage parasite qui dupe et vole Candide

50 51 Une fausse philosophie Docteur en métaphysico-théologo-cosmolonigologie  : une philosophie disqualifiée 45 Appellation calquée sur celle du Père Castel Une déformation de la pensée de Leibniz et de Wolff 48 49 II. LA VERITE LITTERAIRE A.UN CONTE VOLTAIRIEN Incipit répond à formule du conte voltairien 28 Un conte voltairien 25 26 Un rythme allègre et enlevé : rapidité ds narration des faits, description des personnages L’humour : le comique de mots Proximité phonique et

la fois un conte philosophique, un roman d’aventure (récit picaresque), un récit de voyage (en vogue à l’époque) et un roman d’apprentissage (de l’allemand bil- dungsroman), dans cette oeuvre l’auteur met en cause l’optimisme et la doctrine de Leibniz, qui est simplifiée et caricaturée à travers le personnage Pangloss : «Tout est au mieux au meilleur des mondes possibles». Croyant à ce qui dit son précepteur, Candide cherchera le bonheur au cours d’un voyage initiatique. Mais, afin de réfuter

grand philosophe français du XVIIIème siècle. Ce conte philosophique est une petite machine de guerre contre la théorie de Leibniz sur l’Optimisme ainsi que contre toutes les cibles des philosophes des Lumières. Au chapitre 5,Candide et Pangloss ont fait naufrage à Lisbonne au moment du tremblement de Terre. Pangloss et Candide arrêté par l’Inquisition pour avoir formulé des propos hérétiques. Nous nous intéresserons au début du chapitre6 où Voltaire attaque violemment les Inquisiteurs en utilisant

* Une fausse philosophie Docteur en métaphysico-théologo-cosmolonigologie  : une philosophie disqualifiée 45 Appellation calquée sur celle du Père Castel Une déformation de la pensée de Leibniz et de Wolff 48 49 II. LA VERITE LITTERAIRE A. UN CONTE VOLTAIRIEN Incipit répond à formule du conte voltairien 28 Un conte voltairien 25 26 Un rythme allègre et enlevé : rapidité ds narration des faits, description des personnages L’humour : le comique de mots Proximité phonique

+ sin(a b)) 2 2 Int´egration par parties C’est l’utilisation de Z 0 f (x)g (x)dx = f (x)g(x) Z f 0 (x)g(x)dx. On suppose dans cette formule que f et g sont de classe C 1 sur l’intervalle ouvert consid´er´e. La formule vient simplement par int´egration de f g 0 = (f g)0 f 0 g. Pour l’utilisation de cette formule, il faut reconnaˆıtre dans la fonction a` int´egrer le morceau f et le morceau g 0 , dont on connait une primitive g. C’est utile quand f 0 g est plus simple

que Freud expose ses travaux pour s’apercevoir qu’une partie de notre propre psychisme nous échappe parfois. Un homme qui tombe dans le coma est inconscient, un dangereux chauffard l’est aussi, dans le sens qu’il ne contrôle plus ses actes. Leibniz a formulé la thèse des « petites perceptions » inconscientes : « Il y a mille marques qui font juger qu’il y a à tout moment une infinité de perceptions en nous… c’est-à-dire des changements en l’âme même dont nous ne nous apercevons pas ». Avec Platon

( ( 1)n si k = n sinon k P 0 et (k) gn 2 = 8 < : n k (n 0 k)! si k sinon n Or pn = n! fn gn , donc (8k 2 N) pn = n! En particulier, (8k 2 N) pn (k) (k) j=0 k (j) (k fn gn j n) j) (formule de Leibniz). si k sinon 2n k 2 = 8 < : n! 0 = k (k ( 1)n gn n 2 n et plus précisément, (8k 2 N) pn où cn;k = ( 1)n def (k) 2 8 < : ( 1)n 0 n k n k n! n (2n k)! si n sinon k 2n k n! k = ( 1)n