Forêt de Bohême

mise nue Et dans l’étang mire son corps Un charlatan crépusculaire Vante les tours que l’on va faire Le ciel sans teinte est constellé D’astres pâles comme du lait Sur les tréteaux l’arlequin blême Salue d’abord les spectateurs Des sorciers venus de Bohême Quelques fées et les enchanteurs Ayant décroché une étoile Il la manie à bras tendu Tandis que des pieds un pendu Sonne en mesure les cymbales L’aveugle berce un bel enfant La biche passe avec ses faons Le nain regarde d’un air triste Grandir l’arlequin

conservatrice. Société urbaine dominante  Valeurs : matérialisme et argent, effort et travail. Libéralisme favorisant les affaires et le commerce. Conservatisme moral et culturel. Naissance du socialisme de Marx Mode de vie Contexte culturel  Artistes de la bohème (liberté et provocation)  Peinture : l’impressionnisme et les nabis traduisent le monde intérieur  Musique : sensibilité en dehors des règles rhétoriques Contexte idéologique Philosophique Scientifique  Pessimisme social de Schopenhauer et rejet

associent ou les dissocient. E15 Texte 14 Photo E21 A Texte 15 La revue Verve est éditée par Tériade, de son vrai nom Stratis Eleftheriades. Arrivé à Paris en 1915, à l'âge de 18 ans, pour étudier le droit, Tériade commence à fréquenter la bohème parisienne et fait la connaissance de Christian Zervos, fondateur des Cahiers d'art. Sa carrière de critique d'art commence en 1928. Il y signe des articles avec Maurice Raynal, sous le nom des « Deux Aveugles ». À partir de 1932, il est associé à

fête, le narrateur raccompagne Sylvie et son frère Sylvain jusque chez eux, au hameau de Loisy où ils habitent la maison du garde, puis, rentrant lui-même chez son oncle à Montagny (comprendre Mortefontaine), il s'égare dans une sente qui longe la forêt d'Ermenonville, et passe la nuit dans les rochers et les bruyères. Au petit matin, il parvient à se repérer, et peut reprendre "le chemin de Loisy". À Loisy, Sylvie est éveillée, déjà à son ouvrage de dentellière. Le narrateur lui propose une promenade

................................................................................. 11 La ronce. Marceline Desbordes-Valmore ..................................................................................................................... 11 La forêt. François-René de Chateaubriand .................................................................................................................... 11 Chanson. Renée Vivien..........................................................................

se souviendra toujours du petit chaperon rouge et si ce n’est pas "Le petit chaperon rouge", ce sera "Pierre et le loup", "Les trois petits cochons", "La chèvre de Monsieur Seguin", "Les fables de La Fontaine", ou autres histoires d’ogres dans des forêts sombres et dangereuses, jusqu’au loup de Tex Avery. Dans la littérature, le cinéma, la poésie (« Les loups » de Verlaine), ou la chanson, le symbole a été très largement exploité, à des fins intéressées, comme dans le cas de l’Eglise, et cela bien

formation intellectuelle importante : il a étudié le droit à l'université d'Orléans. Il occupa d'importantes fonctions à la cour de france : il fut messager royal, huissier d'armes de Charles V, écuyer du Dauphin, bailli de Senlis, maître des eaux et forêts à Villers-Cotterêts et générale des finances. Il est sourtout un grand poète français du lyrisme bourgeois. Mon avis personnel: J'ai choisi ce poème car j'aime la ville de Paris. Dans le poème, Deschamps exprime bien par des procédés la grandeur

un dijonnais qui se plait à étudier l’histoire de sa cité, pouvait en faire mention. N’omettons pas la pièce VII, nommé « Le rêve », du livre « La Nuit et ses prestiges », qui campe son décor dans une « abbaye aux murailles lézardées », « une forêt percées de sentiers tortueux », et « le Morimont grouillant de capes et de chapeaux ». Ce « Morimont », était à Dijon, dans des temps dit « immémorial » par l’auteur lui-même, la place aux exécutions. Ce décor n’est pas sans nous rappeler les temps

chanoines font disparaître le jubé du XIIIè siècle en 1763, mettent en place le maître-autel avec l'Assomption de Bridan en 1773, puis en 1788-1789, les bas-reliefs du chœur. Le feu refit son apparition en 1836, dans le grand comble qu'on appelait la "forêt" ; il le détruisit entièrement. Une charpente métallique couverte de cuivre l'a remplacé. La cathédrale avait été épargnée par les guerres de religion ; elle sortit presque indemne de la période révolutionnaire. En 1918, les vitraux ont été démontés

s’opposera toujours à mes choix artistiques. De retour à Paris en 1836, j’intègre le célèbre lycée de Louis-le-grand par la volonté de mon beau-père pour y continuer des études de droit. Après avoir reçu mon baccalauréat. Je décide de mener une vie de bohème, ce qui ne plaira pas du tout à mon beau-père qui m’envoya en Inde, à Calcutta en 1841 en espérant que j’en revienne plus mature. Cependant le bateau s'échoue mais cet accident m'inspire et me donne envie d’écrire des poèmes, c’est ainsi que